heureux qui comme Ulysse – Dilka Bear
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tag : pénélope
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le bout du monde – Hideo Tanaka — Rest (oil on linen, 2021)
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tag : Titanic
lève-toi et vole – Jaén Javier Ruiz Perez
Javier Ruiz (Jaén, 1989) a commencé à étudier le design graphique à Jaén en 2007. En 2013, il a étudié les études supérieures en illustration à Madrid. En 2014, il suit un atelier de peinture et de théorie des couleurs à Los Angeles (USA).
Il arrive un moment dans la carrière d’un peintre réaliste où il décide de la forme que prendra son discours, ou plutôt de son équidistance avec la tradition sur laquelle il se fonde. Pour Javier Ruiz Perez, cette identité a emprunté différentes voies, comme l’art urbain ou la figuration au sens strict. Or, cette vision du monde nous vient avec des nuances, comme un subtil renoncement au détail au profit d’un coup de pinceau expressif engagé dans le quotidien.
Disons que l’approche de la réalité de Javier ressemble à l’idée du cercle herméneutique, d’appréhender la totalité à partir d’un détail que nous comprenons grâce à cette même totalité. Ce sont les petits traits et les attitudes quotidiennes de ses personnages qui marquent le dialogue avec un tout qui, à première vue, pourrait nous sembler étranger.
Les peintures de Javier regorgent de non-lieux, de champs nus, de plateaux où l’âme humaine est réduite à une expression minimale. Ainsi, ses protagonistes travaillent, jouent et existent sans répondre aux raisons qui les ont conduits dans de tels lieux. La décontextualisation est importante, puisqu’elle met en évidence les traits qui donnent du caractère à l’œuvre, qu’il s’agisse de l’élimination des codes vestimentaires ou de l’ajout d’objets et d’attitudes d’une nécessaire disparité.
La peinture de Javier Ruiz est un dialogue sur les relations humaines, de petites histoires personnelles qui dialoguent avec des macro-structures universelles. C’est dans ce passage entre le banal et le sublime que Javier arrête le temps et se met au travail. Dans ce monde en transition, il bénéficie d’un large regard sur les idées qui le précèdent et sur celles qu’il souhaite concrétiser. source : victorlope.com
donnez le jour – Erik Thor Sandberg
Erik Thor Sandberg, l’origine du jour, symbolisme et surréalisme
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tu cultiveras ton jardin – Michael Hutter – Voltaire (1694-1778), Candide (1759)
Michael Hutter, le site web
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L’aile du chat-souris est en réalité une main modifiée. A l’exception du pouce, les autres doigts sont particulièrement allongés et sous-tendent une fine membrane de peau, souple et élastique, assurant la portance, appelée le patagium.
Cette main ailée peut aussi servir de protection quand l’animal est au repos. Il s’en enveloppe alors telle une grande cape isolante. Les ailes agissent aussi comme un régulateur thermique. Brassant l’air nocturne, elles contribuent à abaisser la température de l’animal en vol. Les chats-souris ne se contentent pas de voler, certains se déplacent avec agilité sur le sol, dans les branches ou sur les voûtes des cavités. source : sfepm.org
Maggie Vandewalle aka Hijinxed Etc (American, b. Iowa City, IA, USA, based Chattanooga, TN, USA) – Prowling, 2022, Paintings Watercolor, Gouache
la femme souffre plus de la canicule – Iwona Sacharz
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« Les risques sanitaires sont aussi plus grands pour les femmes que pour les hommes », écrit le quotidien britannique The Guardian. L’hypothèse que la canicule tue davantage les femmes est relativement récente.
Elle avait connu une première illustration en France en 2003. « Quand on observe des populations dans différentes tranches d’âges, on constate que durant cet épisode caniculaire le taux de mortalité chez les femmes était en moyenne 15 % plus élevé que chez les hommes », ont écrit des chercheurs néerlandais qui, dans un article publié en 2018, ont analysé une soixantaine d’études entre 2000 et 2016 s’intéressant à la mortalité pendant les canicules.
Une autre étude, toujours menée aux Pays-Bas en 2021, affine un peu ce constat. En s’intéressant au taux de mortalité lié à des températures extrêmes dans le pays, les scientifiques de l’université d’Amsterdam ont constaté que l’écart entre le nombre de décès chez les hommes et les femmes pendant les périodes les plus chaudes augmentait avec l’âge, surtout après 65 ans.
Mais « je pense que les facteurs sociaux et environnementaux jouent un rôle tout aussi important pour expliquer cette surmortalité féminine », assure Ilan Kelman, spécialiste des questions de santé à l’University College de Londres (UCL) qui travaille sur l’impact sanitaire des catastrophes naturelles. source : france24.com
les gens fuyaient les incendies – Michael Obermeyer, “Coast Highway Sunset”, gouache on paper
« En tant qu’illustrateur, j’ai toujours créé de l’art pour répondre aux besoins des autres. La peinture, cependant, m’offre la possibilité de créer pour moi-même, de permettre aux autres de voir comment je perçois la vie autour de moi et de m’évader totalement du monde réel pendant un certain temps. J’aime peindre à l’extérieur et travailler rapidement. Cela garde mes peintures fraîches et spontanées. J’aime particulièrement peindre autant d’espaces ouverts que possible, car ils semblent disparaître rapidement.
Lorsque je peins à l’extérieur, en plein air, je dois travailler rapidement en raison de la lumière changeante. J’ai donc une palette limitée de quatre à sept couleurs. Cette disposition ordonnée me permet également de mélanger des couleurs nettes et fraîches.
Michael Obermeyer
tags : feux de forêts, retour en ville
ne fais pas la difficile – Ella Jazz : pourquoi pas / Man Ray, À l’heure de l’observatoire – Les amoureux
Ella Jazz sur internet
tags : ta bouche dans le ciel, surréalisme