Forrest Gump est une comédie dramatique américaine de Robert Zemeckis, sorti en 1994. C’est l’adaptation du roman du même nom de l’écrivain Winston Groom. Wikipedia
« Maman disait toujours… La vie, c’est comme une boîte de chocolats, si tu es trop bon, tu es dans les premiers à te faire bouffer. »
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chacun doit-il réduire sa consommation d’électricité ?
Madonna with neon halo in Naples, Italy. / vierge Marie au néon
Le gouvernement a demandé, mercredi 20 juillet, aux Français de multiplier les « petits gestes quotidiens », mais sans restriction, afin de réaliser des économies d’énergie en cas de rupture d’approvisionnement en gaz à l’automne. « Nous demandons un effort aux citoyens, aux Françaises et aux Français », a affirmé le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, à l’issue du conseil des ministres, estimant qu’il « n’y a pas de petit geste » en matière d’économie d’énergie.
« Ces gestes du quotidien ont un très fort impact sur notre consommation énergétique » source : lepoint.fr
Javier Ruiz (Jaén, 1989) a commencé à étudier le design graphique à Jaén en 2007. En 2013, il a étudié les études supérieures en illustration à Madrid. En 2014, il suit un atelier de peinture et de théorie des couleurs à Los Angeles (USA).
Il arrive un moment dans la carrière d’un peintre réaliste où il décide de la forme que prendra son discours, ou plutôt de son équidistance avec la tradition sur laquelle il se fonde. Pour Javier Ruiz Perez, cette identité a emprunté différentes voies, comme l’art urbain ou la figuration au sens strict. Or, cette vision du monde nous vient avec des nuances, comme un subtil renoncement au détail au profit d’un coup de pinceau expressif engagé dans le quotidien.
Disons que l’approche de la réalité de Javier ressemble à l’idée du cercle herméneutique, d’appréhender la totalité à partir d’un détail que nous comprenons grâce à cette même totalité. Ce sont les petits traits et les attitudes quotidiennes de ses personnages qui marquent le dialogue avec un tout qui, à première vue, pourrait nous sembler étranger.
Les peintures de Javier regorgent de non-lieux, de champs nus, de plateaux où l’âme humaine est réduite à une expression minimale. Ainsi, ses protagonistes travaillent, jouent et existent sans répondre aux raisons qui les ont conduits dans de tels lieux. La décontextualisation est importante, puisqu’elle met en évidence les traits qui donnent du caractère à l’œuvre, qu’il s’agisse de l’élimination des codes vestimentaires ou de l’ajout d’objets et d’attitudes d’une nécessaire disparité.
La peinture de Javier Ruiz est un dialogue sur les relations humaines, de petites histoires personnelles qui dialoguent avec des macro-structures universelles. C’est dans ce passage entre le banal et le sublime que Javier arrête le temps et se met au travail. Dans ce monde en transition, il bénéficie d’un large regard sur les idées qui le précèdent et sur celles qu’il souhaite concrétiser. source : victorlope.com
jour de récital – Dance Recital in Brooklyn. Photo by Leroy Henderson, 1992
Ma carrière professionnelle de photographe s’étend sur plus de quarante ans. Pendant ce temps, j’ai eu des missions dans le photojournalisme, les événements d’entreprise, les relations publiques, l’aérien, le théâtre et la publicité. Mes photographies sont apparues dans des films, tels que Ken Burns’ Jazz, et des livres publiés par Beacon Press, NYU Press et Smiley Books/Hay House Publishers, entre autres.
J’ai effectué des missions indépendantes pour Wide World Photos (AP), Black Star Picture Agency, NY, et United States Information Agency (USIA).