comme Vladimir Poutine, la reine Elizabeth II se ferait remplacer par des sosies lors de ses apparitions publiques aux cérémonies du Jubilé.
Sergueï Jirnov, ancien officier supérieur du KGB et réfugié en France depuis 2011, émet l’hypothèse que des doublures pourraient remplacer la reine Elizabeth II qui serait, selon certaines sources, très âgée. source : nicematin.com
(si facebook ne masque pas l’image en proclamant la Vérité établie par des experts indépendants du fact-checking, c’est que c’est vrai)
Disparu à l’âge de 75 ans, le 13 avril 2000, « victime d’une crise cardiaque dans le sofa de sa maison de Cap Cod, pendant qu’un ami changeait l’ampoule du plafond », adulé par les cinéastes Tim Burton et Terry Gilliam, deux grands spécialistes de la torsion du réel, ce très mystérieux personnage, fou de littérature, est l’auteur d’une centaine de livres. Illustrateur de TS Eliot ou d’Alphonse Allais, il a inventé des personnages incroyables, dont le plus étrange est « L’invité douteux », sombre oiseau humanoïde, croisement de freux et de macareux, à la sociabilité encombrante. source : letelegramme.fr
Poutine a-t-il franchi la ligne jaune ? Jimmy Marble
Avec un sens aigu de la scénographie – un attribut qui lui a valu de nombreuses missions publicitaires avec TK Maxx et Spotify – et un répertoire indéniablement coloré, le réalisateur, photographe, designer et muraliste est un pionnier effervescent. Chaque composition trouve des frontières fantaisistes dans le paysage naturel – les dunes de sable et les collines en sont deux exemples – tandis que chaque figure apporte un sentiment de vitalité. Qu’il s’agisse de courir, de bronzer ou de se tenir debout sur une échelle, chaque modèle affirme un sens du caractère, capturé sans effort à travers le cadre aux côtés d’un style contemporain et de teintes pastel lumineuses. texte : aestheticamagazine.com
tags : twin peaks, mort, délation, numéro vert, allo oui vous pouvez répéter, je sais qui a tué Laura Palmer, vous avez demandé la police – veuillez ne pas quitter
« Le terme anglais fact-checking, littéralement « vérification des faits », désigne un mode de traitement journalistique, consistant à vérifier de manière systématique des affirmations de responsables politiques ou des éléments du débat public.
Ce mode de traitement journalistique s’est imposé en France depuis une dizaine d’années, suivant son développement aux États-Unis. À l’origine, le terme désignait un processus de vérification interne dans les organes de presse anglo-saxons. Les journaux avaient dans leur sein (et continuent d’avoir) des employés dont le travail était de vérifier l’exactitude des faits, chiffres ou citations rapportés par les journalistes de terrain. Une forme de contrôle interne de la rigueur de l’information. Mais depuis une quinzaine d’années, le terme désigne une pratique consistant à vérifier de manière systématique les éléments du discours politique, et plus largement du débat public. Un certain nombre de journaux ont mis en place des structures dédiées, notamment en période électorale. Avec l’explosion d’Internet, des sites spécialisés ont vu le jour. Un des premiers fut factcheck.org, site non-partisan et à but non-lucratif. Sa mission revendiquée pourrait résumer le credo des fact-checkers : clarifier le débat public en vérifiant et corrigeant les assertions trompeuses ou confuses. » source : Centre pour l’Education aux Médias et à l’Information
je commence à être un peu agacé par ces centaines de commentaires lapidaires type CGI, Fake !, Photoshop ! par les nouveaux experts du fact–checking sur des vidéos qui n’ont que peu de prétention à la réalité (et encore moins à la Vérité) mais ne sont pour moi le plus souvent qu’une part de rêve.