Jusques en haut des cuisses Elle est tatouée Et c’est comme un délice De boire son thé
Serge Gainsbourg – Initials BB
Character, like porcelain-ware, must be painted before it is glazed. There can be no change of colour after it is burned in.
Le personnage, comme la porcelaine, doit être peint avant d’être émaillé. Il ne peut y avoir aucun changement de couleur après la cuisson.
Henry Ward Beecher (1813 – 1887) est un célèbre pasteur abolitionniste américain qui contribua en 1854 à la croisade du Kansas en organisant des souscriptions pour armer les abolitionnistes. Wikipedia
j’avais l’habitude de lui faire l’amour pendant qu’elle faisait la cuisine
pour la saint-valentin, elle nous préparait des oeufs au plat.
Un œuf au plat ou œuf sur le plat, proche de œuf miroir, est un œuf, généralement de poule, cuit sur un plat, une poêle ou sur une plaque préalablement chauffée et beurrée ou huilée. Wikipedia : Kamasutra
Photographe depuis 1984 Marc Lafon a collaboré régulièrement comme portraitiste avec des magazines tels que Playboy France, ELLE, Premiere, Figaro Magazine, Capital…. Images redistribuées à l’etranger par les agences Stills, Gamma et Starface.
Le photographe Marc Lafon vit et travaille à Montpellier depuis 2011.
Son travail sur le nu artistique a commencé en 1998 et fait l’objet d’expositions.
saint-valentin je t’aime un peu beaucoup passionnément à la folie
Effeuiller la marguerite est un jeu qui est censé refléter les sentiments de l’être aimé.
La personne qui y joue associe chaque partie de la ritournelle : « elle (il) m’aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, plus que tout, pas du tout » à un des pétales d’une marguerite, et ôte ce pétale. La partie de la phrase associée au dernier pétale est censée refléter les sentiments de la personne à qui elle s’adresse.
Le jeu est pratiqué dans plusieurs pays dont la France. Il est représenté dans le ballet de Jean Coralli et Jules Perrot Giselle (Paris, 1841). source : Wikipedia
En la voyant assise sur la mer, les disciples furent bouleversés. Ils dirent : « C’est un fantôme. » Pris de peur, ils se mirent à crier. Mais aussitôt Marie leur parla : « Confiance ! c’est moi ; n’ayez plus peur ! »
Alors ceux qui étaient présents se prosternèrent devant elle, et ils lui dirent : « Vraiment, tu es la Mère de Jésus ! » source : marche dans la bible
est une photographe conceptuelle de Kazan, en Russie. diplômé en psychologie. Ses portraits d’art sont à la fois beaux et mystérieux. Ils vous tiennent en haleine avec leur beauté légèrement dérangeante et unique. Dans ses clichés, le corps humain est le protagoniste. Dépouillé de tout clinquant, il devient un sujet sérieux et authentique, une divinité contemporaine. Ces corps semblent spontanément fusionnés avec la nature qui les entoure, même si glaciale et hostile. Imagenation
Eve est le serpent, Eve hait le serpent ? dessin : Riccardo La Spina
« Et puis, il y a Eve.
Eve ici, c’est l’être humain, on ne va pas séparer cet être humain en deux pour ne faire porter la responsabilité de ce qui arrive à Eve toute seule, comme le fait par exemple l’auteur de l’épitre à Timothée lorsqu’il écrit : « Que la femme demeure dans le silence, car ce n’est pas Adam qui fut séduit, c’est la femme qui, séduite, se rendit coupable de transgression ! » Soyons indulgents, admettons qu’il y a une énorme différence dans les contextes culturels et que, aujourd’hui, Paul s’exprimerait différemment, en tout cas espérons-le ! Mais ici, Eve représente l’être humain dans sa totalité.
Le serpent, pour être sûr que la conversation va s’engager, fait exprès une petite erreur
en commençant : « Dieu a-t-il vraiment dit que vous ne devez manger aucun des fruits du jardin ? » Alors Eve se dépêche de le corriger : « Mais si, on peut en manger, il n’y a que pour l’arbre qui au centre qu’il a dit qu’il ne fallait pas en manger. » Elle a rectifié, elle a eu raison, mais en même temps elle est entrée en dialogue avec le serpent, c’est ce qu’il cherchait. C’est comme aujourd’hui quand on clique trop vite pour répondre à une offre sur Internet et que cela permet à un organisme quelconque de récupérer vos données pour vous bombarder de publicité.
En plus, il y a un détail
qui pourra sembler insignifiant : dans sa réponse au serpent, Eve rajoute quelque chose à la parole de Dieu. Si on revient au chapitre précédent, on voit que la consigne était de ne pas manger du fruit de l’arbre au centre du jardin, et ici, Eve dit que Dieu aurait dit : « Vous n’en mangerez pas et vous n’y toucherez pas ! » Ça n’a l’air de rien, mais dans un texte de cette importance, qui traite de l’origine du rapport de l’humanité avec Dieu, ça ne peut pas être simplement anecdotique, comme s’il s’agissait d’une espèce de distraction.
C’est un signe de faiblesse chez Eve,
l’être humain. En pensée, alors même qu’elle affirme son adhésion à la parole de Dieu, elle imagine déjà le geste que le serpent ne lui a pas encore suggéré, elle voit ce qu’elle pourrait faire, elle n’est pas certaine qu’elle ne le fera pas, alors elle rajoute quelque chose à la parole de Dieu. Nous avons ici, en germe, tous les systèmes de lois, de codes, de commandements humains qui viennent s’ajouter à la simple parole de Dieu ! Dieu a dit : « Tu aimeras… » Tu aimeras Dieu, et l’être humain complète, rajoute, spécifie les moyens, les sacrifices, les liturgies, les horaires selon lesquels il est recommandé d’aimer Dieu. Tu aimeras ton prochain – on précise alors qui est le prochain, comment on peut l’aimer, quand on peut ne pas l’aimer, ou même le tuer éventuellement au nom d’un principe plus important, la justice, l’honneur…
À partir de là, le serpent a beau jeu
d’amener Eve à accepter de mettre en question la parole de Dieu. Elle est mure pour entendre un discours sur Dieu, une « théo-logie » en somme. Cette première tentative théologique consiste en une psychanalyse de Dieu. Au fond, dit le serpent, Dieu est jaloux, il est rusé, il est égoïste, il cherche à garder le pouvoir, il craint la concurrence, c’est pour ça qu’il a placé cette interdiction, Dieu est menteur, voilà ce que dit le serpent théologien ! » Prédication du pasteur Roland Revet, le 1 mars 2020, à Bordeaux Bastide
« La confession est un rite individuel : le pénitent avoue ses péchés personnels au Christ qui, en la personne du prêtre, lui accorde son pardon. Le rite du sacrement peut se dérouler de la manière suivante : Le pénitent, à genoux devant le prêtre, fait le signe de Croix :
Au nom du Père et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen. Bénissez-moi, mon Père, parce que j’ai péché.
Le prêtre invite le pénitent à la confiance en Dieu en disant par exemple :
Que le Seigneur vous inspire les paroles justes et les sentiments vrais pour confesser avec contrition vos péchés.
Le pénitent peut alors dire quelques mots de la Sainte Écriture ayant trait à la miséricorde de Dieu et au repentir »
Dutch artist Francien Krieg (1973) lives in the countryside in the middle of the Netherlands with her two children and husband, working full-time in her studio.