En 1923 s’ouvre le premier Salon des arts ménagers : l’invisible et gratuit travail domestique des femmes est élevé au rang d’un art où cohabitent le savoir et le savoir-faire de la ménagère, devenue par l’emploi des machines une technicienne. Publicité, revues (Mon chez-moi, de la Ligue de l’organisation ménagère), ouvrages (ceux de Paulette Bernège, fondatrice alors de l’institut d’organisation ménagère mettent l’accent sur la taylorisation du travail ménager, reprenant les théories du Domestic Science Movement, créé aux États-Unis. La technique réorganise l’espace ménager et diminue le temps imparti aux tâches domestiques, présentées comme des actes de créativité et non plus comme des besognes répétitives : la cuisine devient l’art culinaire du cordon-bleu; la ménagère confrontée à la crise des années 30 en préserve la qualité grâce à son ingéniosité, stimulée par la collection « A la fortune du pot ». source : histoire.savoir.fr
Cependant, au-delà de cette dimension, un second système sémiologique semble se déployer à travers ces photographies. Car au-delà du sens de l’image qui est celui d’un modèle faisant une démonstration, je saisis une signification de l’image, qui est esthétique : on me montre la beauté. A partir du signe, du sens, qui est la démonstration du produit, un mythe esthétique se forme. En prenant ce signe photographique comme signifiant, et en le reliant au concept de la beauté, le mythe, la signification, est que la personne maquillée ou habillée est la beauté. source : grozeille.co
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France Real : Coupez moi ces ongles que je ne saurais voir
Inter Brette : France Real « Coupez cet ongle que je ne saurais voir. Par de pareils objets, les chaussettes sont blessées, Et cela fait venir d’horribles pensées. » Le Tartuffe
les voleurs de fourrure – Jackdaws collecting fur from a deer to build nests with / Choucas collectant la fourrure d’un cerf pour construire leur nid (Credit unknown. Please comment or send message)
Ils creusent un tunnel et volent pour 500.000 euros de fourrure. Du vison, du chinchilla ou du renard… Ce sont quelques-unes des étoffes de fourrure qui ont été volées dans un magasin rue du Faubourg-Poissonnière (IXe), l’un des quartiers historiques de fourreurs de Paris. Le vol s’est déroulé entre samedi 26 et lundi 28 octobre, explique Le Parisien, dans le magasin « Sophie L. Fourrures ». Un cambriolage hors normes et qui pourrait rapporter gros à ses auteurs : ils ont fait main basse sur 500.000 euros de fourrure. source : capital.fr
aux Champs-Elysées – J.J. Grandville : from A Comet’s Journey, from Un Autre Monde, published 1844 / Joe Dassin
Jean-Jacques Grandville
Illustrateur et caricaturiste français (1803-1847)
« Né à Nancy dans une famille d’artistes et de comédiens, Jean-Jacques Grandville fait très tôt preuve d’un talent de caricaturiste, s’initiant en recopiant les dessins qu’il trouve dans la presse satirique. Il commence sa carrière artistique comme apprenti miniaturiste dans l’atelier de son père, puis dans celui d’un miniaturiste parisien, Léon Larue, qui le fait venir à la capitale. Dès 1820, il conçoit des créatures hybrides, mi-hommes mi-animaux, qui deviendront rapidement la marque de son talent. Au dessin, il associe volontiers les jeux de mots teintés d’ironie. La lithographie, nouvelle technique d’impression et de représentation, connait du succès et contribuera singulièrement à la gloire de Grandville.
C’est avec « Les Métamorphoses du jour » (1828-29), une série de 70 scènes dans lesquelles des personnages humains sont représentés avec une tête d’animal en situation pour un rôle dans la comédie humaine, qu’il connait le succès. Dès lors, des journaux tels que La Silhouette, L’Artiste, La Caricature, Le Charivari lui passent commandes. Ses caricatures politiques suscitent également l’engouement mais la censure l’en détourne et à partir de 1835, il se tourne vers l’illustration de livres où la satire sociale et l’opposition politique s’exprime encore. Il illustre alors divers ouvrages, tels que « Scènes de la vie privée et publique des animaux », une satire initiée par Jules Hetzel en référence à « La Comédie humaine », et au « Diable à Paris ». Il illustre également des œuvres d’Honoré de Balzac, les chansons de Béranger, les Fables de La Fontaine (1838) et celles de Florian, Don Quichotte de Cervantes, les Voyages de Gulliver de Swift, Robinson Crusoé de Daniel Defoe. Il a également continué à publier des recueils de lithographies : Les Fleurs animées (1830), Un autre monde (1844), Les Cent Proverbes (1845). De nombreux commentateurs postérieurs le voient comme une sorte de précurseur des grands maîtres de l’animation au cinéma ». source : Galerie Glénat
Un château est à l’origine une construction médiévale qui cumule plusieurs fonctions. Militaire, en assurant le contrôle d’un territoire ou une frontière. Symbolique et politique, en matérialisant l’emprise d’un homme ou d’un lignage sur un domaine. source : Wikipedia
« Peindre, c’est comme respirer pour moi »
Raoof est un artiste polyvalent autodidacte qui a participé à plus de 70 expositions collectives et 40 expositions personnelles aux États-Unis – France – Iran – Espagne – République tchèque et Royaume-Uni.
Ses peintures sont pour la plupart des huiles sur toile et s’appuient sur ses fortes traditions culturelles ainsi que sur son intérêt pour le monde changeant d’aujourd’hui. Son travail combine souvent des idées contemporaines avec des techniques traditionnelles. Dans ses peintures, il a assez souvent questionné les attitudes, les peurs, les conflits, les incompatibilités et les règles non écrites qui ont façonné notre environnement et notre comportement en son sein. source : Raoof Haghighi