mais délivre-nous du Mal – Tomiyuki Kaneko : Apotropaic Daruma (transparent watercolor, pen, foil on Shirakawa Daruma, 2021)
L’adjectif apotropaïque (du grec apotropein, « détourner ») qualifie ce qui vise à conjurer le mauvais sort et à détourner vers quelqu’un d’autre les influences maléfiques. (Wikipedia)
Madone du Magnificat se reposant un instant sur son balcon – Masha Svyatogor / Sandro Botticelli
Née en 1989, Masha Svyatogor est une artiste visuelle biélorusse basée à Minsk qui travaille le médium photographique. Masha Svyatogor réalise notamment des photomontages à partir de photographies provenant de magazines de propagande soviétiques utilisés par le gouvernement. Avec minutie, elle crée manuellement des collages, délaissant délibérément les technologies digitales. Masha Svyatogor déconstruit l’image « cérémonielle » pour en créer une nouvelle : surréaliste, joyeuse et ornementale. Ses créations se dissocient de toute logique de représentation officielle et dévoile ainsi les brèches, les multiples strates et les incohérences inhérentes à l’ère soviétique. source : festival-circulations.com
Emile Morel est un artiste français né en 1975. Il pratique un art digital, à la pointe du pixel-art, qui lui permet d’exprimer ses visions fantasmagoriques, peuplées de personnages hybrides. Un monde fantastique qui puise dans un imaginaire médiéval mais également dans l’enfer décrit par Dante dans sa « Divine comédie ». Ce décor est, pour l’artiste, un prétexte à la mise en scène de pulsions primitives bestiales et idylliques d’une mythologie intimiste. Les œuvres d’Emile Morel surprennent par la profusion des détails et leur pouvoir évocateur. source : artsper.com
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« Tout au long de ma carrière, j’ai toujours été un peintre de l’évasion narrative, mon travail évoquant des liens personnels pour chaque spectateur. Parce qu’il est exécuté de manière surréaliste, il permet au spectateur de créer sa propre histoire et sa propre signification. »
la nuit je marche – Ivan Kramskoy : Somnambulant, la somnambule (1871) / Alain Bashung
Ivan Nikolaïevitch Kramskoï, né le 27 mai 1837 à Ostrogojsk et mort le 24 mars 1887 à Saint-Pétersbourg, est un peintre et critique d’art russe, ainsi qu’une très importante figure intellectuelle des années 1860-1880, chef de file du mouvement de l’art démocratique russe. (Wikipedia)
Claude Monet était tellement malvoyant que toute sa vie il a cru qu’il faisait de la musique – François Cavanna
Claude Monet, âgé de 74 ans (1915) dans son jardin de Giverny. Malgré une double cataracte, il s’est remis à la réalisation de son grand projet décoratif circulaire : les Nymphéas
Annie Stegg Gerard a un amour particulier pour les peintres rococo du XVIIIe siècle qui ont eu une grande influence sur sa propre méthode. Elle puise son inspiration dans leur imagination, la palette onirique et le coup de pinceau vif qui se combinent pour créer une merveilleuse atmosphère d’enchantement. Elle pense qu’ils ont cherché à nous transporter dans des mondes différents et des endroits fantastiques à travers leurs œuvres. Dans son propre travail, connu pour ses belles figures énigmatiques et ses créatures vivantes, Annie s’efforce de représenter ce même effet de transport pour le spectateur. Son travail est une exploration des petits mondes cachés qui existent dans nos propres arrière-cours et du drame qui se déroule avec leurs habitants invisibles.
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je suis un expressionniste abstrait – Willem de Kooning : Revocable Trust – ARS, NY and DACS, London 2018
Willem de Kooning part clandestinement pour les Etats Unis en 1926. Il s’installe brièvement à Hoboken dans le New Jersey avant de rejoindre New York en 1927. Il travaille comme peintre en bâtiment et comme artiste dans la publicité, avant de devenir artiste peintre à temps plein à partir de 1936.
Il rencontre Stuart Davis, John Graham et Arshile Gorky avec qui il devient ami.
A la fin des années 30, l’oeuvre de Willem de Kooning est principalement influencé par le cubisme et le surréalisme, ainsi que par Gorky avec lequel il partage un studio.
En 1938, de Kooning débute sa première série de peintures sur la femme, un des thèmes récurrents de l’artiste.
Sa première exposition solo, qui a lieu en 1948 à la Galerie Egan de New York, établi définitivement sa réputation d’artiste majeur.
Dans les années 50 et 60, Willem de Kooning réalise des séries sur la femme, des paysages urbains, des paysages ruraux.
En 1962 Willem de Kooning obtient la nationalité américaine.
En 1968, l’artiste se rend pour la première fois aux Pays-Bas depuis 1926, à l’occasion de la rétrospective qui lui est consacrée au Stedelijk Museum d’Amsterdam.
A partir de 1989 Willem de Kooning souffre de la maladie d’Alzheimer.
Une rétrospective se déroule au Museum of Modern Art de New York en 1997. source : moreeuw.com