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les belles histoires de tonton yves

les leçons des Grands Anciens

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les leçons des Grands Anciens – Mark Rogers (American, 1979) – The Remains (2016)

Mark Rogers est un artiste autodidacte de Portland, Oregon. Stylistiquement, son travail a été décrit comme un mélange d’art populaire, de peinture médiévale et d’illustration de contes de fées. Son travail a trouvé une place parmi les mouvements complémentaires Pop Surrealism et Magical Realism. Rogers crée des peintures narratives peuplées de personnages fictifs qui habitent ses peintures à l’huile fantasmagoriques, fantastiques et parfois humoristiques. Son travail a été présenté dans des expositions à travers les États-Unis et a été vendu dans le monde entier. source : markrogersart.com

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Agence France-Brette

vous êtes ici

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tags : guerre, invasion, géolocalisation, gps, plan, histoire

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de l'autre côté du mouroir ma vie est basée sur une histoire vraie

ne me dérange pas quand je lis

ne me dérange pas quand je lis
ne me dérange pas quand je lis

ne me dérange pas quand je lis – je fais un saut dans une autre dimension, tu as besoin de quelque chose ?

Au théâtre, le quatrième mur désigne un « mur » imaginaire situé sur le devant de la scène, séparant la scène des spectateurs et « au travers » duquel ceux-ci voient les acteurs jouer. Ce concept fut pour la première fois formulé par le philosophe et critique Denis Diderot. L’expression « briser le quatrième mur » fait surtout référence aux comédiens sur scène s’adressant directement au public et, au cinéma, quand des acteurs le font par le biais de la caméra. L’expression fait aussi référence à d’autres techniques ; certaines sont considérées comme des techniques de métafiction. (Wikipedia)

tags : quatrième dimension, passe-muraille, nonsense, couple

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Brette Ciel Liquide the truth (de toilette)

la recherche de la vérité du portrait

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la recherche de la vérité du portrait

la recherche de la vérité du portrait – Jean-Pierre Gibrat

Dans « Le Sursis », « Le Vol du Corbeau » et « Mattéo », le rôle de vos personnages féminins est central. Vous êtes l’un des rare auteurs de bandes dessinés à ainsi mettre autant des femmes en avant. Pouvez-vous nous expliquer pourquoi ?

Au départ, il n’y avait pas de volonté délibérée. Dans le cinéma de Claude Sautet, les personnages féminins ont un rôle gracieux. Avec un coup d’avance, il décrivait les femmes dans leur modernité avec justesse et en leur donnant le bon rôle.
Je fais un peu pareil avec mes personnages féminins. Même si ce n’est pas évident car je peux mieux anticiper la réaction des hommes que des femmes. Il faut avoir une empathie pour tout ce qui vous dépasse et vous interroge.

Quand j’ai commencé « Le Vol du Corbeau », en racontant l’histoire à travers Jeanne, j’ai regretté au bout de 10 pages ! Je suis quand même allé au bout. Mais je ne le referai pas car je ne suis pas sûr d’être juste. J’ai la conviction d’être juste quand je fais parler Julien, mais pas quand je fais parler Jeanne. J’espère mais je ne sais pas. Avec Jeanne, je ne me suis pas permis ce que je peux me permettre avec Mattéo.
La justesse dans le dessin n’est pas non plus une représentation photographique, ce n’est pas une question de proportions. La justesse consiste à montrer l’effet que font les gens. Je ne suis pas un dessinateur réaliste, je ne suis pas assez bon. Paul Gillon ou Jean Giraud étaient capables d’être réalistes. Par contre, j’espère être expressif. La justesse permet de montrer l’effet que font les choses et pas de décrire les choses comme elles sont. J’ai aimé le dessin par la caricature, notamment celles de Jean Mulatier. La caricature peut être plus juste que la photo de départ.

Jean-Pierre Gibrat pour forbes.fr

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tag : ressemblance, clin d’oeil à Norman Rockwell

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pendant ce temps – loin de la terre

pendant ce temps - loin de la terre
pendant ce temps – loin de la terre

pendant ce temps – loin de la terre / @artcatillustrated – Beyond Earth

Le rétrofuturisme (de l’adjectif rétrofuturiste ou rétrofutur) est une tendance réelle, fictive ou humoristique, en design, et dans les arts créatifs (mode, technologie, architecture, littérature, cinéma…), caractérisée par un mélange des imageries rétro et futuristes, inspiré de la façon dont le futur, le progrès et la science-fiction étaient imaginés dans le passé, avec pour perspective que toutes choses futuristes du présent deviennent, avec le temps, rétrofuturiste.

Le mot « retrofuturism » a été inventé par Lloyd Dunn en 1983, dans le magazine artistique de niche Retrofuturism, publié de 1988 à 1993. (Wikipedia)

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silence dans l’auditoire cria le lapin blanc

silence dans l'auditoire cria le lapin blanc
silence dans l’auditoire cria le lapin blanc

silence dans l’auditoire cria le lapin blanc- Ahmed Saber : Woman & Rabbit (charcoal on paper, 2020)

Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles, Traduction par Henri Bué.
Macmillan, 1869.

Ahmed Saber est un artiste égyptien basé à Louxor en Haute-Égypte, où il a obtenu son BFA avec mention en graphisme et gravure de la South Valley University.

Ses délicates aquarelles et gravures sur bois révèlent de dures réalités dans les mondes qu’il crée et sont riches de symbolisme. Il y a un bord de subversion politique, parfois ludique et humoristique, et d’autres fois, sombre et sombre. Sa participation active aux salons annuels des jeunes et ses expositions dans toute l’Égypte lui ont valu de nombreux prix à ce jour.

Il enseigne actuellement à la Faculté des Beaux-Arts de Louxor. Je voudrais dessiner avec des matériaux secs tels que le fusain au crayon pastel et aussi dessiner à l’aquarelle et à l’encre. « Je suis Giorgio de Chirico et Carlo Carra dans le travail d’art métaphysique. Dans mon travail d’art, j’utilise des symboles légendaires et des objets métaphysiques. Mon travail a beaucoup de détails … vous voyez de nombreux objets encombrés. » source : artsper.com

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samedi après-midi

samedi après-midi
samedi après-midi

samedi après-midi – Lucas Varela pour La Duplicadora : The Shining, Arthur et Zoé

Lucas Varela est né à Buenos Aires en 1971.

Après des études de graphisme à l’université de Buenos Aires, il fonde le fanzine Kapop, dont six numéros paraissent entre 1998 et 2001. Il y dessine la plupart des récits, s’essayant avec bonheur à de nombreux styles graphiques. (Babelio)

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de l'autre côté du mouroir

nous attendions que le jour se lève

nous attendions que le jour se lève
nous attendions que le jour se lève

nous attendions que le jour se lève – Yuri Shwedoff

Yuri Shwedoff est né en 1991 et a vécu au Kirghizistan jusqu’à l’âge de 9 ans, lorsque sa famille a décidé qu’il était temps de déménager en Russie pour que Yuri reçoive une bonne éducation artistique. En 2008, Yuri est diplômé du département de peinture du lycée d’art académique de Moscou de l’Académie russe des arts. A cette époque, il a également été nominé pour la Médaille de l’Académie des Beaux-Arts de Russie pour une série d’œuvres intitulée « Souzdal ». Récemment, Shwedoff est diplômé de l’Université d’art académique d’État de Moscou à Surikov et est actuellement membre de l’Union des artistes de Moscou.

« Souvent, avec mes amis artistes, nous discutons de nos rôles dans le monde et du rôle de l’art dans le système mondial de valeurs. Maintenant, tout change très rapidement et les choses importantes perdent leur importance. Peut-être que bientôt nous devrons survivre et chasser comme il y a plusieurs milliers d’années. Nous avons besoin d’artistes dans un tel monde, ou nous devrons tous prendre les lances et nous battre pour le dernier cheeseburger. Je crois que l’art aide les gens à ressentir les sentiments qu’ils ont au plus profond d’eux-mêmes. Comprendre ces sentiments et en même temps nous comprendre nous-mêmes. Apprendre à apprécier la beauté du monde. L’art nous aide à être ceux que nous devrions être – non seulement des bâtisseurs, mais aussi le public. L’art nous rappelle que le monde entier a été créé pour que nous apprécions sa beauté. C’est donc cool de créer et d’apprécier les créations. Ce sera important même lorsque nous retournerons à la grotte et dessinerons sur les murs. Et c’est un travail agréable de s’asseoir, de dessiner et de regarder des dessins animés. Que pourriez-vous demander de plus? »– Yuri Shwedoff. source : wowxwow.com

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tag : post-apocalypse

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patience – les poissons d’avril c’est dans 3 jours

patience - les poissons d'avril c'est dans 3 jours
patience – les poissons d’avril c’est dans 3 jours

patience – les poissons d’avril c’est dans 3 jours – Franco Matticchio

Franco Matticchio naît à Varese, Lombardie, en 1957. Illustrateur en 1979 au Corriere della Sera. En 1986, collabore à Linus, l’ambitieuse revue de BD qui accueille Topor, Arrabal, Copi. Parallèlement, des couvertures et des illustrations, de l’animation — comme le générique remarqué d’Il Mostro de Benigni – et toujours la presse, terrain de rêve pour Matticchio, car les éditeurs de journaux italiens laissent carte blanche aux dessinateurs. Mais sa biographie reste maigre, ce qui est normal pour un homme secret, solitaire, un artiste qui a la force de s’effacer derrière son oeuvre. Cristina Taverna, à la barre des éditions milanaises Nuages et amie proche de Matticchio, ajoute : “ le magnétisme de l’enfance transparaît autant dans sa production que dans sa personnalité. Dire qu’il est timide serait faux : il se risque totalement dans son travail.”

Outre le chat Jones, Matticchio a un second double : Monsieur Aïe, Il Signor Ahi en VO. Un autre petit homme sans épaisseur dont la tête se résume à un énorme globe oculaire. Aïe est aveugle au monde réel – bien sûr pour mieux voir le reste. source : galeriemartel.com

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tag : 1er avril

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comprendre les expressions françaises

élagué comme un pinson

élagué comme un pinson
élagué comme un pinson

élagué comme un pinson – Denis Dubois

Cette expression comparative très ancienne, puisqu’elle date de la fin du XVIIème siècle, rappelle le chant si gai de cet oiseau que l’on prend comme type dans la locution proverbiale. Selon certains naturalistes, les pinsons, élevés avec soin, deviennent très familiers ; ils chantent quand on le leur demande et sont même capables de donner des signes d’amitié.

Or, chez les personnes, le chant dénote un caractère dégagé de tout branchage superflu ; n’est-il pas naturel que l’on ait comparé une personne très élaguée au pinson qui chante presque tout le temps. source : Midi libre

Denis Dubois, manufacteur d’image

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