Valérie Pécresse au Zénith : une épreuve difficile
D’après l’auteur de la vidéo, cette grenouille malade est en cours de sauvetage.
« Mais enfin, vous ne voyez pas que cette femme souffre ? » déclare Xavier Bertrand
« On aurait dit Le Cid joué par une élève de 6ème », juge cruellement un élu LR.
Le premier grand raout de campagne de la candidate des Républicains a déçu les cadres du parti qui s’inquiètent des futurs sondages.
Pour le meeting qui devait relancer la campagne de Valérie Pécresse, après des mauvais sondages, les propos de Nicolas Sarkozy et la défection d’Éric Woerth, c’est raté. Les cadres du parti, pour la plupart présents au premier rang au Zénith de Paris, la prestation de la candidate de la droite n’était pas au niveau.
« Mais qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce qui se passe ? » s’est demandée à haute voix sa conseillère internationale. « Accélère Valérie, accélère », l’a exhortée à distance depuis la salle Hervé Morin, le patron des Centristes.
La patronne de la Région Île -de-France a semblé mal à l’aise au début de ce grand raout, enchaînant les silences, gênée par les « Valérie présidente », que lancaient les Jeunes Républicains.
« C’était un naufrage. On a voulu lui faire faire un exercice qu’elle ne sait pas faire. Il aurait fallu la faire marcher sur scène, qu’elle dise dès le début ‘je ne suis pas une grande oratrice’… là, ce n’est juste pas possible », confie encore un ténor des Républicains.
la montagne magique. Beth Pratt : Yosemite Firefall – Horsetail Fall on February 21, 2019
La Montagne magique, Roman traduit de l’allemand, annoté et postfacé par Claire de Oliveira
« Écrite entre 1912 et 1924, La Montagne magique est l’un des romans majeurs du vingtième siècle. Cette œuvre magistrale radiographie une société décadente et ses malades, en explorant les mystères de leur psychisme. Le jeune Hans Castorp rend visite à son cousin dans un luxueux sanatorium de Davos, en Suisse. Piégé par la magie de ce lieu éminemment romanesque, captivé par des discussions de haut vol, il ne parvient pas à repartir. Le jeune Allemand découvre son attirance pour un personnage androgyne et, au mépris du danger, se laisse peu à peu envoûter par cette vie de souffrances, mais aussi d’aventures extrêmes en montagne et de dévergondage, où fermentent des sentiments d’amour et de mort.
Évocation ironique d’une vie lascive en altitude, somme philosophique du magicien des mots, ce vertigineux « roman du temps » retrouve tout son éclat dans une nouvelle traduction qui en restitue l’humour et la force expressive.
« Le héros de ce roman porte en lui la forme entière de l’humaine condition. » Jean Guéhenno
Thomas Mann (1875-1955) a reçu le prix Nobel de littérature en 1929. Son œuvre se distingue tant par sa perfection stylistique que par la richesse de son propos. On compte parmi ses romans les plus célèbres : Les Buddenbrook, La Montagne magique, Le Docteur Faustus, Joseph et ses frères. Il est également l’auteur de nouvelles (La Mort à Venise, Tonio Kröger), ainsi que de nombreux essais littéraires, philosophiques et politiques. » source : France Culture
La chute de feu de Yosemite était un événement d’été qui a commencé en 1872 et s’est poursuivi pendant près d’un siècle, au cours duquel des braises brûlantes ont été déversées du sommet de Glacier Point dans le parc national de Yosemite jusqu’à la vallée à 3000 pieds plus bas. source : Wikipedia
raconte-moi encore l’histoire de Jonas et la baleine
Dieu envoie Jonas à Ninive, capitale étrangère de l’empire assyrien, afin qu’elle se repente. Jonas désobéit à Dieu et se rend à Jaffa pour prendre la fuite sur le dernier bateau en direction de Tarsis. Durant le voyage, le bateau sur lequel se trouve Jonas essuie une tempête due à la colère divine consécutive à sa désobéissance. Les marins décident alors de tirer au sort pour connaître le responsable de ce malheur. Le sort désigne Jonas. Ils le prennent, le jettent par-dessus bord, et à l’instant même, la mer s’apaise. Il est recueilli dans le ventre d’un « grand poisson » (souvent désigné à tort comme une baleine) durant trois jours et trois nuits. Le « gros poisson » le recrache ensuite sur le rivage. source : Wikipedia
FEDERAL SIGN & SIGNAL CORPORATION SIREN, MODEL D, MADE IN 1958
DIRECT. « Convoi de la liberté » : des manifestants aux portes de Paris, plus de 7 000 policiers et gendarmes déployés
Des centaines de participants ont campé aux portes de la capitale dans la nuit de vendredi, alors que la manifestation a été interdite par la préfecture de Police. source : franceinfo
Ce vendredi 11 février, le gouvernement a annoncé de nouveaux allègements du protocole sanitaire compte tenu de « l’amélioration de la situation sanitaire » et des « quatre semaines de baisse continue de l’incidence ». Le masque ne sera plus obligatoire dans les lieux clos soumis au pass vaccinal à partir du 28 février, soit dans tous les établissements recevant du public, à l’exception des transports.
« Le port du masque en intérieur sera maintenu dans les transports et les lieux clos non soumis au pass vaccinal. Dans les autres lieux clos soumis au pass vaccinal, le port du masque ne sera plus obligatoire », a détaillé le ministère de la Santé dans un communiqué de presse. Jusqu’au 28 février, le port du masque demeure obligatoire à l’intérieur, à partir de 6 ans et plus. source : linternaute
pour la saint-valentin je repasse mon linge moi-même
je fais la même chose le 8 mars, journée internationale des droits des femmes ; il n’y pas plus grande preuve d’amour.
ma bible est au feminin.com , particulièrement leur page de conseil pour être une bonne ménagère : les bon gestes pour bien repasser :
« Le repassage n’est pas seulement la tâche ménagère ingrate par excellence, c’est également un exercice périlleux pour nos vêtements. Comment repasser nos chouchous sans risquer de les abîmer ? On vous donne toutes les astuces pour maîtriser l’art du repassage.«
concert pour cerf de l’après-midi : Bach – Suite pour violoncelle n 1 en sol majeur, BWV 1007
Prélude à l’Après-midi d’un cerf.
D’une structure assez constante, les six suites pour violoncelle BWV 1007 à 1012 « s’ouvrent toutes par un prélude, suivi d’une allemande, d’une courante, d’une sarabande, de deux Galanterien et d’une gigue. La ressemblance de leur structure avec celle des Suites anglaises fait supposer que ces deux œuvres furent écrites environ à la même époque. Bien que les limites techniques du lourd violoncelle soient encore plus étroites que celles du violon, rendant impossible l’inclusion d’une fugue réelle, Bach réussit à créer des œuvres d’une maîtrise consommée, égale sinon supérieure à sa musique pour violon solo. Dans le prélude de la quatrième suite, par exemple, il donne, avec les moyens les plus simples, l’illusion d’une pédale d’orgue dont il se sert comme assise à des harmonies qui s’écoulent lentement ».
Pour rendre justice à ces œuvres d’exception, il faudrait ici reprendre, parfois mot pour mot, une bonne part des réflexions exprimées à propos des pièces pour violon solo. Peut-être même faudrait-il appuyer le trait, car, plus que jamais, le musicien prouve ici qu’il atteint les plus hauts sommets lorsqu’il s’impose les limites les plus étroites. « Nulle part Bach ne semble avoir autant de grandeur, de force et d’émotion que dans ses six Suites pour violoncelle (1720-1723 ?), pages de musique instrumentale pure où il est par excellence le maître de la liberté et où, pas un instant, il ne sombre dans l’arbitraire ni dans l’abstraction gratuite. L’architecture des préludes et des allemandes, l’édifice contrapuntique des sarabandes et même les mouvements de danses plus décoratifs suggèrent malgré leur style très libre une science polyphonique assez complexe (même si plusieurs voix restent sous-entendues) ».
Est-il vraiment besoin d’ailleurs de s’étendre sur les fabuleuses qualités de ces œuvres qui, bien qu’exigeant beaucoup de concentration et d’imagination de la part de l’auditeur, ont acquis une immense popularité ? Depuis que Pablo Casals s’en est fait le propagandiste, tous les violoncellistes, des plus confirmés aux plus jeunes, s’y sont engagés avec toute leur flamme et le public a suivi, toujours plus nombreux, succombant au pouvoir d’envoûtement magique de cette musique qui touche au plus profond de l’âme humaine et animale. Et que ces pièces soient si souvent « célébrées » dans des lieux normalement voués au culte, voilà un détail qui ne laisse pas indifférent : au-delà de toute considération touchant à l’acoustique, c’est une façon comme une autre de souligner la dimension spirituelle que Bach a certainement voulu donner à nombre de ces pages. Des pages aux multiples facettes et sortilèges, qui nous font passer de l’ombre à la lumière, des épanchements au silence, du recueillement au vagabondage, comme le suggérait un commentaire de Xavier Lacavalerie qui concluait sur cette belle interrogation : « Et si cette musique païenne était l’une des plus belles formes de la prière ? ». source : musicologie.org
commentaire de Mo Ha : Un concerf de Brahms ?
(j’avais essayé ce titre (concerf) mais j’ai eu peur de la réaction des ligues de défense des animaux…)