la femme de Loth est une figure présente dans le Livre de la Genèse qui décrit sa transformation en statue de sel après qu’elle eut regardé en arrière lors d’un créneau ou « stationnement réalisé en parallèle de la chaussée, entre deux véhicules déjà stationnés. » source : Wikipedia
Comment réussir un créneau ?
Freinez doucement pour ne pas surprendre le véhicule qui vous suit. Arrêtez vous au niveau de la voiture garée devant la place vide, rétroviseurs alignés. La voiture doit être bien droite et parallèle au véhicule garer, à une distance latérale d’environ 50 cm. source : Google
Alain Daussin
« Le Belge Alain Daussin, né à Gembloux (Belgique), a été initié au monde de l’image par un dessinateur de bande dessinée (Maurice Tillieux) et a commencé des études de photographie en 1977 dans une école de la Ville de Bruxelles. Au bout de trois ans, il entre sur le marché du travail. Mais il est vite découvert par le magazine « Photo » (France) et ses clichés sont publiés sous la rubrique « jeune talent ». Dès lors, il travaille pour de nombreux magazines et campagnes publicitaires. Il s’est spécialisé dans la photographie féminine. » source : site d’Alain Daussin
tags : sécurité routière, religion, ne regarde pas en arrière
Ecce homo – Jesse Boyd-Reid : a small pool of white light
Ecce homo est une expression latine signifiant « ceci est mon corps ». Il s’agit de l’expression prêtée à Ponce Pilate, gouverneur romain de Judée, dans la traduction de la Vulgate de l’Évangile selon Jean lorsqu’à Jérusalem, il se présente à la foule en sortant du bain. source : Wikipedia
Jesse Boyd-Reid est un artiste photographe qui vit et travaille dans le pays Bundjalung, dans le nord de la Nouvelle-Galles du Sud. Jesse a obtenu ses diplômes de premier cycle et de spécialisation en beaux-arts au Victorian Collage of the Arts de Melbourne. En 2018, il a reçu la bourse Lionel Gell pour l’excellence artistique et a été accepté dans le programme de résidence de l’Arctic Trust à Svalbard, en Norvège, en 2019. son site
raconte-moi encore l’histoire de Jonas et la baleine
Dieu envoie Jonas à Ninive, capitale étrangère de l’empire assyrien, afin qu’elle se repente. Jonas désobéit à Dieu et se rend à Jaffa pour prendre la fuite sur le dernier bateau en direction de Tarsis. Durant le voyage, le bateau sur lequel se trouve Jonas essuie une tempête due à la colère divine consécutive à sa désobéissance. Les marins décident alors de tirer au sort pour connaître le responsable de ce malheur. Le sort désigne Jonas. Ils le prennent, le jettent par-dessus bord, et à l’instant même, la mer s’apaise. Il est recueilli dans le ventre d’un « grand poisson » (souvent désigné à tort comme une baleine) durant trois jours et trois nuits. Le « gros poisson » le recrache ensuite sur le rivage. source : Wikipedia
quand je vois les classifications 18+ sur prime video avec le critère « tabagisme », je m’étonne de ne pas encore y trouver les mises en garde suivantes pour préserver la jeunesse (liste non exhaustive) :
adultère
non respect des limites de vitesse
non port du masque
consommation d’aliments trop sucrés
non validation du titre de transport en commun
consommation de moins de cinq fruits et légumes par jour
est une photographe conceptuelle de Kazan, en Russie. diplômé en psychologie. Ses portraits d’art sont à la fois beaux et mystérieux. Ils vous tiennent en haleine avec leur beauté légèrement dérangeante et unique. Dans ses clichés, le corps humain est le protagoniste. Dépouillé de tout clinquant, il devient un sujet sérieux et authentique, une divinité contemporaine. Ces corps semblent spontanément fusionnés avec la nature qui les entoure, même si glaciale et hostile. Imagenation
« La Terre est la mère universelle.
Eschyle glorifie la Terre qui« enfante tous les êtres, les nourrit, puis en reçoit à nouveau le germe fécond » (Choéphores, 127-128). Une conception analogue survivait encore au XIXe siècle parmi certaines tribus primitives. Un prophète de la tribu nord-américaine Umatilla refusait de travailler la terre : « C’est un péché, disait-il, de blesser ou de couper, de déchirer ou de griffer notre mère commune, par des travaux agricoles. » Et il ajoutait : « Vous me demandez de labourer le sol ? Irai-je prendre un couteau pour le plonger dans le sein de ma mère ? Mais alors, lorsque je serai mort, elle ne me reprendra plus dans son sein. Vous me demandez de bêcher et d’enlever des pierres ? Irai-je mutiler ses chairs afin d’arriver à ses os ? Mais alors je ne pourrai plus entrer dans son corps pour naître de nouveau. Vous me demandez de couper l’herbe et le foin et de le vendre et de m’enrichir comme les Blancs ? Mais comment oserais-je couper la chevelure de ma mère ? »
L’hymne homérique dédié à Gaia (Terre) exalte « la Terre, mère universelle aux solides assises, aïeule vénérable qui nourrit tout ce qui existe […]. C’est à toi qu’il appartient de donner la vie aux mortels, comme de la leur reprendre […]. » C’est la raison pour laquelle la grande déesse, la Terre-Mère, est considérée non seulement comme la source de la vie et de la fertilité, mais aussi comme la maîtresse du destin et la déesse de la mort. Dans l’Inde, Durgā-Kālī est à la fois créatrice et destructrice, principe de la vie et de la mort.
En Mésopotamie, Ishtar est la déesse de l’amour par excellence, mais aussi la déesse de la guerre. On l’appelle « Dame de l’amour », « Reine du plaisir », mais aussi « la Vaillante », « la Dame des batailles ».
Parmi les noms de grandes déesses, les plus connus sont Ardvî et Anâhita en Iran, Ishtar à Babylone, ‘Atar’ate en Syrie, Astarté en Phénicie, Tanit à Carthage, Déméter et Aphrodite en Grèce, Cybèle en Asie Mineure. Toutes ces déesses présentent une structure analogue. Elles expriment la sacralité de la vie et le mystère de la fertilité, mais aussi le caprice et la cruauté. D’un côté, elles prodiguent la vie, la force et la fécondité ; à l’opposé, elles apportent la guerre ou les épidémies. Presque toutes sont des déesses de la vie, de la fertilité et de la mort tout ensemble. En un certain sens, on peut déchiffrer dans leur personnalité la valorisation religieuse de la vie cosmique, avec tous ses mystères et toutes ses contradictions ». source Universalis.fr
La création de la vie à partir d’argile
est un thème récurrent du créationnisme apparaissant au sein de la mythologie, la littérature et de certaines théories modernes. Wikipedia
le serpent devra manger de la poussière tous les jours de sa vie.
Le nahash, de l’hébreuנָחָשׁ (nāḥāš), est un terme hébreu qui désigne un serpent dans la Bible. Nahash est notamment le terme utilisé pour désigner le serpent de la Genèse, qui entraîne la chute d’Adam et Ève. C’est aussi le terme utilisé dans l’épisode de la transformation du bâton de Moïse en serpent dans le Livre de l’Exode et dans l’épisode du serpent d’airain dans le Livre des Nombres.
Quant au serpent, celui-ci sera maudit et devra manger de la poussière tous les jours de sa vie. De plus, sa postérité et celle de la femme se livreront une guerre constante, on lui écrasera la tête, il leur blessera le talon (Gen. 3:14-15).
Le nahash n’est pas nommé ni identifié à Satan dans le livre de la Genèse, ni à une divinité comme dans les autres systèmes de croyance, quoiqu’il apparaisse comme un des rares animaux du Pentateuque à pouvoir parler. Le mot que la Bible emploie pour « rusé » (עָר֔וּם / ʿaroum) est très proche de l’adjectif « nu » (עֵירֹ֖ם / ʿeyrom). source : Wikipedia
Eve est le serpent, Eve hait le serpent ? dessin : Riccardo La Spina
« Et puis, il y a Eve.
Eve ici, c’est l’être humain, on ne va pas séparer cet être humain en deux pour ne faire porter la responsabilité de ce qui arrive à Eve toute seule, comme le fait par exemple l’auteur de l’épitre à Timothée lorsqu’il écrit : « Que la femme demeure dans le silence, car ce n’est pas Adam qui fut séduit, c’est la femme qui, séduite, se rendit coupable de transgression ! » Soyons indulgents, admettons qu’il y a une énorme différence dans les contextes culturels et que, aujourd’hui, Paul s’exprimerait différemment, en tout cas espérons-le ! Mais ici, Eve représente l’être humain dans sa totalité.
Le serpent, pour être sûr que la conversation va s’engager, fait exprès une petite erreur
en commençant : « Dieu a-t-il vraiment dit que vous ne devez manger aucun des fruits du jardin ? » Alors Eve se dépêche de le corriger : « Mais si, on peut en manger, il n’y a que pour l’arbre qui au centre qu’il a dit qu’il ne fallait pas en manger. » Elle a rectifié, elle a eu raison, mais en même temps elle est entrée en dialogue avec le serpent, c’est ce qu’il cherchait. C’est comme aujourd’hui quand on clique trop vite pour répondre à une offre sur Internet et que cela permet à un organisme quelconque de récupérer vos données pour vous bombarder de publicité.
En plus, il y a un détail
qui pourra sembler insignifiant : dans sa réponse au serpent, Eve rajoute quelque chose à la parole de Dieu. Si on revient au chapitre précédent, on voit que la consigne était de ne pas manger du fruit de l’arbre au centre du jardin, et ici, Eve dit que Dieu aurait dit : « Vous n’en mangerez pas et vous n’y toucherez pas ! » Ça n’a l’air de rien, mais dans un texte de cette importance, qui traite de l’origine du rapport de l’humanité avec Dieu, ça ne peut pas être simplement anecdotique, comme s’il s’agissait d’une espèce de distraction.
C’est un signe de faiblesse chez Eve,
l’être humain. En pensée, alors même qu’elle affirme son adhésion à la parole de Dieu, elle imagine déjà le geste que le serpent ne lui a pas encore suggéré, elle voit ce qu’elle pourrait faire, elle n’est pas certaine qu’elle ne le fera pas, alors elle rajoute quelque chose à la parole de Dieu. Nous avons ici, en germe, tous les systèmes de lois, de codes, de commandements humains qui viennent s’ajouter à la simple parole de Dieu ! Dieu a dit : « Tu aimeras… » Tu aimeras Dieu, et l’être humain complète, rajoute, spécifie les moyens, les sacrifices, les liturgies, les horaires selon lesquels il est recommandé d’aimer Dieu. Tu aimeras ton prochain – on précise alors qui est le prochain, comment on peut l’aimer, quand on peut ne pas l’aimer, ou même le tuer éventuellement au nom d’un principe plus important, la justice, l’honneur…
À partir de là, le serpent a beau jeu
d’amener Eve à accepter de mettre en question la parole de Dieu. Elle est mure pour entendre un discours sur Dieu, une « théo-logie » en somme. Cette première tentative théologique consiste en une psychanalyse de Dieu. Au fond, dit le serpent, Dieu est jaloux, il est rusé, il est égoïste, il cherche à garder le pouvoir, il craint la concurrence, c’est pour ça qu’il a placé cette interdiction, Dieu est menteur, voilà ce que dit le serpent théologien ! » Prédication du pasteur Roland Revet, le 1 mars 2020, à Bordeaux Bastide
Délivre-nous du mal ! Un journaliste rend visite à David Fielding dans un hôpital psychiatrique pour un reportage sur la mort de ses trois amis il y a exactement un an et un jour. David est catatonique mais attaque le journaliste lorsqu’on lui montre une photo du Dr Watermann, son ancien professeur. Dans la bagarre, David perd sa croix et devient fou de sa disparition. Le journaliste écoute des enregistrements de la police interrogeant David peu après son arrivée à l’hôpital et reconstitue les événements – racontés en flashback – qui l’ont rendu fou.
David, Susan Turner, Jim Hudson et sa petite amie, Vicki, recherchent le Dr Watermann dans un canyon forestier et découvrent que sa cabane a été détruite. En explorant une grotte, ils rencontrent un vieil homme caquetant qui leur donne un livre ancien rempli de traditions et de symboles magiques. Le livre, que les notes de Watermann décrivent comme une « véritable bible du mal » (Seigneur, délivre-nous du mal), pue le soufre et contient la prière du Seigneur écrite à l’envers. Le groupe apprend que les expériences de Watermann avec les rituels d’invocation de démons du livre ont mal tourné. Lorsqu’il a perdu le contrôle de la créature tentaculaire géante qu’il avait conjurée, elle a détruit sa maison.
Le Dr Watermann apparaît soudainement et arrache le livre à David; lui et Jim se lancent à la poursuite. David l’attaque, le faisant se frapper la tête et mourir. Après le départ de Jim et David, le corps de Watermann disparaît surnaturellement. Un garde forestier, Asmodeous , découvre que Jim et David ont le livre et envoie des monstres – une créature géante ressemblant à un singe et un géant à la peau verte et vêtu de fourrure – pour le récupérer. La créature ressemblant à un singe tue le vieil homme de la grotte.
Asmodeus commence à agresser sexuellement Susan, mais sa croix le repousse. Après que Susan ait accidentellement perdu la croix, elle semble possédée par un démon et attaque Vicki, qui est incapable de l’arrêter. David arrive et affiche un symbole mystique du livre, faisant perdre connaissance à Susan.
Asmodeus tue Jim et révèle sa vraie forme : un démon rouge ailé. Après avoir tué Vicki, Asmodeus attaque David et Susan, qui s’enfuient dans un cimetière et se recroquevillent derrière une grande croix de pierre au sommet d’une tombe. Alors que le démon vole dans la croix et meurt, le cimetière prend feu, tuant Susan. Une ombre géante prophétise que David sera mort dans un an et un jour. Lorsque David panique et s’enfuit vers une route voisine pour demander de l’aide, une voiture sans conducteur le renverse. Une autre voiture avec deux passagers s’arrête pour l’aider.
David perd la raison et est interné dans un hôpital psychiatrique. Un an et un jour plus tard, une Susan réanimée au visage diabolique arrive à l’hôpital pour le tuer. » source : Wikipedia
« La confession est un rite individuel : le pénitent avoue ses péchés personnels au Christ qui, en la personne du prêtre, lui accorde son pardon. Le rite du sacrement peut se dérouler de la manière suivante : Le pénitent, à genoux devant le prêtre, fait le signe de Croix :
Au nom du Père et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen. Bénissez-moi, mon Père, parce que j’ai péché.
Le prêtre invite le pénitent à la confiance en Dieu en disant par exemple :
Que le Seigneur vous inspire les paroles justes et les sentiments vrais pour confesser avec contrition vos péchés.
Le pénitent peut alors dire quelques mots de la Sainte Écriture ayant trait à la miséricorde de Dieu et au repentir »
« La France a retenu la date du 27 janvier, anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz, pour cette journée de la mémoire. […] Cette journée de la mémoire devra faire prendre conscience que le mal absolu existe et que le relativisme n’est pas compatible avec les valeurs de la République. En même temps, il faut montrer que l’horreur s’inscrit dans une histoire qu’il convient d’approcher avec méthode, sans dérive ni erreur. Ainsi appartient-il à notre institution de faire réfléchir les élèves à l’Europe du XXème siècle, avec ses guerres et ses tragédies, mais aussi à ses tentatives de synthèse autour des valeurs des droits de l’homme et à sa marche vers l’unité. Il est nécessaire de montrer aux jeunes que ces valeurs ne sont pas de simples mots. Leur respect dans tous les pays du monde est fondamental et nécessite de la part de chacun d’être attentif à ce qui menace ces valeurs et actif pour les défendre. » B.O. n°46 du 11 décembre 2003 : www.education.gouv.fr
Le bourreau tue toujours deux fois, la seconde fois par l’oubli » (Elie Wiesel)