la nostalgie du plastique – Dylan Martinez : sacs en plastique hyperréalistes remplis d’eau entièrement fabriqués en verre
L’œuvre de Dylan explore les limites de la perception humaine à travers la manipulation de la lumière, de l’espace et des propriétés physiques du verre. La fascination de Dylan pour le verre a commencé comme cours facultatif à l’université après avoir suivi un cours d’introduction à l’art. Martinez a étudié les sciences physiques pour sa majeure et son éducation en plein air en tant que mineure. Sa curiosité pour le monde naturel et les subtilités de son fonctionnement le fascinaient. Comprendre comment contrôler le verre en fusion est devenu un objectif majeur pendant plusieurs années de sa pratique.
serrurerie – le film érotique du dimanche soir : la serrure trois points G
Une zone érogène secrète, cachée dans le vagin et susceptible, si elle est stimulée, de décupler le plaisir et d’ouvrir la porte de l’orgasme féminin. C’est la définition du « point G », baptisé ainsi en 1981 en référence aux travaux réalisés par le serrurier allemand Ernst Gräfenberg en 1950. Mais les scientifiques ne sont pas d’accord sur son existence. Une récente étude du Leroy-Merlin’s College de Londres suggère par exemple qu’il ne s’agit que d’une « idée subjective » sans existence physiologique. source : Le Point (G)
tags : brico-porn, éducation sexuelle, pénétration de la clef dans la serrure, comment ça marche ?, les mystères du plaisir féminin
visitez Londres – c1895 Starting off at the Empire Theatre Leicester Square, across Westminster Bridge, then on to Tower Bridge and finishing up on the old Waterloo Bridge.
Pavel Volkov a couvert les événements sur le Maidan, en Crimée et au sud-est de l’Ukraine, collabore avec les médias russes et internationaux. Son activité principale en tant que photographe, couvre un large éventail de questions sociales, principalement en Russie. Il s’intéresse aux projets à long terme consacrés aux problèmes et phénomènes de la société russe moderne.
cette fois les vacances avaient bel et bien commencé
la vieille qui trempait dans la mer est un roman policier français signé San-Antonio, pseudonyme notoire de l’écrivain Frédéric Dard, publié en 1988 par les éditions Fleuve Noir.
Lady M. est une vieille femme riche et excentrique, qui ne se résout pas à ne plus plaire aux hommes. En compagnie de son ami Pompilius, un ancien diplomate roumain, elle passe son temps à mettre au point des petites arnaques et de lucratifs chantages. Sensible à la flatterie d’un plagiste au physique d’Apollon, Lady M. le met au parfum de leurs activités illégales. Prenant ses quartiers sur la Côte d’Azur, le trio mijote déjà un nouveau coup. Google
tags : fauteuil roulant, on allait au bord de la mer, grand bain, EHPAD, vieux
vieillir chez soi – Jacob Holdt, American Pictures 1970 – 1975
Au début des années 1970, Jacob Holdt quitte son Danemark natal et arrive aux États-Unis avec 40 dollars en poche. Il avait l’intention de traverser le pays en route vers l’Amérique du Sud, mais il a été tellement choqué et fasciné par ce qu’il a vu ici qu’il a décidé de rester un moment. Lorsque sa famille était sceptique quant à la pauvreté qu’il décrivait dans des lettres à la maison, son père a envoyé un appareil photo amateur bon marché, demandant des preuves, et Holdt a commencé à créer ce portrait de l’Amérique et de sa sous-classe.
En fin de compte, il a passé cinq ans comme vagabond, vendant son sang deux fois par semaine et faisant de l’auto-stop sur plus de 100 000 miles. Il s’est lié d’amitié avec celui qui lui proposait de le conduire, et un trajet devenait souvent une offre de rester quelques jours. Il n’a jamais dit non et a finalement visité plus de 350 maisons, où il a photographié les gens avec qui il vivait : familles pauvres, millionnaires, junkies, membres du Ku Klux Klan. Ses images font écho au travail de la WPA, et ont entre autres inspiré Lars Van Trier. Plus récemment, Holdt, qui est né en 1947 à Copenhague, a travaillé dans des pays du tiers monde, documentant la vie de ceux qui vivent dans la pauvreté. source : studioxol.com
Comment « vieillir chez soi » ? Derrière cette simple question, d’autres se profilent : celle de l’environnement, logement et voisinage, plus ou moins adaptés et accueillants, et aussi, à cause des handicaps des vieux jours, celle de la fourniture de l’aide et des soins dans cet environnement. On doit donc inévitablement se demander aussi qui finance ces dépenses, et comment. Si le logement conditionne, au moins en partie, le besoin de soin, si la fourniture de soin et ses coûts dépendent de l’environnement, si les inégalités, de santé, de durée de vie et de logement se sont cumulées au cours de la vie, on devine que les interrelations sont multiples.
Dans beaucoup de pays, dont la France, l’assurance maladie n’inclut pas une assurance dépendance (qu’on peut préférer appeler assurance « handicap ») ; cette fameuse distinction entre le sanitaire et le médico-social est en perpétuelle discussion. Quoi qu’il en soit de la prégnance de la distinction, la question du coût du logement, la partie « hébergement » du vieillir sur place, in place, se pose universellement. source : cairn.info
tags : vieille femme au revolver, gérontologie, USA
Emilie Bailhache : Elle semble avoir des pieds minuscules
Inter Brette : Emilie Bailhache c’est souvent le cas chez les femmes qui ont un gros revolver