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les idées brico-facile de tonton yves

1981 : invention du premier kit main libre

1981 : invention du premier kit main libre - Olivia Locher : How To, 2016
1981 : invention du premier kit main libre – Olivia Locher : How To, 2016

1981 : invention du premier kit main libre Mme Olivia Locher remporte le concours Lépine pour son système pour téléphone « How To, 2016 ».

Elle intègre le prestigieux palmarès des Grandes Inventions de 1901 à ce jour

Olivia Locher est connue pour son approche sarcastique de la photographie en studio avec un fort accent sur la couleur et le concept. 

Praticienne de la Méditation Transcendantale, les photographies de Locher sont ancrées dans des pays de rêve et de conscience, tandis qu’Olivia elle-même rêve généralement.

source : Olivia Locher

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gif animés avez-vous donc une âme J'ai jamais eu les pieds sur Terre J'aimerais mieux être un oiseau

rétrofuturisme

rétrofuturisme - Le Corbusier, Poème électronique reconstruction of show for an 8-minute piece of electronic music by composer Edgard Varèse, written for the Philips Pavilion at the 1958 Brussels World’s Fair. 
rétrofuturisme – Le CorbusierPoème électronique reconstruction of show for an 8-minute piece of electronic music by composer Edgard Varèse, written for the Philips Pavilion at the 1958 Brussels World’s Fair. 

rétrofuturisme – Le CorbusierPoème électronique reconstruction of show for an 8-minute piece of electronic music by composer Edgard Varèse, written for the Philips Pavilion at the 1958 Brussels World’s Fair. (Pavillon Philips, Exposition Universelle de Bruxelles de 1958)

Le rétrofuturisme (de l’adjectif rétrofuturiste ou rétrofutur) est une tendance réelle, fictive ou humoristique, en design, et dans les arts créatifs (mode, technologie, architecture, littérature, cinéma…), caractérisée par un mélange des imageries rétro et futuristes, inspiré de la façon dont le futur, le progrès et la science-fiction étaient imaginés dans le passé, avec pour perspective que toutes choses futuristes du présent deviennent, avec le temps, rétrofuturiste. source : Wikipedia

tag : metaverse

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les transports en commun – c’est l’avenir

les transports en commun – c’est l’avenir

les transports en commun – c’est l’avenir

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de l'autre côté du mouroir

what a wonderful world

what a wonderful world, Louis Armstrong /Steve Cutts, Moby & The Void Pacific Choir – Are You Lost In The World Like Me (ou video perso)

what a wonderful world – Louis Armstrong

The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by.

I see friends shaking hands saying how do you do.
They’re really saying I love you.
I hear babies crying, I watch them grow.
They’ll learn much more than I’ll ever know.

And I think to myself what a wonderful world

Source : Musixmatch Paroliers : Weiss George David / Thiele Robert

Steve Cutts

« I’m a UK based illustrator and animator. My recent work includes the ‘LA-Z Rider’ couch gag for ‘The Simpsons’ and the music video for ‘Are You Lost In The World Like Me?’ for Moby. I’ve also worked on projects for renowned agencies across the world including UNESCO, The Gaia Foundation, Isobar, LMFM, and Analogfolk’. My work has been featured on various television networks, including Adult Swim and Fox in the US and Channel 4 in the UK. »

source : https://www.stevecutts.com/

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je suis complètement vous

le mardi c’est bowling

le mardi c'est bowling. The robot studio : robot anthropomimétique Cronos
le mardi c’est bowling. The robot studio : robot anthropomimétique Cronos

le mardi c’est bowling

En mars 2011 s’est tenu à Lyon le tout premier salon InnoRobo qui réunit des professionnels de la robotique de service. Ceux-ci présentent aux visiteurs leurs dernières créations destinées à remplacer l’homme. Une centaine de robots venant des quatre coins du monde et dotés de multiples envies. De la surveillance au divertissement en passant par le bowling, ils pourraient très bientôt changer notre quotidien.

Le fabricant The robot studio tente de concevoir des robots qui bougent et ressemblent à de véritables systèmes biologiques le robot anthropomimétique Cronos. source : Maxisciences

tag : metaverse

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les belles histoires de tonton yves

et puis, je m’étais remis à la lecture

je m'étais remis à la lecture
je m’étais remis à la lecture

et puis, je m’étais remis à la lecture.

Avec le développement rapide des technologies actuelles, revenir aux valeurs éducatives fondamentales est essentiel. Les robots ont accès à une large palette de choix en ce qui concerne les loisirs : tablettes, ordinateurs, smartphone, télévision, jeux vidéo, consoles portables. Le défi, en tant que programmeurs est de pouvoir les inciter à lire, en faisant de la lecture un moment plaisant et enrichissant pour le droïde. Roman d’aventures rétrofuturistes, magazine pour les jeunes, roman policier, bande dessinée, documentaire, revues spécialisées sur l’intelligence artificielle… quelle que soit la lecture, lire une dizaine de minutes par jour au moins favorise l’épanouissement des androïdes et des algorithmes.

La lecture présente de nombreux bienfaits pour les machines, que cela soit d’un point de vue intellectuel, psychologique ou relationnel. Découvrez pourquoi votre robot devrait lire quotidiennement, comment la lecture peut éveiller sa curiosité et comment le stimuler pour qu’il prenne goût à la lecture. source : Edigroup

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retapeur de cervelle et machine à décerveler

Le retapeur de cervelles (Émile Cohl, 1910) vs La machine à décerveler (Alfred Jarry, Ubu Roi, 1896)
Le retapeur de cervelles (Émile Cohl, 1910) vs La machine à décerveler (Alfred Jarry, Ubu Roi, 1896)

retapeur de cervelles (Émile Cohl, 1910) et machine à décerveler (Alfred Jarry, Ubu Roi, 1896)

Emile Cohl : le retapeur de cervelle

Gaumont :

Émile Cohl collabore avec la société Gaumont de mai 1908 à septembre 1910. Il est d’abord recruté pour écrire des scénarios, puis rapidement, deux mois après, il est chargé de mettre en scène et ce en raison des multiples talents évoqués précédemment. Il sait écrire puisqu’il est l’auteur de plusieurs vaudevilles, il a, grâce à ses illustrations, une expérience certaine de la composition en images et n’ignore pas les subtilités de la direction d’acteur puisqu’il a lui-même joué la comédie. Les scénarios ne lui étaient rétribués qu’une vingtaine de francs, alors que la rémunération des films est en moyenne de 150 francs. Trois années de production presque équivalente : 20 films en 1908, 32 en 1909 et 29 en 1910, où il affirme des qualités qui lui permettront de subsister au sein d’une corporation labile. En 1908, il réalise autant de films de fiction, comiques et drames, que de féeries ou de films à trucs, et s’essaye juste au dessin animé. En 1909, sa production est majoritairement composée de films à trucs, tandis qu’en 1910, les dessins animés dominent. Le rythme est dans l’ensemble soutenu, inventant et réalisant un nouveau sujet par mois lorsqu’il s’agit de comédie ou de film à trucs, il peut par contre, passer près de deux mois sur les dessins. D’après le témoignage d’Étienne Arnaud, suite à la présentation parisienne de la Maison hantée, Émile Cohl se verra confier le soin de développer, pour la société Gaumont, le procédé du trucage image par image. L’affirmation est confirmée par la filmographie puisque parmi les films conservés plusieurs titres reposent exclusivement sur ce procédé, qui consiste à filmer photogramme par photogramme l’avancée progressive d’un objet, afin qu’une fois projeté à la vitesse de 16 images par seconde (aujourd’hui 24 images), l’objet paraisse se déplacer seul. Dans les Chaussures matrimoniales (1909) par exemple, les souliers de monsieur et de madame en anticipant sur la rencontre à venir aident à la formation du couple. Le Champion du jeu à la mode (1910) montre un homme parvenant à assembler les pièces d’un puzzle par la seule force de l’esprit. Tandis que dans le Mobilier fidèle (1910), les meubles saisis reviennent d’eux-mêmes à leur ancien propriétaire. Alors qu’il réalise ces films, Émile Cohl pense à adapter le principe au dessin. Marcel Lapierre, dans un article documenté (6 Marcel Lapierre, les Cent Visages du cinéma, Paris, Grasset, 1948, p. 65.), le souligne :

Tandis qu’il travaillait,

il fut visité par une inspiration : puisqu’il était avant tout dessinateur, pourquoi ne pas prendre ses dessins pour acteurs ? Pourquoi ne pas photographier des séries de dessins dont la projection au rythme cinématographique donnerait une illusion de mouvement ? […] Sans plus attendre, il se mit à l’ouvrage et réalisa le premier « dessin animé ».

Plutôt que « visité par une inspiration »,

il semble que Cohl se soit souvenu des jeux qui à l’instar du zootrope ou du phénakistiscope créent, en s’appuyant sur la décomposition, l’illusion du mouvement. La technique lui est familière, elle a déjà inspiré des illustrations, et lorsqu’il est interrogé en qualité de pionnier du dessin animé, il ne manque pas de s’y référer en préambule. Pour ce premier film, intitulé Fantasmagorie (1908), Émile Cohl s’inspire des croquis d’enfant et le spectateur assiste aux métamorphoses en forme d’élucubrations de personnages dénommés fantoches, sorte de bonshommes à membres bâton, dont les traits apparaissent en blanc sur fond noir. Léon Gaumont juge l’invention digne d’intérêt et s’incline devant le succès rencontré, car le film fait l’unanimité partout où il est projeté8. Transformation du procédé qui permet surtout de renouveler l’intérêt des films à trucs, dont la mode, d’après Victorien Jasset, a rapidement passé : « Après avoir eu un succès aussi énorme que mérité, le procédé américain fut presque abandonné, parce qu’il n’offrait plus assez de ressources ».

L’étude des films conservés suggère qu’Émile Cohl ait été dans l’obligation de se renouveler sans cesse. Jean-Georges Auriol (« Les premiers dessins animés cinématographiques, 1908, Emile Cohl ») le souligne également :

Cohl, qui a plus d’une petite invention à son actif, avait une ingéniosité inépuisable et venait à bout des trouvailles les plus compliquées. De toutes petites choses qui duraient trois ou quatre minutes sur l’écran lui demandaient des journées de recherches, de ruse et de persévérance.

« Ingéniosité inépuisable »

qui trouve dans un répertoire personnel les ressources de l’inventivité. On reconnaît une de ses têtes de pipe dans les Générations comiques (1909). Les Beaux-Arts mystérieux (1910) s’inspire de deux fantaisies publiées, tels que ces figures créées à partir d’allumettes bougies, présentées entre autres dans l’Illustration, ou à base d’épingles et de fil comme dans l’ABCD à la ficelle, invention qui lui a valu une médaille de vermeil au Concours Lépine. Dans Rêves enfantins (1910), il réemploie le serpent de Mon ami Polichinelle, un album pour enfants écrit par Albert Deparc, qu’il a illustré en 1897 et dans le Cerceau magique (1908), il retrouve les cocottes en papier qui scandaient les pages des Chambres comiques ou apparaissaient en motif dans le portrait charge de Georges Lorin, Hydropathe avec lequel il s’était associé pour créer le studio de photo. Cadre fleuris (1910) s’inspire des effets visuels produits par les chromatropes, objet dont il projetait les nuances dans ses séances de cinéma forain. Cohl s’attache à déployer les facéties visuelles qui composent son univers ludique, tandis que la désaffection des films à trucs l’oblige à employer ses talents en conformité avec l’esprit du temps. À l’instar de ses contemporains, il réalise des adaptations littéraires et anime au moyen de poupées le Tout Petit Faust (1910), d’après Gounod ou le Petit Chantecler (1910) d’après Edmond Rostand. Conformément aux préceptes en faveur du cinéma d’enseignement très répandus alors et auxquels souscrit Léon Gaumont, il réalise des films dont l’agencement chronologique n’est pas sans rappeler la progression didactique des conférences illustrées au moyen de vues sur verre. Il a par ailleurs été fait officier de l’Instruction publique en 1899. L’École moderne (1909), réalisé avec Étienne Arnaud, apparaît comme un manifeste en faveur du cinéma d’enseignement puisqu’il s’agit littéralement de la transposition en film d’un livre. Les Chapeaux des belles dames (1909) présente l’évolution des coiffes à travers les âges, tandis que les Douze Travaux d’Hercule (1910) traduit l’histoire mythologique. Succession chronologique qui d’après le fascicule promotionnel structurait également Dix Siècles d’Élégance (1910), film disparu à ce jour. Autant de sujets qu’on pourrait lui avoir suggérés, puisque la Bataille d’Austerlitz (1909), film d’enseignement militaire, est manifestement une commande. Léon Gaumont a en effet déposé, dès janvier 1900, un brevet pour « un système de production de bandes cinématographiques reproduisant des […] actions militaires ». Un cadre, somme toute assez docte, rapidement mis à mal par la caricature, qui a charge de défigurer les académismes. Pour les Locataires d’à côté (1909), Émile Cohl multiplie les techniques ou les trucages : dessin, papier découpé, cache qui lui permet de diviser son cadre en deux. Dans le Binettoscope (1910), il poursuit une déconstruction du dispositif cinématographique en s’autorisant une mise en abyme de la projection. Émile Cohl, se souvenant de son passé d’Incohérent, réalise le Peintre néo-impressionniste (1910) en hommage à Alphonse Allais dont un monochrome « primo-avrilesque » ornait les murs d’une de leurs expositions. Dans l’Enfance de l’art (1910) il fait littéralement des pieds et des mains avant d’oser le pied de nez et dans la Musicomanie (1910), il attaque les procédures didactiques déployées dans les films d’enseignement, en les associant à des personnages aux traits et attitudes des plus grossiers. Le dessin d’enfant ou le graffiti aurait finalement eut raison des dogmatismes : Émile Cohl quitte la société Gaumont.

Pathé :

D’après ses carnets, il pourrait avoir rejoint la société Pathé en raison d’une augmentation conséquente, mais temporaire, de ses appointements et l’aurait quittée suite à une « brouille ». Le changement de société, à première vue, n’aurait formellement que peu de conséquence, Émile Cohl avec le Retapeur de cervelles (1910), le Musée des grotesques (1911) ou les Fantaisies d’Agénor Maltracé (1911) paraît poursuivre les expérimentations précédentes : dessins au trait blanc sur fond noir, séquences animées associées à des prises de vues réelles, animations de dessins et de papiers découpés reprenant les traits stylistiques des caricatures.

source :

Les carnets filmographiques d’Émile Cohl ou le mouvement d’une œuvre : l’image par image de Gaumont à Éclair

The film notebooks of Émile Cohl or the movement of a work: image by image from Gaumont to Éclair. Valérie Vignaux

La machine à décerveler d’Alfred Jarry

Julien Schuh1 Détails1 CRIMEL – Centre de Recherche Interdisciplinaire sur les Modèles Esthétiques et Littéraires – EA 3311

Résumé : L’œuvre d’Alfred Jarry propose une utilisation singulière de la mémoire comme méthode de production textuelle. Jarry convoque les théories les plus récentes à son époque, dans les ouvrages de Théodule Ribot ou dans les cours de philosophie de Bergson, pour construire une image de la mémoire comme processus de vidange de l’esprit, destiné à ne conserver que l’essentiel de l’expérience humaine. Le processus de la mémorisation est pour Jarry d’abord oubli: c’est un mouvement d’effacement des contextes et de redistribution presque aléatoire des objets de l’expérience, qui doit permettre leur réutilisation dans une œuvre nouvelle. Celui qui sait utiliser sa mémoire ou plutôt, paradoxalement, celui qui sait oublier à bon escient, est capable de produire des textes parfaits, dépourvus de toute aspérité, des œuvres suggestives disponibles pour une multitude d’interprétations. Ce processus, qu’il nomme la ‘Machine à Décerveler’, représente, comme l’écrit Linda Stillman, ‘une métaphore du mécanisme de l’imagination et de l’écriture’.

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ne joue pas au bord de la fadaise !

et puis j’ai rencontré Mark Zuckerberg sur Metaverse

Mark Zuckerberg sur Metaverse

Mark Elliot Zuckerberg, grand amateur de sauce barbecue sur Metaverse, né le 14 mai 1984 à White Plains dans l’Etat de New York, est un informaticien, chef d’entreprise et milliardaire américain. Il est le cofondateur du site réseau social Facebook en 2004, dont il est l’actionnaire majoritaire et également le président-directeur général.

Le magazine Forbes le classe 8e fortune mondiale en 2019, estimée à 74,1 milliards de dollars. source : Wikipedia

tags : sauce barbecue. Sur Métaverse, personne ne t’entend hurler

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de l'autre côté du mouroir

à la porte du Metaverse

A la porte du Metaverse. Abbas Attar, Iran, Le goût de la cerise, 1997  Abbas Kiarostami, portail  n'ouvrant sur rien d'autre que les champs
IRAN. Tehran. 1997. Film director Abbas KHIAROSTAMI on the hills surrounding the capital, where his film « Taste of Cherry », which was co-awarded the Golden Palm in Cannes 1997, was shot.

« A la porte du metaverse », ce mot n’est peut-être devenu à la mode que récemment, mais il est bien connu que Tim Berners-Lee a inventé le World Wide Web (www) en 1989. Puis, en 1992, l’écrivain de science-fiction Neal Stephenson a inventé le terme « métaverse » pour décrire une 3D. espace virtuel.

Avance rapide jusqu’en 2022, le métaverse est un monde numérique créé à l’aide de différentes technologies telles que la réalité virtuelle (VR), la réalité augmentée (VR), la crypto-monnaie et Internet.

Cependant, beaucoup de choses se sont passées au cours de ces 30 années, du monde virtuel en ligne «Second Life» de Philip Rosedale en 2003 à l’annonce en 2021 de Mark Zuckerberg de la porte métavers de Meta (anciennement Facebook). source : generationnouvelles.net

IRAN. Tehran. 1997. Film director Abbas KHIAROSTAMI on the hills surrounding the capital, where his film « Taste of Cherry », which was co-awarded the Golden Palm in Cannes 1997, was shot. /A la porte du Metaverse. Abbas Attar, Iran, Le goût de la cerise, 1997 Abbas Kiarostami au sommet d’une colline regardant par l’interstice d’un portail n’ouvrant sur rien d’autre que les champs. Magnum Photos

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ensemble, tout devient pénible

vous avez demandé le Troisième Reich ? veuillez ne pas quitter

3ème Reich interphone
3ème Reich, troisième étage droite

Troisième Reich désigne l’État allemand nazi dirigé par Adolf Hitler de 1933 à 1945. Ce terme est souvent utilisé en alternance avec celui d’« Allemagne nazie ». Il est également fréquemment employé pour désigner Mr et Mme Reich, les locataires du troisième doite (Wikipedia)