raconte-moi encore l’histoire du loup-garou
‘The Werewolf Howls’ by Mont Sudbury, Weird Tales magazine, 1941
les images persistantes du rêve
Robert Duxbury (Australian, based Thornbury, Melbourne, Victoria, Australia) – The Voyeur, 2021, Watercolor on watercolor Paper mounted on Panel. site web
Lunis dies – lundi – jour de la lune. Laura Makabresku
le croissant de lune – Nude study, ca. 1920 – by Orval Hixon (1884 – 1982), American.
Orval Hixon voulait être peintre, mais son daltonisme a incité ses enseignants à l’orienter vers la photographie, mais ce déficit visuel est devenu l’un des plus grands attributs d’Hixon en définitive, car il a vu la lumière comme personne… et ce fut son atout majeur pour son travail photographique. source : lapetitemelancolie.net
le jour ET la nuit – Katrien de Blauwer
Katrien de Blauwer est née dans la petite ville provinciale de Ronse (Belgique). Après une enfance troublée, elle s’installe très jeune à Gand pour étudier la peinture. Plus tard, elle a fréquenté l’Académie royale d’Anvers pour étudier la mode. Une étude qu’elle a abandonnée. C’est à cette époque qu’elle réalise ses premiers cahiers de collages, en fait des études et des moodbooks pour des collections de mode. Plus tard, elle a commencé à collectionner, découper et recycler des images en tant qu’auto-investigation thérapeutique.
L’art est une garantie de santé mentale. Louise Bourgeois
Katrien De Blauwer se qualifie de « photographe sans appareil photo ». Elle collectionne et recycle des images et des photos de vieux magazines et journaux. Son travail est à la fois intimiste, correspondant directement à notre inconscient, et anonyme grâce à l’utilisation d’images trouvées et de parties de corps découpées. Ainsi, son histoire personnelle devient l’histoire de tous. Le collage opère une sorte d’universalisation, soulignant l’impossibilité de s’identifier à un seul individu, tout en permettant de se reconnaître dans l’histoire. L’artiste devient un intermédiaire neutre : sans être l’auteur des photographies, elle se les approprie et les intègre dans son propre monde intérieur, un monde qu’elle révèle à la troisième personne.
Nous ne voyons pas les choses telles qu’elles sont,
nous les voyons telles que nous sommes. Anaïs Nin
Katrien De Blauwer donne un nouveau sens et une nouvelle vie à ce qui est résiduel, sauvant les images de la destruction et les inscrivant dans une nouvelle narration qui allie intimité et anonymat. Son travail traite donc essentiellement de la mémoire. Mémoire par accumulation plutôt que par soustraction. Son travail rappelle les procédés du photomontage ou du montage de film. La coupe servant de cadre qui marque l’essentiel. source : Katrien de Blauwer
autres publications bretzel liquide taguées Katrien de Blauwer
les femmes de Shrödinger – Miles Johnston – quantique des quantiques
Je travaille principalement avec du graphite et des huiles, utilisant la forme humaine comme véhicule pour tenter de traiter l’intensité et la profonde étrangeté de l’expérience humaine collective. Les distorsions et les transformations que subissent mes sujets servent à représenter l’expérience de notre état intérieur à des moments cruciaux de nos vies. Au lieu de me concentrer sur des représentations littérales du monde, je décris les qualités surréalistes et abstraites de notre subjectivité dans le but de créer des œuvres avec une profonde résonance émotionnelle.
Miles Johnston
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tags : chat, poupée russe, tant qu’on a pas ouvert la boîte…