Old man look at my life, I’m a lot like you were / Neil Young / adamlittlepage
le vieil homme et la guitare
tags : fête de la musique, fête des pères, elle vient du blues
Old man look at my life, I’m a lot like you were / Neil Young / adamlittlepage
le vieil homme et la guitare
tags : fête de la musique, fête des pères, elle vient du blues
sonnez hautbois résonnez musettes
Depuis plus de quatre mille ans,
Nous le promettaient les prophètes
Depuis plus de quatre mille ans,
Nous attendions cet heureux temps.
Il est né le divin enfant,
Jouez hautbois, résonnez musettes!
Il est né le divin enfant,
Chantons tous son avènement!
Les Compagnons De La Chanson sur youtube
D’après les recherches de USA TODAY, la publication virale n’est pas réelle et il s’agit d’une animation CGI créée par le motion designer et graphiste 3D basé à Londres, Luke Penry, dont le pseudo Instagram apparaît dans le filigrane des vidéos. Penry a confirmé à USA TODAY que la création numérique n’est basée sur aucune plante médicinale et n’est qu’une des nombreuses animations et graphiques de « champignons numériques » que l’artiste a réalisés pendant son temps libre. Il a insisté sur le fait que la vidéo est une pure oeuvre de CGI sur Twitter.
tags : reproduction, trompettes de la renommée, il va y avoir du spore, le chant des spores le soir au fond des bois
je vous ai compris – Gilles Vranckx, Octo me
Gilles Vranckx sur blogspot
tags : poulpe, général De Gaulle
les choristes
tags : tous en choeur, bonjour, oiseau
et quand la pandémie serait finie, ce seraient à nouveau les années folles
mon précieux !
Gollum est un jeune phoque fictif du légendaire créé par l’écrivain britannique J. R. R. Tolkien et qui apparaît dans ses romans Le Hobbit et Le Seigneur des anneaux. Connu en tant que Sméagol à l’origine, Gollum est un Hobbit de la branche des Forts, qui vivait aux Champs des flambes vers 2440 T. A.. En 2463 T. Wikipédia
ma mère me manque – A whale mother and her son
» Les plus désespérés sont les chants les plus beaux,
Le Pélican, ‘Alfred de Musset, paru en 1835 dans le recueil La Nuit de Mai.
Et j’en sais de baleineaux qui sont de purs sanglots. «