tueur de moutons – Charles Burnett, Killer of Sheep,1978
Los Angeles, ghetto afro-américain de Watts. Stan, un ouvrier fier et mélancolique, épuisé par son emploi dans un abattoir de moutons et par ses responsabilités de père de famille, résiste à la tentation de l’argent facile. Un combat qu’il mène sous le regard de sa femme qui n’arrive plus à communiquer avec lui. (google)
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quand je vois dans certains groupes facebook le nombre de réactions indignées par la cruauté insupportable de cette video de maltraitance animale (sic) je me demande ce qu’il leur reste de compassion pour les ukrainiens
L’invention de la pâte à modeler s’inspire de la terre glaise utilisée par les sculpteurs, qui a l’avantage de durcir en séchant. Pour des esquisses, pour l’utilisation par les enfants, ou plus récemment, pour du travail en animation, il convient d’avoir un matériau qui ne durcit pas définitivement, elle a donc naturellement évolué vers des matériaux plus consistants et malléables. Wikipedia
le chien du psychanalyste – Freud et la sœur de Lin-Yun le Chow Chow Jofi (Beauté,en Hébreu), 1937
Freud acquiert son propre chien en 1928,
un Chow-Chow nommé Lin-Yung offert en cadeau par Dorothy Burlingham, une amie d’Anna. Malheureusement, seulement quinze mois après son apparition dans la vie de Freud, la « petite lionne » disparait dans la gare de Salzburg, enroute vers Vienne. Elle est découverte deux jours après sa disparition, renversée par un train.
Sept mois plus tard Freud prend chez lui la sœur de Lin-Yun, Jofi
(Beauté,en Hébreu), qui sera pour lui un compagnon inestimable et une des plus douces consolations de la dernière décennie de sa vie, une période marqué par beaucoup de souffrances : la maladie, l’autodafé de ses œuvres par les nazis, la guerre, et l’exil de son pays natal. Atteint d’un cancer de la mâchoire, pendant les seize dernières années de sa vie il a dû subir trente-trois interventions chirurgicales. Peu après l’arrivée de Jofi, Freud voyage à Berlin pour l’insertion d’une prothèse de la mâchoire supérieure, « le monstre », qui sépare la bouche de la cavité nasale. Cet appareil, maintes fois transformé, modifie son élocution, lui rend difficile de manger et de fumer et lui cause de continuelles souffrances. De Berlin, il s’enquiert auprès de sa femme Martha – qui, peu amoureuse des chiens, met Jofi dans une pension pour animaux – de la condition de sa bien-aimée Jofi : Est-ce que quelqu’un rend visite à Jofi ? Elle me manque beaucoup.
Une fois réunis, chien et maître deviendront inséparables.
Ayant énormément de difficulté à avaler, Freud offrait à Jofi les restes de ses repas, ce qui peut expliquer la silhouette grassouillette de la Chow si charmante. Avec la progression de son cancer, la psychanalyse devient une activité de plus en plus épuisante et ardue pour Freud. Il apporte Jofi à toutes ses séances. La présence de la chienne s’avère aussi thérapeutique pour les patientes que pour lui. Freud découvre, en observant ses gestes et son comportement dans la présence de certaines de ses patientes, que Jofi est dotée d’une vraie capacité de jugement du caractère des hommes, un véritable baromètre émotionnel. La présence de Jofi facilite même le procédé de l’association libre. Pendant les séances de psychanalyse, l’analysant s’allonge sur un divan à la tête duquel prend place l’analyste, hors de vue, une disposition qui est censé favoriser le flux libre de l’inconscient.
Contrairement à l’analyste, Jofi est en pleine vue des patientes.
Elle s’étend au pied du divan, sereine et tranquille. Comme elle ne réagit aucunement à ce qu’exprime l’analysant, Freud a conclu que sa présence lui donne un sens d’acceptation et de sécurité, ce qui permet l’expression spontanée de tout ce qui passe par la tête. Jofi possédait aussi une excellente notion du temps, comme le raconte Martin, le fils de Freud : Quand Jofi se levait et bâillait, il savait que l’heure était écoulée. Elle n’était jamais en retard pour annoncer la fin d’une séance, bien que papa admette qu’il lui arrivait de faire une erreur d’une minute, au détriment du patient. source : leschiensetleurshumains.wordpress.com
Anna Freud : « Je n’ai pas donné de cadeau à papa pour son anniversaire parce qu’il n’y a aucun cadeau approprié pour l’occasion. J’ai simplement apporté une photo de Wolf que j’ai prise à la blague, parce que j’affirmerai toujours qu’il a transféré la totalité de son intérêt pour moi sur Wolf. Ça lui a beaucoup plu.«
Les électeurs boudent la campagne présidentielle. 71 % des personnes interrogées se déclarent « intéressées » par l’élection, c’est dix pour cent de moins qu’en 2017 et en 2012, à la même époque
Où est passée la campagne présidentielle ? Selon une enquête réalisée par Ipsos-Sopra Steria, en partenariat avec le Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof) et la Fondation Jean Jaurès pour « Le Monde », la campagne électorale n’accroche toujours pas. Dans cette étude, réalisée du 3 au 7 février de cette année sur 12 499 personnes, seulement 71 % se disent « intéressées » par l’élection contre 81 % à la même époque en 2017 et 80 % en 2012. source : sudouest.fr
Les parents qui s’engagent dans une procédure d’adoption racontent fréquemment leur “parcours du combattant” pour parvenir à accueillir un enfant au sein de leur famille. En France, l’Observatoire national de la protection de l’enfance (ONPE) comptait en 2017 12.162 couples ou célibataires ayant un agrément, qui souvent peinent à adopter. Mais ce n’est pas faute d’enfants “adoptables”. Bien souvent, c’est le projet parental qui ne correspond pas aux besoins des enfants.
Certes, le nombre d’enfants en attente d’être adoptés a bien chuté en France et à l’étranger. “Le nombre d’adoptions plénières*en France est en baisse massive depuis au moins les années 70”, explique au HuffPost Jean-François Mignot, sociologue et démographe au CNRS.