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fête de la musique les belles histoires de tonton yves

Indiana Jones et le Royaume du son de cristal

Indiana Jones et le Royaume du son de cristal

Indiana Jones et le Royaume du son de cristal

source : Indiana jones theme’d Rube Goldberg machine @enbbigen

Une machine de Rube Goldberg est une machine qui réalise une tâche simple d’une manière délibérément complexe, le plus souvent à l’aide d’une réaction en chaîne. Elle tire son nom du dessinateur américain Rube Goldberg et est proche des engins de William Heath Robinson. source : Wikipedia

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humeur du jour / mood du genou

dans quatre mois – c’est la fête de la musique

dans quatre mois – c’est la fête de la musique / Giacomo Turra is a R&B musician and singer born in 1997 in Milan, Italy. He’s artist for NY based guitar company D’Angelico

dans quatre mois – c’est la fête de la musique

Giacomo Turra is a R&B musician and singer born in 1997 in Milan, Italy. He’s artist for NY based guitar company D’Angelico

tags : funk, saxophone, fête de la musique

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humour de Calais, bêtises et dentelle décalées les idées brico-facile de tonton yves

le dimanche c’est pêche à la ligne

le dimanche c’est pêche à la ligne – Vinheteiro

le dimanche c’est pêche à la ligne – Vinheteiro à la guitare classique pour le concert du dimanche.

la pisciculture, c’est bien difficile, et c’est bien plus cher, que la truite de Schubert. Bobby Lapointe

video complète de Vinheteiro sur youtube

les idées brico-facile de tonton yves : 181

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fête de la musique nos amis les brette

concert pour cerf de l’après-midi : Bach – Suite pour violoncelle n 1 en sol majeur, BWV 1007

concert pour cerf de l’après-midi : Bach – Suite pour violoncelle n 1 en sol majeur, BWV 1007

concert pour cerf de l’après-midi : Bach – Suite pour violoncelle n 1 en sol majeur, BWV 1007

Prélude à l’Après-midi d’un cerf.

D’une structure assez constante, les six suites pour violoncelle BWV 1007 à 1012 « s’ouvrent toutes par un prélude, suivi d’une allemande, d’une courante, d’une sarabande, de deux Galanterien et d’une gigue. La ressemblance de leur structure avec celle des Suites anglaises fait supposer que ces deux œuvres furent écrites environ à la même époque. Bien que les limites techniques du lourd violoncelle soient encore plus étroites que celles du violon, rendant impossible l’inclusion d’une fugue réelle, Bach réussit à créer des œuvres d’une maîtrise consommée, égale sinon supérieure à sa musique pour violon solo. Dans le prélude de la quatrième suite, par exemple, il donne, avec les moyens les plus simples, l’illusion d’une pédale d’orgue dont il se sert comme assise à des harmonies qui s’écoulent lentement ».

Pour rendre justice à ces œuvres d’exception, il faudrait ici reprendre, parfois mot pour mot, une bonne part des réflexions exprimées à propos des pièces pour violon solo. Peut-être même faudrait-il appuyer le trait, car, plus que jamais, le musicien prouve ici qu’il atteint les plus hauts sommets lorsqu’il s’impose les limites les plus étroites. « Nulle part Bach ne semble avoir autant de grandeur, de force et d’émotion que dans ses six Suites pour violoncelle (1720-1723 ?), pages de musique instrumentale pure où il est par excellence le maître de la liberté et où, pas un instant, il ne sombre dans l’arbitraire ni dans l’abstraction gratuite. L’architecture des préludes et des allemandes, l’édifice contrapuntique des sarabandes et même les mouvements de danses plus décoratifs suggèrent malgré leur style très libre une science polyphonique assez complexe (même si plusieurs voix restent sous-entendues) ».

Est-il vraiment besoin d’ailleurs de s’étendre sur les fabuleuses qualités de ces œuvres qui, bien qu’exigeant beaucoup de concentration et d’imagination de la part de l’auditeur, ont acquis une immense popularité ? Depuis que Pablo Casals s’en est fait le propagandiste, tous les violoncellistes, des plus confirmés aux plus jeunes, s’y sont engagés avec toute leur flamme et le public a suivi, toujours plus nombreux, succombant au pouvoir d’envoûtement magique de cette musique qui touche au plus profond de l’âme humaine et animale. Et que ces pièces soient si souvent « célébrées » dans des lieux normalement voués au culte, voilà un détail qui ne laisse pas indifférent : au-delà de toute considération touchant à l’acoustique, c’est une façon comme une autre de souligner la dimension spirituelle que Bach a certainement voulu donner à nombre de ces pages. Des pages aux multiples facettes et sortilèges, qui nous font passer de l’ombre à la lumière, des épanchements au silence, du recueillement au vagabondage, comme le suggérait un commentaire de Xavier Lacavalerie qui concluait sur cette belle interrogation : « Et si cette musique païenne était l’une des plus belles formes de la prière ? ». source : musicologie.org

commentaire de Mo Ha : Un concerf de Brahms ?

(j’avais essayé ce titre (concerf) mais j’ai eu peur de la réaction des ligues de défense des animaux…)

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de l'autre côté du mouroir

what a wonderful world

what a wonderful world, Louis Armstrong /Steve Cutts, Moby & The Void Pacific Choir – Are You Lost In The World Like Me (ou video perso)

what a wonderful world – Louis Armstrong

The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by.

I see friends shaking hands saying how do you do.
They’re really saying I love you.
I hear babies crying, I watch them grow.
They’ll learn much more than I’ll ever know.

And I think to myself what a wonderful world

Source : Musixmatch Paroliers : Weiss George David / Thiele Robert

Steve Cutts

« I’m a UK based illustrator and animator. My recent work includes the ‘LA-Z Rider’ couch gag for ‘The Simpsons’ and the music video for ‘Are You Lost In The World Like Me?’ for Moby. I’ve also worked on projects for renowned agencies across the world including UNESCO, The Gaia Foundation, Isobar, LMFM, and Analogfolk’. My work has been featured on various television networks, including Adult Swim and Fox in the US and Channel 4 in the UK. »

source : https://www.stevecutts.com/

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saoul-titre à 12° (vf)

Les portes du pénis entier, bientôt vont se refermer

The Animals : House of the Rising Sun, 1964 / Johnny Hallyday

(ou video perso dans mediathèque)

Les portes du pénis entier Bientôt vont se fermer Et c’est là que je finirai ma vie Comm’ d’autres gars l’ont finie

Johnny Hallyday porte l’espoir de milliers d’hommes avec sa chanson « Les portes du pénis entier » consacrée aux avancées spectaculaires de la médecine ces dernières années :

L’Afrique du Sud réussit la greffe d’un pénis entier

« Pendant 17 ans, un Sud-Africain a vécu sans pénis, amputé après une opération de circoncision qui a mal tourné. Une équipe médicale du Cap a réussi une prouesse en greffant un pénis entier au patient ». (source : Le Dauphiné libéré)