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le plan secret pour l’amitié entre les peuples

le plan secret pour l'amitié entre les peuples, Joost Swarte, De Stijl art movement
le plan secret pour l’amitié entre les peuples, Joost Swarte, De Stijl art movement

le plan secret pour l’amitié entre les peuples, Joost Swarte, De Stijl art movement

« Né aux Pays-Bas en 1947, Joos Swarte est un pilier de la bande dessinée underground néerlandaise. Il est l’inventeur du terme « ligne claire », dont il est l’un des chefs de file incontesté, servant à désigner l’esthétique hergéenne d’un certain type de bandes dessinées marquées par l’épure et la lisibilité du trait.

Étudiant en design industriel à la fin des années 1960, il se dirige d’abord vers la peinture et se fait publier dans des revues underground. Il créé le magazine « Modern Paper », qu’il finit par quitter dès le neuvième numéro pour aller dessiner dans « Tante Leny Presenteert », un magazine néerlandais qui introduit la bande dessinée d’auteur pour la première fois dans le pays. Aux côtés de Swarte, on y retrouve, entre autres, Ever Meulen, pilier lui aussi de la ligne claire ». source : Dargaud

L’illustration ci-dessus est une Affiche Piet Zwart de Joost Swarte. 2017. Publié par Griffioen Grafiek.

Pour son livre «En toen De Stijl», Joost Swarte a dessiné les ateliers des artistes qui faisaient partie de De Stijl ou en ont été influencés. Huit de ces dessins ont maintenant été publiés sous forme d’affiches.

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Hey what did you expect ?

Hey what did you expect ?
Hey what did you expect ?

Hey what did you expect ? Avec Nicole Kidman, le jeudi, c’est saucisse purée et Schweppes

tags : saucisse, exercice illégal de la profession de coiffeur, mais t’avais dit qu’on fera des Knacki

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la FIAC Paris fête la Saint-Valentin

Server Demirtas, choir, 2015, mechanical sculpture with sound (ou video perso)

la FIAC Paris fête la Saint-Valentin. Server Demirtas, choir, 2015, mechanical sculpture with sound

« Here’s Some Disembodied, ‘Moo’-ing Robot Mouths Trying To Lick One Another. choir is a mechanic sculpture by Server Demirtas, involving movement, and sound-voice. Exhibited for the first time at Contemporary Istanbul Art Fair in 2015. The three choir members tired of being misunderstood, finally give up trying. »

La Foire internationale d’art contemporain ou FIAC est une manifestation d’art contemporain célébrant l’amour qui se déroule chaque année le 14 février à Paris

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la tradition du pull de Saint-Valentin est-elle une faute de goût ?

la tradition du pull de Saint-Valentin est-elle une faute de goût ? Ketheryn Babst
la tradition du pull de Saint-Valentin est-elle une faute de goût ? Ketheryn Babst

la tradition du pull de Saint-Valentin est-elle une faute de goût ? cette tendre attention romantique va t’elle plaire à mon amoureux ? Selon, Ketheryn Babst, notre spécialiste amour et beauté, cette plaisante coutume n’est pas sans risques pour votre couple.

A l’instar du pull moche de noël, la tradition du pull-bite du 14 février s’est rapidement imposée dans nos foyers avides de romance. De nombreux témoignages recueillis en caméra discrète par la cellule investigation de notre confrère « Modes et Travaux » alertent sur les dangers que représente pour les tricoteuses en quête d’une nuit d’amour inoubliable cet ouvrage pour dames, clin d’oeil discret à Cupidon.

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tag : tue-l’amour

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la nouvelle objectivité

la nouvelle objectivité, Lady with a Mask, 1928, Arno Henschel ( 1897 - 1945 )
la nouvelle objectivité, Lady with a Mask, 1928
Arno Henschel ( 1897 – 1945 )

la nouvelle objectivité (Die Neue Sachlichkeit, New Objectivity) (Lady with a Mask, la femme au masque, 1928, Arno Henschel ( 1897 – 1945 )) est le nom donné à un retour au monde du visible. Elle débute immédiatement après la première guerre mondiale, avec de nombreux artistes se tournant vers des thèmes picturaux socio-critiques ( George Grosz , Otto Dix , Christian Schad , Lotte Laserstein et bien d’autres). Il s’est imposé comme l’ un des principaux mouvements artistiques de la République de Weimar. Wikipedia

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retapeur de cervelle et machine à décerveler

Le retapeur de cervelles (Émile Cohl, 1910) vs La machine à décerveler (Alfred Jarry, Ubu Roi, 1896)
Le retapeur de cervelles (Émile Cohl, 1910) vs La machine à décerveler (Alfred Jarry, Ubu Roi, 1896)

retapeur de cervelles (Émile Cohl, 1910) et machine à décerveler (Alfred Jarry, Ubu Roi, 1896)

Emile Cohl : le retapeur de cervelle

Gaumont :

Émile Cohl collabore avec la société Gaumont de mai 1908 à septembre 1910. Il est d’abord recruté pour écrire des scénarios, puis rapidement, deux mois après, il est chargé de mettre en scène et ce en raison des multiples talents évoqués précédemment. Il sait écrire puisqu’il est l’auteur de plusieurs vaudevilles, il a, grâce à ses illustrations, une expérience certaine de la composition en images et n’ignore pas les subtilités de la direction d’acteur puisqu’il a lui-même joué la comédie. Les scénarios ne lui étaient rétribués qu’une vingtaine de francs, alors que la rémunération des films est en moyenne de 150 francs. Trois années de production presque équivalente : 20 films en 1908, 32 en 1909 et 29 en 1910, où il affirme des qualités qui lui permettront de subsister au sein d’une corporation labile. En 1908, il réalise autant de films de fiction, comiques et drames, que de féeries ou de films à trucs, et s’essaye juste au dessin animé. En 1909, sa production est majoritairement composée de films à trucs, tandis qu’en 1910, les dessins animés dominent. Le rythme est dans l’ensemble soutenu, inventant et réalisant un nouveau sujet par mois lorsqu’il s’agit de comédie ou de film à trucs, il peut par contre, passer près de deux mois sur les dessins. D’après le témoignage d’Étienne Arnaud, suite à la présentation parisienne de la Maison hantée, Émile Cohl se verra confier le soin de développer, pour la société Gaumont, le procédé du trucage image par image. L’affirmation est confirmée par la filmographie puisque parmi les films conservés plusieurs titres reposent exclusivement sur ce procédé, qui consiste à filmer photogramme par photogramme l’avancée progressive d’un objet, afin qu’une fois projeté à la vitesse de 16 images par seconde (aujourd’hui 24 images), l’objet paraisse se déplacer seul. Dans les Chaussures matrimoniales (1909) par exemple, les souliers de monsieur et de madame en anticipant sur la rencontre à venir aident à la formation du couple. Le Champion du jeu à la mode (1910) montre un homme parvenant à assembler les pièces d’un puzzle par la seule force de l’esprit. Tandis que dans le Mobilier fidèle (1910), les meubles saisis reviennent d’eux-mêmes à leur ancien propriétaire. Alors qu’il réalise ces films, Émile Cohl pense à adapter le principe au dessin. Marcel Lapierre, dans un article documenté (6 Marcel Lapierre, les Cent Visages du cinéma, Paris, Grasset, 1948, p. 65.), le souligne :

Tandis qu’il travaillait,

il fut visité par une inspiration : puisqu’il était avant tout dessinateur, pourquoi ne pas prendre ses dessins pour acteurs ? Pourquoi ne pas photographier des séries de dessins dont la projection au rythme cinématographique donnerait une illusion de mouvement ? […] Sans plus attendre, il se mit à l’ouvrage et réalisa le premier « dessin animé ».

Plutôt que « visité par une inspiration »,

il semble que Cohl se soit souvenu des jeux qui à l’instar du zootrope ou du phénakistiscope créent, en s’appuyant sur la décomposition, l’illusion du mouvement. La technique lui est familière, elle a déjà inspiré des illustrations, et lorsqu’il est interrogé en qualité de pionnier du dessin animé, il ne manque pas de s’y référer en préambule. Pour ce premier film, intitulé Fantasmagorie (1908), Émile Cohl s’inspire des croquis d’enfant et le spectateur assiste aux métamorphoses en forme d’élucubrations de personnages dénommés fantoches, sorte de bonshommes à membres bâton, dont les traits apparaissent en blanc sur fond noir. Léon Gaumont juge l’invention digne d’intérêt et s’incline devant le succès rencontré, car le film fait l’unanimité partout où il est projeté8. Transformation du procédé qui permet surtout de renouveler l’intérêt des films à trucs, dont la mode, d’après Victorien Jasset, a rapidement passé : « Après avoir eu un succès aussi énorme que mérité, le procédé américain fut presque abandonné, parce qu’il n’offrait plus assez de ressources ».

L’étude des films conservés suggère qu’Émile Cohl ait été dans l’obligation de se renouveler sans cesse. Jean-Georges Auriol (« Les premiers dessins animés cinématographiques, 1908, Emile Cohl ») le souligne également :

Cohl, qui a plus d’une petite invention à son actif, avait une ingéniosité inépuisable et venait à bout des trouvailles les plus compliquées. De toutes petites choses qui duraient trois ou quatre minutes sur l’écran lui demandaient des journées de recherches, de ruse et de persévérance.

« Ingéniosité inépuisable »

qui trouve dans un répertoire personnel les ressources de l’inventivité. On reconnaît une de ses têtes de pipe dans les Générations comiques (1909). Les Beaux-Arts mystérieux (1910) s’inspire de deux fantaisies publiées, tels que ces figures créées à partir d’allumettes bougies, présentées entre autres dans l’Illustration, ou à base d’épingles et de fil comme dans l’ABCD à la ficelle, invention qui lui a valu une médaille de vermeil au Concours Lépine. Dans Rêves enfantins (1910), il réemploie le serpent de Mon ami Polichinelle, un album pour enfants écrit par Albert Deparc, qu’il a illustré en 1897 et dans le Cerceau magique (1908), il retrouve les cocottes en papier qui scandaient les pages des Chambres comiques ou apparaissaient en motif dans le portrait charge de Georges Lorin, Hydropathe avec lequel il s’était associé pour créer le studio de photo. Cadre fleuris (1910) s’inspire des effets visuels produits par les chromatropes, objet dont il projetait les nuances dans ses séances de cinéma forain. Cohl s’attache à déployer les facéties visuelles qui composent son univers ludique, tandis que la désaffection des films à trucs l’oblige à employer ses talents en conformité avec l’esprit du temps. À l’instar de ses contemporains, il réalise des adaptations littéraires et anime au moyen de poupées le Tout Petit Faust (1910), d’après Gounod ou le Petit Chantecler (1910) d’après Edmond Rostand. Conformément aux préceptes en faveur du cinéma d’enseignement très répandus alors et auxquels souscrit Léon Gaumont, il réalise des films dont l’agencement chronologique n’est pas sans rappeler la progression didactique des conférences illustrées au moyen de vues sur verre. Il a par ailleurs été fait officier de l’Instruction publique en 1899. L’École moderne (1909), réalisé avec Étienne Arnaud, apparaît comme un manifeste en faveur du cinéma d’enseignement puisqu’il s’agit littéralement de la transposition en film d’un livre. Les Chapeaux des belles dames (1909) présente l’évolution des coiffes à travers les âges, tandis que les Douze Travaux d’Hercule (1910) traduit l’histoire mythologique. Succession chronologique qui d’après le fascicule promotionnel structurait également Dix Siècles d’Élégance (1910), film disparu à ce jour. Autant de sujets qu’on pourrait lui avoir suggérés, puisque la Bataille d’Austerlitz (1909), film d’enseignement militaire, est manifestement une commande. Léon Gaumont a en effet déposé, dès janvier 1900, un brevet pour « un système de production de bandes cinématographiques reproduisant des […] actions militaires ». Un cadre, somme toute assez docte, rapidement mis à mal par la caricature, qui a charge de défigurer les académismes. Pour les Locataires d’à côté (1909), Émile Cohl multiplie les techniques ou les trucages : dessin, papier découpé, cache qui lui permet de diviser son cadre en deux. Dans le Binettoscope (1910), il poursuit une déconstruction du dispositif cinématographique en s’autorisant une mise en abyme de la projection. Émile Cohl, se souvenant de son passé d’Incohérent, réalise le Peintre néo-impressionniste (1910) en hommage à Alphonse Allais dont un monochrome « primo-avrilesque » ornait les murs d’une de leurs expositions. Dans l’Enfance de l’art (1910) il fait littéralement des pieds et des mains avant d’oser le pied de nez et dans la Musicomanie (1910), il attaque les procédures didactiques déployées dans les films d’enseignement, en les associant à des personnages aux traits et attitudes des plus grossiers. Le dessin d’enfant ou le graffiti aurait finalement eut raison des dogmatismes : Émile Cohl quitte la société Gaumont.

Pathé :

D’après ses carnets, il pourrait avoir rejoint la société Pathé en raison d’une augmentation conséquente, mais temporaire, de ses appointements et l’aurait quittée suite à une « brouille ». Le changement de société, à première vue, n’aurait formellement que peu de conséquence, Émile Cohl avec le Retapeur de cervelles (1910), le Musée des grotesques (1911) ou les Fantaisies d’Agénor Maltracé (1911) paraît poursuivre les expérimentations précédentes : dessins au trait blanc sur fond noir, séquences animées associées à des prises de vues réelles, animations de dessins et de papiers découpés reprenant les traits stylistiques des caricatures.

source :

Les carnets filmographiques d’Émile Cohl ou le mouvement d’une œuvre : l’image par image de Gaumont à Éclair

The film notebooks of Émile Cohl or the movement of a work: image by image from Gaumont to Éclair. Valérie Vignaux

La machine à décerveler d’Alfred Jarry

Julien Schuh1 Détails1 CRIMEL – Centre de Recherche Interdisciplinaire sur les Modèles Esthétiques et Littéraires – EA 3311

Résumé : L’œuvre d’Alfred Jarry propose une utilisation singulière de la mémoire comme méthode de production textuelle. Jarry convoque les théories les plus récentes à son époque, dans les ouvrages de Théodule Ribot ou dans les cours de philosophie de Bergson, pour construire une image de la mémoire comme processus de vidange de l’esprit, destiné à ne conserver que l’essentiel de l’expérience humaine. Le processus de la mémorisation est pour Jarry d’abord oubli: c’est un mouvement d’effacement des contextes et de redistribution presque aléatoire des objets de l’expérience, qui doit permettre leur réutilisation dans une œuvre nouvelle. Celui qui sait utiliser sa mémoire ou plutôt, paradoxalement, celui qui sait oublier à bon escient, est capable de produire des textes parfaits, dépourvus de toute aspérité, des œuvres suggestives disponibles pour une multitude d’interprétations. Ce processus, qu’il nomme la ‘Machine à Décerveler’, représente, comme l’écrit Linda Stillman, ‘une métaphore du mécanisme de l’imagination et de l’écriture’.

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Y’a d’la joie

Bonjour bonjour les hirondelles
Y’a d’la joie
Sur le bois, des sourires pour toi
Y a d’la joie
Et du soleil dans les ruelles
Y a d’la joie
Partout y a d’la joie
Tout le jour, mon cœur bat, chavire et chancelle
C’est l’amour qui vient avec la Saint-Valentin
C’est l’amour bonjour, bonjour les demoiselles
Y a d’la joie
Partout y a d’la joie

Charles Trenet

Y'a d'la joie, Charles Trenet, paréidolie, saint-valentin
Y’a d’la joie, Charles Trenet, paréidolie, saint-valentin

paréidolie : phénomène psychologique, impliquant un stimulus (visuel ou auditif) vague et indéterminé, plus ou moins perçu comme reconnaissable, et consistant à identifier une forme familière depuis ce stimuli, dans un paysage, un nuage, de la fumée, une tache d’encre, une voix humaine, des paroles. source : TV5monde

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l’hiver, c’était mieux avant

l’hiver, c’était mieux avant

L’hiver c’était mieux avant. Holland in the Winter of 1917. Courtesy of the Film Insitute of the Netherlands. La Hollande en hiver

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pour la saint-valentin, tu pourras me déballer

à la saint-valentin, tu pourras me déballer. L'Homme invisible (The Invisible Man), James Whale, 1933
à la saint-valentin, tu pourras me déballer. L’Homme invisible (The Invisible Man), James Whale, 1933

à la saint-valentin, tu pourras me déballer. L’Homme invisible (The Invisible Man), James Whale, 1933

« synopsis : Jack Griffin, un scientifique, a trouvé le moyen de devenir invisible. Soucieux de trouver la formule qui lui permettra un retour à la normale avant la saint-valentin, il s’enroule le visage de bandeaux et se retire dans l’auberge d’un village isolé » Allociné

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mais t’avais dit qu’on fera des knacki

mais t'avais dit qu'on fera des Knacki, Sage Szkabarnicki-Stuart
mais t’avais dit qu’on fera des Knacki, Sage Szkabarnicki-Stuart

mais t’avais dit qu’on fera des Knacki, dit-elle alors à Sage Szkabarnicki-Stuart

« Sage Szkabarnicki-Stuart est une artiste de 26 ans qui vit dans une région rurale de l’Ontario. Son travail explore les concepts de « chez-soi » et d’appartenance d’un point de vue écologique et fantastique. À travers ses photographies, Sage invite le spectateur à réfléchir sur ses propres relations avec les saucisses de Strasbourg, les Knackis, des objets ou des rituels liés à son identité. Elle est membre de la Workman Arts Organization à Torontoo »

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