à la campagne les gens sont plus proches de la nature.
tags : néoruraux, string, bélier
Faut vous dire Cayeux Que chez ces gens-là – Ange
Mardi, Public Sénat demandait à Caroline Cayeux si elle maintenait d’anciennes déclarations datant de 2013 « sur le mariage pour tous et l’adoption pour les couples de même sexe, qualifiées de réforme de caprice et de dessein qui va contre la nature ». La ministre a d’abord dit : « Je maintiens évidemment mes propos. Mais j’ai toujours dit que la loi, si elle était votée, je l’appliquerais ». Et d’ajouter pour édulcorer : « Je dois vous dire quand même j’ai beaucoup d’amis parmi ces gens-là. Franchement, c’est un mauvais procès qu’on me fait et ça m’a beaucoup contrariée ». « Je n’ai jamais fait partie de La Manif pour tous, je n’ai jamais défilé, que les choses soient claires », a aussi indiqué la ministre. source : nouvelobs.com
ces gens là sur youtube
tags : vintage lesbians, lesbiennes d’avant, LGBT
la maison avec piscine – Axel Krause : Two Boys by a Pool (oil on canvas, 2022)
Axel Krause, né le 23 octobre 1958 à Halle, est un peintre et graphiste allemand. Il est associé à la New Leipzig School et vit et travaille à Leipzig. Il a étudié à la Hochschule für Grafik und Buchkunst Leipzig en 1981-1986. Il a enseigné à l’école en 1989-1999 et a travaillé pour l’Opéra de Leipzig en 1990-1993. Wikipédia
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James Caan me manque déjà – The Godfather, le parrain, 1972
Révélé par Howard Hawks et rendu inoubliable par Francis Ford Coppola, l’acteur américain James Caan s’est éteint dans la soirée de ce mercredi 6 juillet 2022, à l’âge de 82 ans. biographie sur lesinrocks.com
vieillir chez soi – Jacob Holdt, American Pictures 1970 – 1975
Au début des années 1970, Jacob Holdt quitte son Danemark natal et arrive aux États-Unis avec 40 dollars en poche. Il avait l’intention de traverser le pays en route vers l’Amérique du Sud, mais il a été tellement choqué et fasciné par ce qu’il a vu ici qu’il a décidé de rester un moment. Lorsque sa famille était sceptique quant à la pauvreté qu’il décrivait dans des lettres à la maison, son père a envoyé un appareil photo amateur bon marché, demandant des preuves, et Holdt a commencé à créer ce portrait de l’Amérique et de sa sous-classe.
En fin de compte, il a passé cinq ans comme vagabond, vendant son sang deux fois par semaine et faisant de l’auto-stop sur plus de 100 000 miles. Il s’est lié d’amitié avec celui qui lui proposait de le conduire, et un trajet devenait souvent une offre de rester quelques jours. Il n’a jamais dit non et a finalement visité plus de 350 maisons, où il a photographié les gens avec qui il vivait : familles pauvres, millionnaires, junkies, membres du Ku Klux Klan. Ses images font écho au travail de la WPA, et ont entre autres inspiré Lars Van Trier. Plus récemment, Holdt, qui est né en 1947 à Copenhague, a travaillé dans des pays du tiers monde, documentant la vie de ceux qui vivent dans la pauvreté. source : studioxol.com
Jacob Holdt sur instagram
Comment « vieillir chez soi » ? Derrière cette simple question, d’autres se profilent : celle de l’environnement, logement et voisinage, plus ou moins adaptés et accueillants, et aussi, à cause des handicaps des vieux jours, celle de la fourniture de l’aide et des soins dans cet environnement. On doit donc inévitablement se demander aussi qui finance ces dépenses, et comment. Si le logement conditionne, au moins en partie, le besoin de soin, si la fourniture de soin et ses coûts dépendent de l’environnement, si les inégalités, de santé, de durée de vie et de logement se sont cumulées au cours de la vie, on devine que les interrelations sont multiples.
Dans beaucoup de pays, dont la France, l’assurance maladie n’inclut pas une assurance dépendance (qu’on peut préférer appeler assurance « handicap ») ; cette fameuse distinction entre le sanitaire et le médico-social est en perpétuelle discussion. Quoi qu’il en soit de la prégnance de la distinction, la question du coût du logement, la partie « hébergement » du vieillir sur place, in place, se pose universellement. source : cairn.info
tags : vieille femme au revolver, gérontologie, USA
Emilie Bailhache : Elle semble avoir des pieds minuscules
Inter Brette : Emilie Bailhache c’est souvent le cas chez les femmes qui ont un gros revolver
souvent nous pique-niquions – Tony Ray Jones, A Day Off, Angleterre 1965-1967
Parce qu’il traquait dans ses photos la folie douce qui gouverne le quotidien des Anglais, Tony Ray-Jones a directement influencé le travail de Martin Parr. Les deux sont exposés à la Galerie Clémentine de La Féronnière à Paris.
Sur les images en noir et blanc, on voit ici un couple d’Anglais, elle en robe longue, lui en chemise blanche, pique-niquant au milieu des vaches. Là, autour d’une minuscule table, des retraités prennent le thé, avec le mot « TEA » écrit au-dessus de leurs têtes en gros caractères. Ailleurs, sur un talus, deux couples en imperméable et bottes de caoutchouc, serviette de table blanche sur les genoux, scrutent le ciel avec des jumelles. Ou encore, sur un autre cliché, un gars en chapeau et cravate, un pied sur l’escabeau et l’autre dans le vide, bricole en équilibre le haut d’une porte. Pour le visiteur de l’exposition « In black & white » , réunissant Martin Parr et Tony Ray-Jones, difficile de dire qui de l’un ou de l’autre est l’auteur de chaque photo. Il y a chez ces deux-là, dans leur observation attentive de la société anglaise, un goût pour l’humour, toujours mâtiné de tendresse. source : telerama.fr
tags : pique-nique entre les vaches, vacances à la campagne
est-ce que j’ai pensé à fermer le gaz ?
Les tarifs réglementés de gaz d’Engie sont bloqués entre le 1er novembre 2021 et le 31 décembre 2022 au niveau des tarifs du mois d’octobre 2021. Un arrêté publié au Journal officiel du 26 juin 2022 prolonge jusqu’au 31 décembre 2022 le gel des tarifs réglementés de vente du gaz naturel. source : service-public.fr
tags : alpinisme, escalade à main nue, vacances, préoccupations rémanentes, TOC, trouble obsessionnel compulsif, grimpeur, ascension des prix de l’énergie
grandes migrations, une bonne signalisation pour les moucherons – Philippe Caillaud
L’activité artistique de Philippe Caillaud consiste à enfoncer des portes ouvertes mais en prenant le plus d’élan possible. Je peux vous assurer (l’ayant vu faire) qu’il bat la campagne avec beaucoup de soin et de concentration, voire avec une technique éprouvée. En tout cas en faisant preuve d’une expérience évidente. Je pense honnêtement que sa pratique est le travail le plus inutile du monde, et il y passe beaucoup de temps. Chacune de ses oeuvres est très élaborée, très détaillée et apparemment lui demande beaucoup d’efforts. Elles peuvent souvent être considérées comme de réelles performances. Perçu par certaines âmes sensibles comme un poète lui, a tendance à ne pas se considérer du tout. Il continue à suivre ses idées, contre vents et marées, surtout si elles n’ont aucun sens. Philippe Caillaud a longtemps cru qu’il était un descendant d’Alfred Jarry mais ça s’est avéré être une erreur. Il était pourtant disposé à tirer des coups de feu dans son jardin pour rendre hommage à son ancêtre. Faisant une fixation obsessionnelle et peut être compulsive sur le Mont Saint Michel, il le dessine inlassablement. Il s’est fixé comme objectif d’en réaliser 36 vues. Persuadé que les pyramides d’Égypte sont des esquisses du Mont, il pense que cette île est d’origine extra-terrestre et que la mère Poulard est un alien.
Paula Chipp Dillie sur le site de Philippe Caillaud
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