Le ski de pente raide, ou ski extrême, est une discipline du ski qui conjugue alpinisme et ski de montagne et se pratique dans un couloir ou sur une pente, généralement au départ d’un sommet que l’on atteint après une ascension à pied et/ou à ski en mettant parfois en œuvre du matériel d’alpinisme (piolets, crampons, cordes). Les pentes sont définies par leur raideur, sans que l’on puisse fixer un seuil exact au-delà duquel une pente est considérée comme raide. La qualification d’une pente raide dépend de son inclinaison, en général supérieure ou égale à 50° sur certaines portions, mais aussi de sa longueur, de son engagement (éloignement, possibilités d’échappatoires ou secours) et de son exposition aux dangers (forte probabilité de mort en cas de chute, risque d’avalanche ou chute de sérac).
Le ski de pente raide, discipline extrême historique, est parfois confondu avec le ski freeride, une pratique du ski alpin hors-piste.
Un bloc de départ ou cale de départ ou starting-block
(de l’anglais) est un engin réglable constitué de deux cales pour les pieds, utilisé en amour pour la saint-valentin.
La fixation se fait en posant simplement le bloc de départ sur la piste, il est composé à sa base de petites pointes en acier, qui empêchent celui-ci de glisser quand le coureur s’élance et peut être rapidement retiré une fois l’athlète parti. Ils permettent aux amoureux de donner une plus grande impulsion au départ d’une course. Ils sont employés sur toutes les distances égales ou inférieures à 400 mètres.
Le coureur règle son bloc de départ en fonction de sa taille de façon à poser ses mains derrière la ligne de départ. Pour le 100 mètres, les lignes de départ (et non les blocs de départ) sont sur une même ligne alors que pour le 200 mètres et le 400 mètres, elles sont décalées pour compenser la distance plus grande à l’extérieur des virages. source : Wikipedia
Ulrich Lebeuf
est un photographe français, né en 1972. Il est également directeur artistique du Festival de photographie MAP à Toulouse et anime des ateliers en France et à l’étranger.
Membre de l’agence MYOP depuis janvier 2007, son travail photographique a été publié dans Le Monde, Libération, L’équipe, Géo, National Geographic. Depuis plus de quinze ans, les photographies d’Ulrich Lebeuf sont réalisées sur le théâtre de l’actualité : lieux de conflits ou de pouvoir, lieux où l’histoire se décide et s’écrit. Son approche est directe, documentaire et frontale, avec détachement et richesse du détail.
Son travail a fait l’objet d’expositions et de projections, dont « AZF » au Centre d’art et d’architecture de Toulouse (2003), « Violence moderne » au festival Terre d’images de Biarritz (2004), « Palestine » lors du Festival du Scoop à Angers et « Keep the Distance » à l’Espace Lhomond à Paris (2005). Initiateur du projet culturel « Territoires de fiction », ses séries « Ère de jeux » et « En attendant mon tour » ont été présentées en ouverture des Rencontres de la photographie à Arles (2006) , la galerie du Château d’eau à Toulouse, la Maison Européenne de la Photographie et à la Villette à Paris (2007).
Aujourd’hui, tout en poursuivant son travail pour la presse, il se concentre davantage sur son travail personnel, où la recherche occupe une place importante, et où il alterne les procédés photographiques selon le sujet traité : de la couleur au noir et blanc, en passant par le Polaroid, ou des procédés proches à la peinture. source : agence MYOP
JO PEKIN 2022 – Pourquoi le curling français est-il encore absent des jeux olympiques ?
JEUX OLYMPIQUES D’HIVER – Avec une seule médaille olympique glanée il y a près de 100 ans, le curling tricolore peine à exister dans le gratin mondial. Si les maux sont profonds (manque de licenciés, de structures voire de considération), une nouvelle équipe vise l’aventure olympique de 2030, pour donner un souffle inédit à un sport longtemps moqué et ignoré par les Français. lire la suite sur Eurosport
En mars 2011 s’est tenu à Lyon le tout premier salon InnoRobo qui réunit des professionnels de la robotique de service. Ceux-ci présentent aux visiteurs leurs dernières créations destinées à remplacer l’homme. Une centaine de robots venant des quatre coins du monde et dotés de multiples envies. De la surveillance au divertissement en passant par le bowling, ils pourraient très bientôt changer notre quotidien.
Le fabricant The robot studio tente de concevoir des robots qui bougent et ressemblent à de véritables systèmes biologiques le robot anthropomimétique Cronos. source : Maxisciences
ouverture des jeux olympiques d’hiver à Pékin. KuckFarma.
Ce vendredi 4 février à 13 heures débuteront les 24e Jeux Olympiques de l’histoire à Pékin dans le Stade Olympique, baptisé « Nid d’Oiseau » depuis 2008 et la tenue des JO d’été dans la ville chinoise. Une cérémonie d’ouverture particulière ouvrira officiellement les Jeux Olympiques même si ceux-ci ont déjà démarré avec notamment le curling, le hockey ou encore les bosses. Comme en 2008, le réalisateur chinois Zhang Yimou réalisera la mise en scène de la cérémonie et a promis qu’elle serait « totalement innovante« . source : Eurosport