Une mer quasiment asséchée est en train de renaître
La mer d’Aral, à cheval entre le Kazakhstan et l’Ouzbekistan, avait perdu 75% de sa superficie en 50 ans. Grâce à un barrage, le niveau de l’eau remonte petit à petit. source : France Inter
« Les roses et les épines font partie de la même plante ».
#flightshame si tu es fier d’être pilote tape dans tes mains
#flygskam n’aie pas honte, le corps social change, ce n’est pas sale
La honte de prendre l’avion est la honte ou le sentiment de culpabilité que ressent une personne informée ou sensibilisée à la protection de l’environnement de se déplacer en avion, un mode de transport. source : Wikipedia
tags : avion, Garuda Indonesia, Régis passe son brevet de pilote
Le lancer du sac poubelle est une discipline de l’athlétisme, originaire d’anciennes pratiques celtes, qui consiste à lancer un sac de 16 livres anglaises pour les hommes et 4 kg pour les femmes, dans le camion des éboueurs. source : Wikipedia
cinq battements par minute, Grand Prix à Cannes et César du meilleur film français, 5 Battements d’aile par minute retrace les premières années de l’association Ligue pour la protection des oiseaux – Paris, au début des années 1990, et restitue la rage de vivre de militants dévoués corps et âme à la protection des aigles. source : Telerama
L’eau n’est pas nécessaire à la vie – elle est la vie
Flavio Tavares / Antoine de Saint-Exupéry
Flávio Roberto Tavares de Melo
est né à João Pessoa, Paraíba, Brésil, le 15 février 1950, fils et petit-fils d’artistes.
« Flávio Tavares fait partie des artistes les plus importants du nord-est du Brésil et il jouit d’une confortable réputation parmi les artistes figuratifs brésiliens de sa génération. » Jacob Klintowitz , critique d’art. site de Flavio Tavares
l’eau source de vie
De l’apparition de la vie sur Terre aux branchies que porte l’embryon humain jusqu’à 7 semaines, tout ce qui existe est lié à l’eau. Et à son mystère.
Antoine de Saint-Exupéry a résumé en une phrase l’essence même de l’eau : elle est à la fois le creuset originel et l’élément primordial de la vie. C’est dans l’eau des océans primitifs, il y a plus de 4 milliards d’années, que sont apparus les premiers micro-organismes qui, évoluant au fil du temps, ont essaimé et colonisé notre petite planète : un désert inerte à ce moment-là. source : science-et-vie
l’arbre respiratoire – Daniel Popper 10 m tall sculpture : Ven a la Luz (come to the light)
L’artiste sud-africain Daniel Popper , connu pour ses sculptures figuratives massives, a construit une nouvelle œuvre d’art dans le cadre d’un festival des arts et de la culture à Tulum, au Mexique. L’installation imposante est intitulée Ven a la Luz (entrez dans la lumière) et est composée de bois et de corde façonnés en une figure féminine. Son torse est rempli de plantes vertes luxuriantes, ce qui crée une arche pour les spectateurs. source : thisiscolossal
est une photographe conceptuelle de Kazan, en Russie. diplômé en psychologie. Ses portraits d’art sont à la fois beaux et mystérieux. Ils vous tiennent en haleine avec leur beauté légèrement dérangeante et unique. Dans ses clichés, le corps humain est le protagoniste. Dépouillé de tout clinquant, il devient un sujet sérieux et authentique, une divinité contemporaine. Ces corps semblent spontanément fusionnés avec la nature qui les entoure, même si glaciale et hostile. Imagenation
« La Terre est la mère universelle.
Eschyle glorifie la Terre qui« enfante tous les êtres, les nourrit, puis en reçoit à nouveau le germe fécond » (Choéphores, 127-128). Une conception analogue survivait encore au XIXe siècle parmi certaines tribus primitives. Un prophète de la tribu nord-américaine Umatilla refusait de travailler la terre : « C’est un péché, disait-il, de blesser ou de couper, de déchirer ou de griffer notre mère commune, par des travaux agricoles. » Et il ajoutait : « Vous me demandez de labourer le sol ? Irai-je prendre un couteau pour le plonger dans le sein de ma mère ? Mais alors, lorsque je serai mort, elle ne me reprendra plus dans son sein. Vous me demandez de bêcher et d’enlever des pierres ? Irai-je mutiler ses chairs afin d’arriver à ses os ? Mais alors je ne pourrai plus entrer dans son corps pour naître de nouveau. Vous me demandez de couper l’herbe et le foin et de le vendre et de m’enrichir comme les Blancs ? Mais comment oserais-je couper la chevelure de ma mère ? »
L’hymne homérique dédié à Gaia (Terre) exalte « la Terre, mère universelle aux solides assises, aïeule vénérable qui nourrit tout ce qui existe […]. C’est à toi qu’il appartient de donner la vie aux mortels, comme de la leur reprendre […]. » C’est la raison pour laquelle la grande déesse, la Terre-Mère, est considérée non seulement comme la source de la vie et de la fertilité, mais aussi comme la maîtresse du destin et la déesse de la mort. Dans l’Inde, Durgā-Kālī est à la fois créatrice et destructrice, principe de la vie et de la mort.
En Mésopotamie, Ishtar est la déesse de l’amour par excellence, mais aussi la déesse de la guerre. On l’appelle « Dame de l’amour », « Reine du plaisir », mais aussi « la Vaillante », « la Dame des batailles ».
Parmi les noms de grandes déesses, les plus connus sont Ardvî et Anâhita en Iran, Ishtar à Babylone, ‘Atar’ate en Syrie, Astarté en Phénicie, Tanit à Carthage, Déméter et Aphrodite en Grèce, Cybèle en Asie Mineure. Toutes ces déesses présentent une structure analogue. Elles expriment la sacralité de la vie et le mystère de la fertilité, mais aussi le caprice et la cruauté. D’un côté, elles prodiguent la vie, la force et la fécondité ; à l’opposé, elles apportent la guerre ou les épidémies. Presque toutes sont des déesses de la vie, de la fertilité et de la mort tout ensemble. En un certain sens, on peut déchiffrer dans leur personnalité la valorisation religieuse de la vie cosmique, avec tous ses mystères et toutes ses contradictions ». source Universalis.fr
La création de la vie à partir d’argile
est un thème récurrent du créationnisme apparaissant au sein de la mythologie, la littérature et de certaines théories modernes. Wikipedia
La Panthère des neiges est fortement associée aux habitats de montagnes, avec une préférence pour les ravins escarpés et rocheux. On la rencontre dans les vallées des hautes montagnes d’Asie centrale, de Sibérie centrale et de l’Altaï, jusqu’à une altitude de 5 500 m. Elle est répertoriée sur la liste rouge de l’UICN comme faisant partie des « espèces vulnérables ». source : Wikipedia
Katia Berestova : Née à Saint-Pétersbourg en 1992 Artiste peintre / graphiste – autodidacte Photographe depuis 2010. En 2017, elle a commencé à photographier consciemment, à développer des directions pouvant être qualifiées de photographie psychédélique, d’expressionnisme, d’incarnation d’images subconscientes à travers la réalité. 2018 membre de l’Union des artistes « Solaris » 2018 membre de l’Union des artistes photo de Russie
« Mes photographies, en plus de mon travail en studio, sont un journal visuel. Dans un portrait je recherche l’intemporalité, cette perspective où une personne est ce qu’elle a été « toujours », au sens le plus vrai du terme. Hier, aujourd’hui et demain » .