elle existe – François Roca : lumières intérieures
En marge de sa production pour l’édition jeunesse, François Roca peint depuis dix ans des femmes souvent solitaires. Dernièrement, l’artiste les a mises en lumière à sa façon dans des grandes toiles envoûtantes. La Huberty & Breyne Gallery nous les dévoilent le temps de l’exposition « François Roca, lumières intérieures ». Ces figures particulières semblent sorties des films américains des années 50, de l’univers de David Lynch ou d’une toile d’Edward Hopper. Elles dégagent une sensualité et une mélancolie palpable. Ces portraits nous évoquent une connaissance, une célébrité, les deux ou rien de cela, c’est tout le mystère François Roca. source : mensup.fr
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Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l’horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits
Bowlby réfute la théorie des pulsions et propose plutôt un ensemble de systèmes innés de comportements ou systèmes motivationnels favorisant les relations et qui sont corrigés quant au but par la réponse de l’environnement.
Le système d’attachement a pour but de favoriser la proximité de l’enfant avec une ou des figures adultes afin d’obtenir un réconfort lui permettant de retrouver un sentiment de sécurité interne face aux éventuels dangers de l’environnement. Ainsi, toutes les conditions indiquant un danger ou générant du stress pour l’enfant activent ce système que ce soient des facteurs internes, comme la fatigue ou la douleur, ou des facteurs externes, liés à l’environnement (tout stimulus effrayant, par exemple la présence d’étrangers, la solitude, l’absence de la figure d’attachement).
Finalement ce système semble plutôt constamment activé, corrigé en permanence quant à l’objectif à atteindre, comparable au fonctionnement d’un thermostat… suite sur CAIRN