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saint-valentin : J-2

saint-valentin : J-2 - Ulrich Lebeuf Antonyme de la pudeur 2007
saint-valentin : J-2 – Ulrich Lebeuf Antonyme de la pudeur 2007

saint-valentin : J-2

Un bloc de départ ou cale de départ ou starting-block

 (de l’anglais) est un engin réglable constitué de deux cales pour les pieds, utilisé en amour pour la saint-valentin.

La fixation se fait en posant simplement le bloc de départ sur la piste, il est composé à sa base de petites pointes en acier, qui empêchent celui-ci de glisser quand le coureur s’élance et peut être rapidement retiré une fois l’athlète parti. Ils permettent aux amoureux de donner une plus grande impulsion au départ d’une course. Ils sont employés sur toutes les distances égales ou inférieures à 400 mètres.

Le coureur règle son bloc de départ en fonction de sa taille de façon à poser ses mains derrière la ligne de départ. Pour le 100 mètres, les lignes de départ (et non les blocs de départ) sont sur une même ligne alors que pour le 200 mètres et le 400 mètres, elles sont décalées pour compenser la distance plus grande à l’extérieur des virages. source : Wikipedia

Ulrich Lebeuf

est un photographe français, né en 1972. Il est également directeur artistique du Festival de photographie MAP à Toulouse et anime des ateliers en France et à l’étranger.

Membre de l’agence MYOP depuis janvier 2007, son travail photographique a été publié dans Le Monde, Libération, L’équipe, Géo, National Geographic. Depuis plus de quinze ans, les photographies d’Ulrich Lebeuf sont réalisées sur le théâtre de l’actualité : lieux de conflits ou de pouvoir, lieux où l’histoire se décide et s’écrit. Son approche est directe, documentaire et frontale, avec détachement et richesse du détail.

Son travail a fait l’objet d’expositions et de projections, dont « AZF » au Centre d’art et d’architecture de Toulouse (2003), « Violence moderne » au festival Terre d’images de Biarritz (2004), « Palestine » lors du Festival du Scoop à Angers et « Keep the Distance » à l’Espace Lhomond à Paris (2005). Initiateur du projet culturel « Territoires de fiction », ses séries « Ère de jeux » et « En attendant mon tour » ont été présentées en ouverture des Rencontres de la photographie à Arles (2006) , la galerie du Château d’eau à Toulouse, la Maison Européenne de la Photographie et à la Villette à Paris (2007).

Aujourd’hui, tout en poursuivant son travail pour la presse, il se concentre davantage sur son travail personnel, où la recherche occupe une place importante, et où il alterne les procédés photographiques selon le sujet traité : de la couleur au noir et blanc, en passant par le Polaroid, ou des procédés proches à la peinture. source : agence MYOP

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Ma (brette) Zèle Tophe !

Les parfums ne font pas frissonner sa narine

Les parfums ne font pas frissonner sa narine - Bosse Barck - la liberté couchée
Les parfums ne font pas frissonner sa narine – Bosse Barck – la liberté couchée

Les parfums ne font pas frissonner sa narine – Bosse Barck – la liberté couchée

Les cheveux dans les hortensias, elle dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, elle fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : elle a froid.

Arthur RIMBAUD 1854 – 1891 La dormeuse du val / Bosse Barck

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attaché de presse purée

Ukraine : dernières négociations

Ukraine : dernières négociations. Misha Friedman
Ukraine : dernières négociations. Misha Friedman

Ukraine : dernières négociations.

Misha Friedman

Pulitzer Center : « Misha Friedman est un photographe avec une formation en relations internationales et en économie. Son travail apparaît dans les principales publications internationales et a été reconnu par un certain nombre de prix et de bourses. Il est l’auteur de trois livres, dont « Never Remember » (Columbia Global Reports, 2018) et « Lyudmila and Natasha: Russian Lives » (The New Press, 2015). » Le site de Misha Friedman

autres publications bretzel liquide taguées Misha Friedman

tags : cheval, Lada

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jamais Lacan on a besoin de toi

Idéal du Moi – Moi idéal

Idéal du Moi - Moi idéal. Thom Browne, Photo : Kim Weston Arnold
Idéal du Moi – Moi idéal. Thom Browne, Photo : Kim Weston Arnold

Idéal du Moi – Moi idéal

défilé de la Société psychanalytique de Paris à la Fashion Week de Paris

L’Idéal du Moi désigne les valeurs positives auxquelles aspire le sujet, il est lié au narcissisme et à la seconde topique freudienne. Le Moi idéal désigne une instance reposant sur un idéal de toute-puissance infantile fondée sur le narcissisme infantile. Wikipedia

Mode : Thom Browne, Photo : Kim Weston Arnold

tag : folie des grandeurs

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comprendre les expressions françaises

Et l’on s’aimera encore lorsque l’amour sera mort

Et l'on s'aimera encore lorsque l'amour sera mort. Graveyard Kiss by Charles Hewitt. 1949 / Joe Dassin
Et l’on s’aimera encore lorsque l’amour sera mort. Graveyard Kiss by Charles Hewitt 1949. Hop pickers working at Goudhurst in Kent escape from the farm to a quiet spot and find time for a little romance.

Et l’on s’aimera encore lorsque l’amour sera mort.

Toute la vie sera pareille à ce matin
Aux couleurs de la saint-valentin

Joe Dassin (youtube) / Graveyard Kiss by Charles Hewitt, 1949.

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comprendre les expressions françaises

il faut savoir dire pouce

il faut savoir dire pouce - J. K. Potter
il faut savoir dire pouce – J. K. Potter

il faut savoir dire pouce

mettre les pouces

abandonner ; cesser de résister ; s’avouer vaincu ; céder

Origine et définition

Cette expression date de la fin du XVIIIe siècle, époque à laquelle on disait aussi « coucher les pouces »
Trois écoles s’affrontent sans pitié à propos de son origine.

La première, proposée par Alain Rey, suppose qu’elle vient de l’époque des Romains où, autour de l’arène, le pouce des spectateurs servait au vainqueur d’un combat à savoir s’il devait grâcier (pouces en l’air) ou achever (pouces tournés vers le sol) son adversaire vaincu.
À la même époque, le pouce tourné vers le bas servait aussi au vaincu, paraît-il, à indiquer qu’il acceptait la défaite.

La seconde, défendue par Littré, dit que la locution vient du fait que le pouce ne peut se poser ou reposer dans la main qu’à partir du moment son propriétaire renonce à tenir une arme, acceptant ainsi sa défaite.
Il étaye sa théorie à l’aide la phrase suivante, écrite en 1550 par Carloix, secrétaire de François de Scepeaux () :
« Et faisant une belle révérence se retira, lui étant tombé le pouce dans la main [mettant les pouces, refusant de se battre] »

Enfin, selon la dernière, la locution viendrait de l’ancêtre des menottes, les poucettes, dans lesquelles le prisonnier, donc celui qui ne devait pas résister, devait placer ses pouces où ils étaient compressés et maintenus d’autant plus fermement que ces choses pouvaient aussi servir d’instrument de torture. source : expressio.fr

Jeffrey Knight Potter signant ses œuvres J. K. Potter

est un photographe et illustrateur américain né en Californie en 1956.

Pour Potter, « le grotesque est beau, le bizarre sublime et le macabre est un cru rare et délicieux ». Il privilégie des méthodes de travail « à l’ancienne » à savoir pellicule argentique noir-blanc sans apport informatique. Il considère que la plupart de ses clichés comportent un caractère de catharsis. L’un de ses maîtres à penser est le photographe Clarence John Laughlin. source : Wikipedia

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jamais Lacan on a besoin de toi

parlez-moi de ce goût pour le sucre

parlez-moi de ce goût pour le sucre - Rémy Poncet - Freud au caramel
parlez-moi de ce goût pour le sucre – Rémy Poncet – Freud au caramel

parlez-moi de ce goût pour le sucre

Le terme « addiction » mérite d’être introduit par une référence à son étymologie, plus par méthode que par souci d’inférer de son évolution sémantique le processus psychopathologique. Si, en latin, « ad dicere » signifiait « être dit à » (pour un esclave donné à un Maître en contrepartie d’une dette qu’il n’avait pu payer), si « l’addiction » désignait l’opération juridictionnelle de « contrainte par corps » d’un homme libre du fait de sa dette, que d’images pour une interprétation psychopathologique de la dépendance à un produit ou à une situation que le logos actuel a nommée « Addiction » ! Pour le discours psychanalytique, plusieurs expressions retiennent l’attention : la voie passive « être donné », l’esclavage, qui de Sénèque à Hegel, puis à Lacan, a marqué l’asymétrie des rapports humains, la dette avec ce qu’elle recèle ici de réel, le corps devenu autre, aliéné à l’autre, servant de substitution à une dette non soldée. Le rapprochement des termes, de leurs champs sémantiques, pour rhétorique qu’il paraisse, est pourtant évocateur d’une figuration des composantes psychopathologiques majeures de l’Addiction (Pedinielli & Rouan, 2000), phénomène clinique aux multiples visages, et, surtout, aux multiples discours. Que, dans le réel, le corps en vienne à être dédié à une dette impayée, à un manque, et s’en retrouve asservi, n’est peut-être pas seulement une image suscitée par la proximité sémantique.

Apport de la psychanalyse à la question de l’Addiction Jean-Louis PedinielliAgnès Bonnet source : cairn.info

Rémy Poncet

Réalisé par l’une des moitiés de l’atelier de création graphique français Brest Brest Brest, Rémy Poncet imagine « History and chips », une série de collages en noir et blanc accompagné d’un élément alimentaire coloré.

Un jour, presque par hasard, l’un des deux acolytes, Rémy Poncet colle un chewing-gum sur une vieille photo du film Un Américain à Paris. C’est le début de « History and chips », une série personnelle de long terme qui a débuté en mars dernier et qui vient de se terminer. Oeuf, moutarde, jambon, chewing-gum, spaghettis, sauce, dentifrice… Chaque mois, l’artiste réalisait une seule et unique nouvelle image. Le résultat est superbe, retrouvez l’origine de la série ici et on vous conseille de faire un tour sur le portfolio de Brest Brest Brest

texte : thebergerie.net

autres publications bretzel liquide taguées Rémy Poncet

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comprendre les expressions françaises exercice illégal de la médecine

les yeux en face des trous

les yeux en face des trous, Cy Tone
les yeux en face des trous, Cy Tone

les yeux en face des trous, l’iris dans le trou palpébral.

L’iris est le disque pigmenté à l’origine de la « couleur » des yeux, percé d’un orifice de diamètre variable avec le degré de luminosité appelé pupille.
L’iris joue le role de diaphragme dans l’oeil en régulant la quantité de lumière destinée à atteindre la rétine.

Le diamètre pupillaire varie de façon réflexe sous l’effet de 2 muscles antagonistes responsables de l’oculomotricité intrinsèque :
– le muscle sphincter de l’iris de forme annulaire responsable de la réduction du diamètre pupillaire ou myosis,
– le muscle dilatateur de l’iris inséré radiairement dans l’épaisseur de l’iris et à l’origine de la dilatation de la pupille ou mydriase. source : polevision.fr

Alberto Cittone, aka Cy Tone, is a 38 years-old industrial and graphic designer from Turin, ITALY. He studied Graphic Design at the European Institute of Design and defines his work as “test, experiments, results”. source Behance

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Brette Ciel Liquide

ouvrir un oeil

ouvrir un oeil. Marc Lafon : tombée du ciel
ouvrir un oeil. Marc Lafon : tombée du ciel

ouvrir un oeil

Photographe depuis 1984 Marc Lafon a collaboré régulièrement comme portraitiste avec des magazines tels que Playboy France, ELLE, Premiere, Figaro Magazine, Capital…. Images redistribuées à l’etranger par les agences Stills, Gamma et Starface.

Le photographe Marc Lafon vit et travaille à Montpellier depuis 2011.

Son travail sur le nu artistique a commencé en 1998 et fait l’objet d’expositions.

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je suis complètement vous

le mardi c’est bowling

le mardi c'est bowling. The robot studio : robot anthropomimétique Cronos
le mardi c’est bowling. The robot studio : robot anthropomimétique Cronos

le mardi c’est bowling

En mars 2011 s’est tenu à Lyon le tout premier salon InnoRobo qui réunit des professionnels de la robotique de service. Ceux-ci présentent aux visiteurs leurs dernières créations destinées à remplacer l’homme. Une centaine de robots venant des quatre coins du monde et dotés de multiples envies. De la surveillance au divertissement en passant par le bowling, ils pourraient très bientôt changer notre quotidien.

Le fabricant The robot studio tente de concevoir des robots qui bougent et ressemblent à de véritables systèmes biologiques le robot anthropomimétique Cronos. source : Maxisciences

tag : metaverse