dansons sous la pluie
Ninfaenflor Emilia
tag : I’m dancing in the rain Just dancing in the rain What a glorious feelin’ I’m happy again
alt : au milieu de la chaussée, une femme danse sous la pluie
obsèques de Thierry Ardisson dans le recueillement, la plus stricte intimité et le respect du dress code exigé par « l’homme en noir » dans ses dernières volontés
danseuses de French Cancan, 1965
les choeurs de la Chapelle Royale chanteront le De Profundis d’après le livret « Prosper » de Maurice Chevalier :
Thierry yop la boum
C’est le petit chéri du Paf
Thierry yop la boum
C’est le roi des paires de baffes (hi)
musique traditionnelle du Tour de France : la guitare à pédale
Keizo Ishibashi, The Water Is Wide, Cantareel
tags : caravane du tour de manivelle, produits dérivés, roues du tour et tours de roue
« La Ballade Nord Irlandaise chant incontournable a une histoire. La version que nous chantons est adaptée par Renaud en 1991 sur une musique celtique très ancienne. Rendons donc aux Ecossais et peut-être aux Anglais ce qui est revendiqué par les Irlandais. En effet, la musique de la ballade date du début du XVII -ème siècle. C’était un chant populaire en anglais avec des mots écossais. « O Wally, Wally » chante les désillusions amoureuses de James marquis de Douglas avec Lady Barbara Irskine. De la lune de miel où l’amour est magnifique à l’amour qui vieillit et « attrape froid » et qui finalement s’efface « comme la rose d’été ». Ce chant est devenu « The water is wide” (l’océan est vaste) grâce à Cecil Sharp en 1906, il reprend des textes du sud de l’Angleterre en conservant le thème d’origine. Il arrive aux USA, sans doute avec les soldats revenant de la guerre de 14-18. Il devient très populaire, interprété plus tard par Bob Dylan et Joan Baez. En 1958, Emile Stern, compositeur pianiste d’origine roumaine, écrit une version du thème pour Bourvil, sur un texte d’Eddy Marnay. » (lachoralestchristophe.fr)
14 juillet : Le drapeau noir flotte sur la marmite noire
tag : exploration spatiale et fête nationale
Censés servir à lancer des feux d’artifice, les « mortiers d’artifice » sont de plus en plus détournés pour cibler notamment des forces de l’ordre. Ces engins pyrotechniques sont à distinguer des « mortiers » quant à eux destinés à lancer des obus sur des scènes de guerre (TF1)