la nuit des champignons bleus – Bambou Gili (American, 1996) – Mycelium Running (2021)
Étiquette : peinture
celle du miroir
l’image de la femme
l’image de la femme – Georges Rouault, fille au miroir, 1906, Centre Pompidou, Paris
Georges Rouault occupe une place singulière parmi les artistes du vingtième siècle. Contemporain du Cubisme, de l’Expressionnisme et du Fauvisme il n’a jamais revendiqué l’appartenance à l’un de ces mouvements. Souvent catalogué peintre religieux il est avant tout indépendant. Ce n’est pas dans un système abstrait qu’il trouve son inspiration, mais dans la réalité la plus immédiate comme dans la spiritualité la plus élevée.
Fondation Georges Rouault
Gustave Courbet : l’origine des brocolis – Natalia Samoilova
Le brocoli est une variété de chou originaire de Sicile. Il fut sélectionné par les Romains à partir du chou sauvage. Ceux-ci l’appréciaient beaucoup et la cuisine italienne l’utilise beaucoup. Wikipédia
Natalia Samoilova est une photographe d’art-mode et une directrice artistique basée en Biélorussie.
Ses œuvres ont été publiées dans différents magazines d’art et de mode à travers le monde.Ses œuvres adoptent une perspective sensuelle et émotionnelle de la nature humaine. Ils capturent la beauté des choses simples. Ses projets relient l’héritage culturel et le présent à la vie moderne.
Natalia Samoilova
ma journée au musée
ma journée au musée – Artificial Bob @ArtificialBob
lutter contre l’érosion
lutter contre l’érosion – Miles Hyman, The Dunes, Crescent Point
lève-toi
la longue marche
N’insiste pas
N’insiste pas – Alex Colville, Nu et mannequin, 1950. Nude and Dummy
Les images silencieuses de Colville sont statiques. Pourtant, pratiquement toutes racontent une histoire, dans une intrigue brève et concise qui n’a pas toujours de résolution. Les situations humaines fondamentales en sont les thèmes à la fois simples et complexes : solitude, isolement, séparation, travail, loisirs, éloignement, amour. Le seul laconisme subliminalement dramatique, souvent mélancolique, du contenu correspond à la précision absolue de la forme par laquelle il est véhiculé. Comme à peine un autre artiste, Colville maintient le difficile équilibre entre l’imagination et le calcul sobre, l’intérêt formel et l’engagement social. Derrière la surface réaliste de son imagerie se cache le surréel – mais un surréel dépourvu de toute trace de mise en scène théâtrale ou d’emprunt à la psychanalyse, dont Colville se méfie profondément des nouveaux mythes.
Extrait de L’art du XXe siècle, éd. Lingot. Walther. Vol. I Taschen, Cologne, 1998 au sujet d’Alex Colville
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