la fin des jeux olympiques est proche,
fuyez, pauvres fous
Quand il se réveillait dans les bois dans l’obscurité et le froid de la nuit, il tendait la main pour toucher l’enfant qui dormait à son côté. Les nuits obscures au-delà de l’obscur et les jours chaque jour plus gris que celui d’avant. Comme l’assaut d’on ne sait quel glaucome froid assombrissant le monde sous sa taie. À chaque précieuse respiration, sa main se soulevait et retombait doucement.
Cormac McCarthy : la route