de notre envoyée spéciale en Ukraine
tags : secrétariat général, érotisme, mort, absurde
Qu’est-ce que tu préfères – mes cuisses ou les épinards ?
La scène culte du film « Le Mépris », réalisé par Jean–Luc Godard en 1963, avec Olive Bardot et Michel Popeye (source : allocine)
« Tu vois mon derrière dans la glace ? – Oui. Tu les trouves jolies mes fesses ? – Oui, très. Et mes seins, tu les aimes ? – Oui, énormément. Qu’est-ce que tu préfères, mes cuisses ou les épinards ? – Je sais pas, c’est pareil. »
tags : tatouage, culturisme, parodie
Que les filles soient nues
Qu’elles se jettent sur moi
Qu’elles m’admirent, qu’elles me tuent
Qu’elles s’arrachent ma vertu
Olaf Martens / Daniel Balavoine
« Olaf Martens revient sans cesse à Saint-Pétersbourg. La magnifique métropole de la Neva l’attire irrésistiblement. Il n’est pas seulement fasciné par l’abondance de motifs brillants, matière pour l’appareil photo d’un insatiable curieux.
Cela commence par la photographie grotesque d’un modèle féminin pompeux en papier mâché. La silhouette imposante roule sur un camion à plateau sur les pavés d’une rue bordée de façades wilhelminiennes en ruine. Les photographies d’Olaf Martens ne laissent personne indifférent », c’est ainsi que le conservateur Harald Kunde a un jour décrit les réactions souvent passionnées à vos œuvres ». source : Klaus Honnef sur le site d’Olaf Martens
autres publications bretzel liquide taguées Olaf Martens
l’allée du château – Raoof Haghighi
Un château est à l’origine une construction médiévale qui cumule plusieurs fonctions. Militaire, en assurant le contrôle d’un territoire ou une frontière. Symbolique et politique, en matérialisant l’emprise d’un homme ou d’un lignage sur un domaine. source : Wikipedia
« Peindre, c’est comme respirer pour moi »
Raoof est un artiste polyvalent autodidacte qui a participé à plus de 70 expositions collectives et 40 expositions personnelles aux États-Unis – France – Iran – Espagne – République tchèque et Royaume-Uni.
Ses peintures sont pour la plupart des huiles sur toile et s’appuient sur ses fortes traditions culturelles ainsi que sur son intérêt pour le monde changeant d’aujourd’hui. Son travail combine souvent des idées contemporaines avec des techniques traditionnelles. Dans ses peintures, il a assez souvent questionné les attitudes, les peurs, les conflits, les incompatibilités et les règles non écrites qui ont façonné notre environnement et notre comportement en son sein. source : Raoof Haghighi
tags : origine du monde, surréalisme, luxe
Quand il reviendra le temps des cerises
Les belles auront la folie en tête
Et les amoureux du soleil au cœur
Quand nous chanterons le temps des cerises
Sifflera bien mieux le merle moqueur
Coccinelle, demoiselle, bête à bon Dieu
Coccinelle, demoiselle, sens mon épieu
Petit point rouge, elle bouge
Petit point blanc, elle prend
Petit point noir, coccinelle au revoir
paroles : le monde des titounis
pleine lune – Lucian Bernhard (German, 1883-1972) : Moonstruck, 1968
dit Lucian Bernhard (parfois Lucien Bernhard), né le 15 mars 1883 à Cannstatt, (Allemagne), mort le 29 mai 1972 (à 89 ans) à New York, est un graphiste, affichiste, créateur de caractères, architecte d’intérieur, professeur allemand et astronome amateur.
Emil Kahn étudie à l’académie des arts de Munich. En 1901, il se rend à Berlin pour travailler auprès d’Ernst Gowold — le directeur de la plus grande agence de « proto- publicité » d’alors — pour l’imprimerie d’affiches Hollerbaum & Schmidt. Il réalise des affiches pour des sociétés importantes comme Stiller (chaussures), Pelikan, Manoli, Kaffee Hag, Bosch, Faber-Castell. Il prend alors le pseudonyme de Lucian Bernhard sous lequel il est universellement connu.
(« Affiche »), qui deviendra plus tard Gebrauchsgrafik.
De 1910 à 1920, il est directeur artistique de la société Deutschen Werkstätter Hollerau, qui produit des meubles, des tapis et des luminaires.
Il est le créateur du Plakatstile, ou « style affiche », caractérisé par un dessin simple, des couleurs en aplat. Il crée des polices caractéristiques de sa personnalité, d’abord avec la Bernhard Antique pour la fonderie Flisch de Francfort (1913), puis une production abondante après la guerre pour la fonderie Bauer.
En 1923, il est nommé professeur en art publicitaire au Unterrichtsanstalt des Kunstgewerbemuseums de Berlin, l’équivalent de l’école des Arts décoratifs de Paris.
Il n’obtient pas un grand succès et ne réussit pas à convaincre les directeurs artistiques de l’intérêt d’apporter un graphisme novateur, alors même qu’en Allemagne le Bauhaus fait ses premiers pas. Néanmoins, séduit par New York, il décide alors de s’y installer définitivement. Sa famille le rejoint. Il ouvre l’atelier de design Bernhard-Rosen. Son style n’attire pas les clients américains et il travaille essentiellement dans l’architecture d’intérieur. Il a réalisé de nouvelles polices pour la fonderie britannique Stephenson Blake.
Ses œuvres sont exposées en 1964 à la documenta 3 de Cassel.
Il est le père de la photographe Ruth Bernhard (1905-2006).
source : Wikipedia
saint-valentin : J-2
(de l’anglais) est un engin réglable constitué de deux cales pour les pieds, utilisé en amour pour la saint-valentin.
La fixation se fait en posant simplement le bloc de départ sur la piste, il est composé à sa base de petites pointes en acier, qui empêchent celui-ci de glisser quand le coureur s’élance et peut être rapidement retiré une fois l’athlète parti. Ils permettent aux amoureux de donner une plus grande impulsion au départ d’une course. Ils sont employés sur toutes les distances égales ou inférieures à 400 mètres.
Le coureur règle son bloc de départ en fonction de sa taille de façon à poser ses mains derrière la ligne de départ. Pour le 100 mètres, les lignes de départ (et non les blocs de départ) sont sur une même ligne alors que pour le 200 mètres et le 400 mètres, elles sont décalées pour compenser la distance plus grande à l’extérieur des virages. source : Wikipedia
est un photographe français, né en 1972. Il est également directeur artistique du Festival de photographie MAP à Toulouse et anime des ateliers en France et à l’étranger.
Membre de l’agence MYOP depuis janvier 2007, son travail photographique a été publié dans Le Monde, Libération, L’équipe, Géo, National Geographic. Depuis plus de quinze ans, les photographies d’Ulrich Lebeuf sont réalisées sur le théâtre de l’actualité : lieux de conflits ou de pouvoir, lieux où l’histoire se décide et s’écrit. Son approche est directe, documentaire et frontale, avec détachement et richesse du détail.
Son travail a fait l’objet d’expositions et de projections, dont « AZF » au Centre d’art et d’architecture de Toulouse (2003), « Violence moderne » au festival Terre d’images de Biarritz (2004), « Palestine » lors du Festival du Scoop à Angers et « Keep the Distance » à l’Espace Lhomond à Paris (2005). Initiateur du projet culturel « Territoires de fiction », ses séries « Ère de jeux » et « En attendant mon tour » ont été présentées en ouverture des Rencontres de la photographie à Arles (2006) , la galerie du Château d’eau à Toulouse, la Maison Européenne de la Photographie et à la Villette à Paris (2007).
Aujourd’hui, tout en poursuivant son travail pour la presse, il se concentre davantage sur son travail personnel, où la recherche occupe une place importante, et où il alterne les procédés photographiques selon le sujet traité : de la couleur au noir et blanc, en passant par le Polaroid, ou des procédés proches à la peinture. source : agence MYOP
dans deux jours c’est la fête de l’amour
Siana Park : saint-valentin pour tous, l’exhibitionnisme des sentiments