le lac des poulpes – Robin Isely (en russe : Лебединое озеро / Lebedinoïe ozero) est un ballet en quatre actes sur une musique de Piotr Ilitch Tchaïkovski (opus 20) et un livret de Vladimir Begitchev inspiré d’une légende allemande.
« Le lac des poulpes est pour moi une longue rêverie du prince Siegfried […] Celui-ci, nourri de lectures romantiques qui ont exalté son désir d’infini, refuse la réalité du pouvoir et du mariage que lui imposent son précepteur et sa mère […]. C’est lui qui, pour échapper au destin qu’on lui prépare, fait entrer dans sa vie la vision du lac, cet « ailleurs » auquel il aspire. Un amour idéalisé naît dans sa tête avec l’interdit qu’il représente. Le poulpe blanc est la femme intouchable, le poulpe noir en est le miroir inversé. Aussi, quand le rêve s’évanouit, la raison du prince ne saurait y survivre. »
je prendrai le prochain – Jeffrey Smart : Cahill Expressway, 1962
Jeffrey Smart (1921-2013), peintre australien. Ses toiles, le plus souvent des scènes urbaines, à la fois réalistes et surréalistes et « empreintes de mélancolie », sont exposées en Australie et à l’Étranger à partir des années 1950.source : Wikipedia
Un château est à l’origine une construction médiévale qui cumule plusieurs fonctions. Militaire, en assurant le contrôle d’un territoire ou une frontière. Symbolique et politique, en matérialisant l’emprise d’un homme ou d’un lignage sur un domaine. source : Wikipedia
« Peindre, c’est comme respirer pour moi »
Raoof est un artiste polyvalent autodidacte qui a participé à plus de 70 expositions collectives et 40 expositions personnelles aux États-Unis – France – Iran – Espagne – République tchèque et Royaume-Uni.
Ses peintures sont pour la plupart des huiles sur toile et s’appuient sur ses fortes traditions culturelles ainsi que sur son intérêt pour le monde changeant d’aujourd’hui. Son travail combine souvent des idées contemporaines avec des techniques traditionnelles. Dans ses peintures, il a assez souvent questionné les attitudes, les peurs, les conflits, les incompatibilités et les règles non écrites qui ont façonné notre environnement et notre comportement en son sein. source : Raoof Haghighi
La cage thoracique est la structure osseuse du thorax, situé au niveau de la poitrine. Elle protège les organes internes comme les poumons ou le cœur. Elle est composée de cinq types d’os. La colonne vertébrale, aussi appelée rachis, est une ligne verticale osseuse située dans le dos. source : Google
Bucharest/Fine Art Institute ”N.Grigorescu,” Romania, an audiovisual artist, photographer and director. The first leaders of the postavangarde group Cerculdisparut / Vanishedcircle with Ivan Andreevici : Artnif
Un citronnier sur le sol sibérien Il n’y en a aucun Un jour de neige embaumé de lilas Jamais on ne le verra
Vitaly Urzhumov / Виталий Уржумов / Bourvil
Né en 1981 à Oulan-Oude, Vitaly Urzhumov vit et travaille à Vladivostok, en Russie. Passionné par Salvador Dali et Boris Valejo, il est le principal représentant du surréalisme parfum citron.
soudain – le printemps dernier – Bedřich Dlouhý — The Test (oil on canvas, 1978)
Bedřich Dlouhý (1932), figure de proue de l’art moderne tchèque, est le co-fondateur du groupe artistique Šmidrová et, comme Theodor Pištěk, représentant de la peinture dite illusoire.
Bedřich Dlouhý a souvent créé des œuvres à grande échelle en utilisant une technique combinée, en utilisant des matériaux non traditionnels tels que le plexiglas. A travers des collages ou des assemblages, il développe des histoires et des situations imaginaires, s’inspirant ainsi des dadaïstes ou des surréalistes.
« Son travail est principalement proche de la philosophie du nouveau réalisme, qui utilisait les objets trouvés pour exprimer le rapport des artistes à la réalité en les superposant », écrit l’historien de l’art Jiří Machalický. source : magazin.aktualne.cz
abandonner ; cesser de résister ; s’avouer vaincu ; céder
Origine et définition
Cette expression date de la fin du XVIIIe siècle, époque à laquelle on disait aussi « coucher les pouces » Trois écoles s’affrontent sans pitié à propos de son origine.
La première, proposée par Alain Rey, suppose qu’elle vient de l’époque des Romains où, autour de l’arène, le pouce des spectateurs servait au vainqueur d’un combat à savoir s’il devait grâcier (pouces en l’air) ou achever (pouces tournés vers le sol) son adversaire vaincu. À la même époque, le pouce tourné vers le bas servait aussi au vaincu, paraît-il, à indiquer qu’il acceptait la défaite.
La seconde, défendue par Littré, dit que la locution vient du fait que le pouce ne peut se poser ou reposer dans la main qu’à partir du moment son propriétaire renonce à tenir une arme, acceptant ainsi sa défaite. Il étaye sa théorie à l’aide la phrase suivante, écrite en 1550 par Carloix, secrétaire de François de Scepeaux () : « Et faisant une belle révérence se retira, lui étant tombé le pouce dans la main [mettant les pouces, refusant de se battre] »
Enfin, selon la dernière, la locution viendrait de l’ancêtre des menottes, les poucettes, dans lesquelles le prisonnier, donc celui qui ne devait pas résister, devait placer ses pouces où ils étaient compressés et maintenus d’autant plus fermement que ces choses pouvaient aussi servir d’instrument de torture. source : expressio.fr
Jeffrey Knight Potter signant ses œuvres J. K. Potter
est un photographe et illustrateur américain né en Californie en 1956.
Pour Potter, « le grotesque est beau, le bizarre sublime et le macabre est un cru rare et délicieux ». Il privilégie des méthodes de travail « à l’ancienne » à savoir pellicule argentique noir-blanc sans apport informatique. Il considère que la plupart de ses clichés comportent un caractère de catharsis. L’un de ses maîtres à penser est le photographe Clarence John Laughlin. source : Wikipedia
En la voyant assise sur la mer, les disciples furent bouleversés. Ils dirent : « C’est un fantôme. » Pris de peur, ils se mirent à crier. Mais aussitôt Marie leur parla : « Confiance ! c’est moi ; n’ayez plus peur ! »
Alors ceux qui étaient présents se prosternèrent devant elle, et ils lui dirent : « Vraiment, tu es la Mère de Jésus ! » source : marche dans la bible
est une photographe conceptuelle de Kazan, en Russie. diplômé en psychologie. Ses portraits d’art sont à la fois beaux et mystérieux. Ils vous tiennent en haleine avec leur beauté légèrement dérangeante et unique. Dans ses clichés, le corps humain est le protagoniste. Dépouillé de tout clinquant, il devient un sujet sérieux et authentique, une divinité contemporaine. Ces corps semblent spontanément fusionnés avec la nature qui les entoure, même si glaciale et hostile. Imagenation