On allait dans le désert, Avec mon père, ma sœur, ma mère
Michel Jonasz / Nick Hannes, Dubaï, désert d’Al Qudra
Nick Hannes est un artiste photographe belge né à Anvers en 1974 ; il vit et travaille à Ranst, en Belgique. Diplômé de l’Académie royale des beaux-arts (KASK) de Gand et ancien reporter d’images, il présente une imagerie universelle au sein de laquelle l’homme est confronté à son environnement. source : singulart.com
autres publications bretzel liquide taguées Nick Hannes
Katrien de Blauwer est née dans la petite ville provinciale de Ronse (Belgique). Après une enfance troublée, elle s’installe très jeune à Gand pour étudier la peinture. Plus tard, elle a fréquenté l’Académie royale d’Anvers pour étudier la mode. Une étude qu’elle a abandonnée. C’est à cette époque qu’elle réalise ses premiers cahiers de collages, en fait des études et des moodbooks pour des collections de mode. Plus tard, elle a commencé à collectionner, découper et recycler des images en tant qu’auto-investigation thérapeutique.
L’art est une garantie de santé mentale. Louise Bourgeois
Katrien De Blauwer se qualifie de « photographe sans appareil photo ». Elle collectionne et recycle des images et des photos de vieux magazines et journaux. Son travail est à la fois intimiste, correspondant directement à notre inconscient, et anonyme grâce à l’utilisation d’images trouvées et de parties de corps découpées. Ainsi, son histoire personnelle devient l’histoire de tous. Le collage opère une sorte d’universalisation, soulignant l’impossibilité de s’identifier à un seul individu, tout en permettant de se reconnaître dans l’histoire. L’artiste devient un intermédiaire neutre : sans être l’auteur des photographies, elle se les approprie et les intègre dans son propre monde intérieur, un monde qu’elle révèle à la troisième personne.
Nous ne voyons pas les choses telles qu’elles sont, nous les voyons telles que nous sommes. Anaïs Nin
Katrien De Blauwer donne un nouveau sens et une nouvelle vie à ce qui est résiduel, sauvant les images de la destruction et les inscrivant dans une nouvelle narration qui allie intimité et anonymat. Son travail traite donc essentiellement de la mémoire. Mémoire par accumulation plutôt que par soustraction. Son travail rappelle les procédés du photomontage ou du montage de film. La coupe servant de cadre qui marque l’essentiel. source : Katrien de Blauwer
La mini-vague est un procédé chimique qui permet de créer et de fixer des ondulations sur les cheveux, même les plus fins et les plus lisses. Pour la réaliser, il est impératif de se rendre chez un coiffeur professionnel. Celui-ci va commencer par préparer vos cheveux en les lavant puis en appliquant un produit protecteur qui va permettre de protéger la fibre capillaire et de la nourrir en profondeur. Car la mini-vague sur cheveux fins et raides peut se révéler particulièrement agressive sans aucune précaution préalable. Votre coiffeur va ensuite enrouler les mèches de cheveux dans des rouleaux semblables à ceux utilisés pour une permanente. Il applique alors le produit à base d’ammoniaque et d’eau oxygénée qui va permettre de créer les boucles. source : schwarzkopf.fr
Aykut Aydogdu est né en 1986 à Ankara – Turquie. Il a commencé à étudier les beaux-arts au lycée et est diplômé de la faculté des beaux-arts – design graphique. Il a divers travaux sur des illustrations commerciales, des couvertures de magazines, des affiches de films. Ses œuvres figuratives surréalistes sont principalement concentrées sur les dilemmes de la vie quotidienne.
autres publications bretzel liquide taguées Aykut Aydogdu
La marée monte-t-elle à la vitesse d’un dauphin au galop dans la baie du Mont-Saint-Michel ?
Intéressons-nous d’abord à la vitesse d’un cheval au galop. On estime qu’elle est en moyenne de 21 kilomètres par heure, mais il n’est pas rare qu’elle atteigne 60 kilomètres par heure sur un champ de courses.
Les fonds de la baie du Mont-Saint-Michel étant très plats, l’eau y progresse rapidement pendant les grandes marées. Elle peut ainsi atteindre une vitesse d’environ 8 à 10 km/h, contre seulement 4 à 5 km/h sur le reste des côtes françaises. Mais pas de quoi effrayer Jolly Jumper et compagnie ! La vitesse moyenne d’un cheval au galop s’élève en effet entre 20 et 30 km/h. Un chiffre qui grimpe encore bien plus haut si l’on parle des stars des hippodromes. Ainsi, un pur-sang peut galoper jusqu’à 65 km/h, soit 22 km/h de plus qu’Usain Bolt au top de sa forme !
Même au trot, un cheval va à 14-15 km/h, donc plus vite que la mer qui monte au Mont-Saint-Michel. Il n’y a guère qu’au pas (6-7 km/h) que l’équidé devra se presser pour ne pas se retrouver submergé. Quant aux coureurs du dimanche, ils savent en revanche qu’à une vitesse de 8 à 10 km/h, il y a déjà de quoi se prendre une bonne suée ! source : letelegramme.fr
Le Grand dauphin (Tursiops trincatus) appelé aussi souffleur, dauphin à gros nez ou tursiops est très hydrodynamique : sa peau extrêmement lisse réduit grandement les frottements de l’eau quand il se déplace et sa grande nageoire dorsale contribuent à faire de lui le dauphin le plus rapide du monde mais également le mammifère marin le plus rapide du monde. On estime que la vitesse du dauphin est de 60 kilomètres par heure en vitesse de pointe.
Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n’est pas un gouffre moins amer.
L’Homme et la Mer (1857) est un poème de Charles Baudelaire contenu dans la section Spleen et idéal de son recueil Les Fleurs du mal. Il est composé de quatre quatrains avec des rimes embrassées. Wikipédia
Pavlos Samios (1948-2021) était un peintre grec et professeur à l’École des beaux-arts d’Athènes. Wikipédia