bien-sûr il reste le jet-ski – A Boogie Wit Da Hoodie – Just Like Me (feat. Young Thug) [Official Audio]
Sex me, don’t caress me I’m good, I don’t wanna be your bestie She like, « Wet me like a jet-ski » Beat her to it, I’ma do it if she let me, yeah Get flee in a white tee Two hundred on my neck, it get icy, yeah You can’t be my wifey, you’re just like me Sex me, don’t caress me I’m good, I don’t wanna be your bestie She like, « Wet me like a jet-ski »
Sexe moi, ne me caresse pas, je vais bien, je ne veux pas être ta meilleure amie fuis dans un t-shirt blanc Deux cents sur mon cou, ça devient glacial, ouais Tu ne peux pas être ma femme, tu es comme moi Sexe moi, ne me caresse pas, je vais bien, je ne veux pas être ta meilleure amie Elle aime « Mouille-moi comme un jet-ski »
tout le monde n’a pas eu la chance d’avoir une amie communiste. Allocine
En 2022, Irène, une fervente communiste française, se dévoue corps et âme à la bonne cause : militer pour le projet de Constitution de la VIe République. L’ambiance familiale est souvent électrique, entre son époux, un marchand de chaussures aux idées de droite, et Charlot, le frère parasitaire d’Irène. Tout se complique lorsque les choeurs de l’Armée Rouge viennent donner un récital à Paris.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tout nu, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa pine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
ce qui compte c’est l’amour – Nicolas Le Bault : La dimension perdue
« Nicolas Le Bault est un auteur et artiste visuel français né en 1986, s’exprimant principalement par la voie du dessin. Il réalise également des bandes dessinées dans lesquelles s’incarnent des thèmes souvent marginalisés, comme la violence, les névroses familiales, l’automutilation, l’anorexie, l’inceste, la vie intime et la sexualité, les relations ambivalentes et toxiques entre les êtres… dans une ambiance à la fois trouble et enfantine, souvent imprévisible et cauchemardesque. Inspiré par la psychanalyse et par les sciences sociales, ainsi que par toutes les formes de la culture populaire, il est également auteur de textes qui mêlent critique sociale radicale et réflexion esthétique. Il dirige depuis fin 2017 la maison d’édition indépendante White Rabbit Prod et le magazine d’art contemporain et de transgression White Rabbit Dream, à travers lesquels il défend sa vision de l’art comme vecteur d’émancipation individuelle et collective, et comme réponse esthétique au malaise dans la civilisation. « Autant dire tout de suite que l’on aime ou que l’on déteste cet imaginaire fait de rêves, de cauchemars, d’illusions, de fantômes, de perversions et de personnages ambivalents. En tout cas, la patte de Nicolas Le Bault est reconnaissable entre toutes : dessins tout droit sortis de l’enfance, visages expressifs, couleurs vives. L’univers de l’enfance est récupéré, recyclé et dynamité à la TNT afin de mettre à nu toute la cruauté du monde et son absurdité. » (Bruno Chiron) » source : nicolaslebault.com
comment assurer un bon maintien des testicules pendant le sport ?
en partenariat avec Royal Rabin
Comment porter un suspensoir ?
Un suspensoir est une bande à la taille, généralement élastique, qui soutient une poche dans laquelle se trouvent les parties génitales. Il a été développé il y a environ 150 ans pour les cyclistes [1]. De nos jours, on l’utilise pour apporter plus de soutien et de confort dans la pratique de différents sports, souvent en plus d’une coquille pour en améliorer la protection. De plus en plus d’hommes portent des suspensoirs dans la vie de tous les jours à la place des sous-vêtements traditionnels. wikihow.com
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faut-il lutter contre la podophilie ? Horst P Horst : Barefoot Beauty, 1941
Sigmund Freud y voyait un symbole phallique (le fétiche, agissant comme un simulacre, faisant écran à une crainte de castration), mais le neuro-scientifique Vilanayar Ramachandran, qui dirige le centre du cerveau à l’Université de California, située à San Diego, a trouvé d’autres explications. En explorant les réactions du cerveau chez des personnes amputées, le docteur Ramachandran semble avoir résolu le mystère de la podophilie. Après avoir publié une étude sur les dysfonctionnements du cerveau conduisant au syndrome du membre fantôme (les amputés sentent leur membre manquant comme s’ils étaient encore attachés à leurs corps), un homme qui avait perdu sa jambe, lui a raconté avec beaucoup d’embarras, qu’il ressentait du plaisir sexuel là où son pied n’était plus: « à chaque fois que j’ai des rapports sexuels, depuis 2 mois que j’ai perdu ma jambe, j’ai des sensations dans mon pied fantôme, je sens mon orgasme dans le pied. Mes orgasmes sont bien plus grands qu’avant, parce qu’ils ne se limitent plus à mes parties génitales ».
Cela a été une révélation pour Ramachandran. Les parties du cerveau qui ont à voir avec le sexe sont, comme celles qui ont à voir avec les pieds, dans le cortex sensoriel. Pour lui, cela fait tout à fait sens qu’il y ait un chevauchement entre les deux et qu’ainsi le pied puisse également être une zone érogène. Ainsi existe également la probabilité que toutes les personnes dites « normales » aiment que l’on s’occupe de leurs pieds pour les mêmes raisons.
Le fétichisme des pieds remonte à loin: les premières traces dans l’histoire remontent à 1000 ans avant Jésus-Christ, on le trouve en Egypte comme chez les Arabes et les Romains (ces derniers interdisaient aux prostituées de porter des chaussures). Et au dire de certains historiens, la pratique grandit à chaque fois que surviennent des épidémies de maladies sexuellement transmissibles: aux XIIe, XVIe et XIXe siècle, avec la gonorrhée et la syphilis, et à nouveau au début des années 80, avec le sida.
Pour le chercheur James Giannini de l’université d’État de l’Ohio (USA), l’émancipation féminine aurait également eu un impact sur les désirs de pieds, reflets d’une posture où la femme est dominante. Sigmund Freud avait déjà suggéré, en son temps, l’existence d’un lien entre l’intérêt sexuel pour les pieds et la soumission. Rien ne semble le contredire aujourd’hui, car sur Internet, les sites spécialisés font corréler l’érotisme du pied, et l’érotisme de la femme dominante avec un homme soumis. source : huffingtonpost.fr
autres publications bretzel liquide taguées Horst P Horst
Jean Gabin, Michèle Morgan, Le Quai des brumes, Marcel Carné, 1938
La poésie désenchantée du tandem Carné-Prévert, les décors nocturnes et embrumés d’Alexandre Trauner, l’atmosphère onirique des images d’Eugen Schüfftan.
et l’on s’en fout d’attraper la variole, et l’on s’en fout pourvu qu’on tire un coup
Vervet bleu, Chlorocebus pygerythrus, singe d’Afrique de l’Est aux testicules bleues. Plus le bleu est vif, plus les mâles attirent les femelles. La taille des testicules compte aussi. Wikipedia
D’où vient la variole du singe ?
Le virus de la variole du singe appartient à la famille des Poxviridae et au genre Orthopoxvirus comme les virus de la variole humaine, éradiquée aujourd’hui grâce à une campagne de vaccination mondiale, et de la vaccine. Il a été découvert pour la première fois en 1958 au Danemark, chez des singes de laboratoire qui présentaient des éruptions cutanées typiques de la maladie. Sa dénomination vient de là, mais ce n’est pas un virus exclusivement simien, il peut infecter une grande variété de mammifères dont des rongeurs et les humains. Le premier cas humain de variole du singe a été identifié en République démocratique du Congo en 1970.
La variole du singe est une maladie zoonotique, c’est-à-dire que l’humain la contracte suite à une exposition avec un animal infecté (morsure, griffure, fluides biologiques) ou par la consommation de viande mal cuite. La transmission inter-humaine se fait principalement par des gouttelettes respiratoires et nécessite un contact face à face prolongé. Les rapports sexuels sont donc propices à la propagation du virus, mais cela n’en fait pas une infection sexuellement transmissible. Il peut aussi se transmettre par contact avec des fluides biologiques, des lésions cutanées, ou des surfaces contaminées. source : Futura Santé