Victor, épicier et patron tyrannique ne cesse de parler à sa famille de son passé de marin, bien que ceux-ci ne l’ont jamais cru. Lorsque son neveu gagne un concours de maquette de bateau et est chargé d’en construire un à échelle réelle, Victor va tenter de s’imposer comme le patron de la petite équipe… Michel Audiard, 1971. Allocine
Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l’horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits
Déclaration du président du Comité militaire de l’OTAN : « Le bouclier défensif de l’OTAN reste fort »
Le 28 février 2022, les 30 chefs d’état-major de la défense des pays de l’OTAN ont participé à une réunion extraordinaire du Comité militaire de l’OTAN pour examiner la situation de sécurité en Ukraine et alentour. source : Nato.int
Un homme est abandonné par son amie qui lui laisse la charge d’un enfant prématuré, fruit de leur union. Il s’enfonce dans un univers fantasmatique pour fuir cette cruelle réalité. Allocine
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Bowlby réfute la théorie des pulsions et propose plutôt un ensemble de systèmes innés de comportements ou systèmes motivationnels favorisant les relations et qui sont corrigés quant au but par la réponse de l’environnement.
Le système d’attachement a pour but de favoriser la proximité de l’enfant avec une ou des figures adultes afin d’obtenir un réconfort lui permettant de retrouver un sentiment de sécurité interne face aux éventuels dangers de l’environnement. Ainsi, toutes les conditions indiquant un danger ou générant du stress pour l’enfant activent ce système que ce soient des facteurs internes, comme la fatigue ou la douleur, ou des facteurs externes, liés à l’environnement (tout stimulus effrayant, par exemple la présence d’étrangers, la solitude, l’absence de la figure d’attachement).
Finalement ce système semble plutôt constamment activé, corrigé en permanence quant à l’objectif à atteindre, comparable au fonctionnement d’un thermostat… suite sur CAIRN
Je suis venu te dire que je m’en vais Tes sanglots longs n’y pourront rien changer Comme dit si bien Verlaine au vent mauvais Je suis venu te dire que je m’en vais Tu t’souviens … et tu pleures Tu sanglotes, tu gémis à présent qu’a sonné l’heure Des adieux à jamais (ouais) Je suis au regret D’te dire que je m’en vais Car tu m’en a trop fait
Souris puisque c’est grave Seules les plaisanteries doivent Se faire dans le plus grand sérieux Souris puisque c’est grave Si les dieux te déçoivent Offre-leur un visage radieux
Alain Chamfort (youtube) / A Melancholy Thought by Francesco Hayez (1791-1882) 1842
« La cité elle-même, on doit l’avouer, est laide. D’aspect tranquille, il faut quelque temps pour apercevoir ce qui la rend différente de tant d’autres villes commerçantes, sous toutes les latitudes. Comment faire imaginer, par exemple, une ville sans pigeons, sans arbres et sans jardins, où l’on ne rencontre ni battements d’ailes ni froissements de feuilles, un lieu neutre pour tout dire ?
Le changement des saisons ne s’y lit que dans le ciel. Le printemps s’annonce seulement par la qualité de l’air ou par les corbeilles de fleurs que de petits vendeurs ramènent des banlieues ; c’est un printemps qu’on vend sur les marchés. Pendant l’été, le soleil incendie les maisons trop sèches et couvre les murs d’une cendre grise ; on ne peut plus vivre alors que dans l’ombre des volets clos. En automne, c’est, au contraire, un déluge de boue. Les beaux jours viennent seulement en hiver. »
Face à cette flambée des prix, certains automobilistes changent leurs habitudes. Ainsi à Marseille, à la station service de l’hypermarché Grand Littoral, même si les prix sont encore contenus autour d’1,70 euro le litre, le passage à la pompe s’apparente à une torture. « On a les larmes aux yeux« , décrit Bruno, qui ne se sert plus de sa voiture que pour le travail et avoue limiter ses autres déplacements. Il fait le compte : « c’est 40 euros pour 25 litres ! Je vais à Martigues deux fois, je reviens et j’ai plus rien« . Laurent applique la même technique : « d’habitude je fais le plein, là je ne mets que 30 euros« , tandis qu’Edwige, son épouse, consulte une application qui signale les stations service les moins chères, « mais ce n’est pas toujours à jour« .
« Je mets dix euros, sinon je ne parviens pas à finir le mois. »