8 mars : protège-nous des radiations – Marina Choy
L’ONU parle de la journée internationale des femmes (c’est d’ailleurs l’intitulé officiel) alors que la France a plutôt tendance à privilégier la journée internationale des droits de la femme. source : Journée Mondiale
Si l’homme moderne est bien africain, comme le confirme l’analyse ADN, la découverte en 2017 au Maroc des plus vieux ossements attribués à Homo sapiens vient réfuter l’idée d’une origine unique est-africain. Par ailleurs, la sortie d’Afrique d’Homo sapiens serait plus ancienne de 100 000 ans qu’on ne le pensait : début 2018, une équipe israélienne faisait remonter sa sortie d’Afrique à 180 000 ans, date à laquelle on attribuait il y a deux ans encore l’apparition de l’espèce. source : Ca m’intéresse
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avec le temps, mes tissus s’étaient relâchés – Jakob Hunosoe
Avec le temps Avec le temps, va, tout s’en va L’autre à qui l’on croyait pour un rhume, pour un rien L’autre à qui l’on donnait du vent et des bijoux Pour qui l’on eût vendu son âme pour quelques sous Devant quoi, l’on s’traînait comme traînent les chiens Avec le temps, va, tout va bien
« Entre sculpture et photographie – entre le physique et l’éphémère – les œuvres de Jakob Hunosøe se déploient. Dans ses images, le monde quotidien des objets est assemblé dans des constellations inhabituelles. Sur l’une des photographies, une cruche à vide est en équilibre sur l’abat-jour inversé d’un lampadaire ; ici, les deux objets vont étonnamment bien ensemble. Au moment même où l’équilibre réussit, un petit tableau se produit, un tableau harmonisé en termes de couleur et de forme ; une possibilité qui ne peut être réalisée qu’en un seul instant et qui est maintenue dans la photographie comme un état permanent.
Le processus de fabrication de « l’ abat-jour aligné avec le bord d’une table » .
En manipulant des objets du quotidien, Hunosøe met en scène une série de moments sculpturaux spéciaux à immortaliser par la caméra. Une tomate rouge brille comme une ampoule colorée d’une prise de courant, la partie en verre d’une cafetière se gonfle en gonflements mous, un tas de verres à bière balance, soutenant une rampe. Le potentiel sculptural inné d’objets plutôt communs tels que des chaises, des lampes, des radiateurs, des ustensiles de cuisine, des équipements de salle de bain, des raquettes et des outils est libéré dans la photographie.
IL NE MANIPULE PAS À L’AIDE D’UN ORDINATEUR, MAIS RÉORGANISE PLUTÔT LE MONDE RÉEL«
Le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP) est une association française non gouvernementale, créée en 1949 par d’anciens résistants et déportés de la Seconde Guerre mondiale, qui se définit comme un moyen de revendication pour « l’égalité des droits entre tous les citoyens ». MRAP
je commence à être un peu agacé par ces centaines de commentaires lapidaires type CGI, Fake !, Photoshop ! par les nouveaux experts du fact–checking sur des vidéos qui n’ont que peu de prétention à la réalité (et encore moins à la Vérité) mais ne sont pour moi le plus souvent qu’une part de rêve.
peace and love – Joe Simboli, 1968, vintage peace poster
Joe Simboli a conçu un ensemble d’affiches war/peace en 1968 en réponse à un appel d’Herb Lubalin, un directeur artistique bien connu de New York pour le magazine Avant Garde, qui parrainait un concours « No More War ».
Peace and love est une expression de la langue anglaise signifiant « paix et amour », employée comme signe de reconnaissance dans les années 1960 par les hippies, et à laquelle est associé le symbole de la paix ☮, qui fut employé sur de nombreuses bannières mais surtout sur pléthore de T-shirts portés par les hippies ou plus généralement par la « génération Woodstock » – T-shirts qui ont fait sensation de par leur facilité de personnalisation et leur simplicité d’usage – pour protester contre l’armement nucléaire, contre la guerre du Vietnam ou encore afin d’exprimer leur volonté d’un avenir sain sans pollution. source : Wikipedia
soutiens-moi / Florence Poullain : Salvador Dali, Femme à la tête de roses, 1981
Dali et la rose
« L’utilisation par Dalí de la fleur de rose dans son art a traversé de nombreux médiums différents. Dans la sculpture en bronze d’Alice au pays des merveilles (conçue en 1977), les mains et les cheveux de la femme se sont épanouis en roses symbolisant la beauté féminine et la jeunesse éternelle.
Dans la sculpture de Dalí, Woman of Time, (conçue en 1973), la figure féminine tient une rose parfaitement formée sur une tige, l’horloge qu’elle a drapée sur son bras fait allusion à la prise de conscience que la beauté peut être indépendante du temps. Dalí a souvent représenté la figure féminine avec une tête non pas de cheveux, mais comme un bouquet de roses, pour symboliser éventuellement leur sexualité latente, comme dans la sculpture « Hommage à la mode » . (conçu en 1971)
Dalí a peint une rose parfaite dans son tableau de 1958 « La rose méditative ». L’image est un paradoxe visuel, base fondamentale du surréalisme, la rose semble « flotter » dans le ciel, méditant au-dessus de deux minuscules personnages, rappelant Jean François Millets L’Angélus’ ,(1856), l’un des favoris de Dalí peintures. L’un des pétales est recouvert d’une goutte d’eau, créant un effet tridimensionnel lumineux.
Ici, Dalí utilise la technique du trompe-l’œil pour tromper le spectateur ; en fait, la rose semble avoir de la profondeur dans la peinture, contrastant avec le ciel bleu uni dans lequel elle se trouve, conduisant à un incroyable effet tridimensionnel.
Une autre sculpture en bronze de Dalí qui encapsule la figure féminine avec la tête de roses est, Femme a La Tete de Rose . (1981). Haute de deux mètres, cette sculpture surréaliste rend une fois de plus évidente l’obsession continue de Dalí pour le symbole des béquilles. La Femme à La Tête de Roses se tient sur deux béquilles, une plus longue (s’élevant de la base) soutenant son bras droit. Sur son bras gauche sont positionnés plusieurs doigts de deux mains désincarnées, qui la maintiennent fermement. La partie supérieure de la sculpture est une figure phytomorphe, la tête entière devenant un bouquet fleuri d’où s’élève une corne, donnant une dimension animale à la figure. Dalí représente toujours des personnages ancrés dans la fantaisie, qui, à leur tour, prennent des significations différentes lorsqu’ils sont assemblés avec des objets extérieurs et incongrus ». source : Daliuniverse
Florence Poullain
« Plusieurs sujets de prédilections se dégagent de son œuvre : la nature, les paysages, les êtres vivants du plus petit au plus grand, le graphisme … Les détails retiennent son attention : une couleur, une texture, une ambiance, une atmosphère … » à voir sur florence-poullain.fr
L’Homme à tête de chou
est un album-concept de Serge Gainsbourg de 1976, youtube