Zenon Żyburtowicz : Reporter et artiste photographe. Voyageur. Membre de l’Académie Internationale de Lutèce à Paris, de l’Association des Caricaturistes Polonais, de l’Association des Photographes d’Art Polonais et de l’Association Globtroter des Journalistes de Voyage. Il a photographié pour « Schweizer Illustrierte » et « Die Ganze Woche » viennois ainsi que « Reader’s Digest », « Viva », « Polityka ».
D’où vient l’expression « la lumière au bout du tunnel » ?
Cette expression métaphorique, que l’on ne trouve pas dans les dictionnaires, nous parle d’espérance.
« Voir le bout du tunnel », « sortir du tunnel », voilà des expressions consacrées qui émergent dans le dictionnaire à la fin du XIXe siècle, au moment de la révolution ferroviaire et de la percée de galeries souterraines pour laisser passer les locomotives.
« To see light at the end of the tunnel », existe en anglais et est datée du début du XIXe siècle. Mais sa traduction en français ne figure pas dans les dictionnaires. « On ne trouve pas l’expression en tant que telle, ni à “lumière” ni à “tunnel” ni à “sortir”, comme si la langue ne l’avait pas figée », remarque Sylvianne Rémi-Giraud, linguiste et sémiologue.
Dépasser la difficulté
Selon le Trésor de la langue française, le « tunnel » au figuré est une « longue période de difficultés, de souffrances physiques ou morales dont on ne voit pas la fin ». Et de donner un exemple dans la littérature qui associe un tunnel de souffrances à la lumière, comme dans un oxymore (figure de style consistant à associer deux mots au sens contradictoire) : « L’impression de sortir d’un tunnel, de trouver la lumière, de commencer vraiment une nouvelle vie ! », écrit Roger Martin du Gard dans son livre, Jean Barois, en 1913, un récit sur la perte de la foi dans le monde moderne.
« Cette combinaison de mots, figurée, “la lumière au bout du tunnel”, tout le monde, en France, la comprend de manière immédiate », souligne Sylvianne Rémi-Giraud. Mais la « lumière » s’avère peu définissable : « On voit très bien ce qu’est un tunnel, il est associé à un souterrain, sombre, mais la lumière ? C’est un nom commun accessible à tous, qui relève d’une expérience universelle, mais qui reste difficile à saisir. Il y a bien sûr la fonctionnalité de la lumière mais il y a aussi bien plus. »
Dans la métaphore de la lumière se niche une espérance, « au bout du tunnel », « qui est sur la ligne d’horizon, à laquelle on tend, » explique Gérard Haddad, psychanalyste et auteur de nombreux ouvrages dont Antonietta. Lettres à ma disparue (Éditions du Rocher). Selon lui, cette expression permet « d’entrevoir le dépassement du moment pénible que l’on vit ». Par Olivia Elkaim source : lavie.fr
La Ronde de l’amour (Love Circles), film de 1985 réalisé par Gérard Kikoine, avec John Sibbit, Marie-France, Josephine Jacqueline Jones.
« Jack ne vit que pour et par Suzy, une jeune femme sensuelle et envoûtante. L’emprise qu’elle exerce sur lui a pour sommet ultime la nuit passionnée qu’ils passent ensemble. Mais, le lendemain matin, Suzy a disparu, de même que le portefeuille de Jack. Ce dernier, n’écoutant que son coeur et son corps, part à la recherche de la belle voleuse. Il parcourt le monde et découvre, au gré de ses escales, les plaisirs de la chair ». source : google
Les dunes sont des espaces naturels mobiles et très arides. A cela s’ajoute la pauvreté nutritive du milieu et les agressions fréquentes et parfois violentes du vent marin. Les plantes qui arrivent à s’installer et à survivre sur les dunes mobiles sont des végétaux ayant avec un grand pouvoir d’adaptation à l’évolution de la dune et à toutes ses contraintes. Elles ont dû développer des organes souterrains, racines profondes ou très ramifiées ou encore des rhizomes résistant à l’enfouissement comme au déchaussement ainsi que des adaptations au niveau de leur système foliaire (enroulement de la feuille…)
Les techniques végétales pour la fixation des dunes mobiles emploient des plantes qui ont ces caractéristiques. Elles doivent aussi avoir la capacité de se multiplier facilement en pépinière et de s’implanter sans problème sur le site à stabiliser. source : marcanterra.fr
Le Tyrol est un land de l’Autriche de l’ouest situé dans les Alpes. Il est connu pour ses stations de ski, ses sites historiques et ses traditions folkloriques. Sa capitale, Innsbruck, est entourée de montagnes et comporte des monuments de l’Empire des Habsbourg, notamment le palais baroque de Hofburg et l’église gothique Hofkirche. Le symbole de la ville est le Dachl Goldenes (ou Petit toit d’or), une loggia datant du XVe siècle surmontée de tuiles de cuivre étincelantes et commandée par l’empereur Maximilien Ier de Habsbourg (Google)
dernières heures pour convaincre les vilains abstentionnistes – Bettie Page, dynamite comics, comic art, spaceman
Bettie Mae Page, née le 22 avril 1923 à Nashville dans le Tennessee et morte le 11 décembre 2008 à Los Angeles, est un mannequin américain, célèbre dans les années 1950 pour ses photos de pin-up mais également pour nombre de clichés fétichistes. (Wikipedia)