net regain d’intérêt des jeunes pour la télé – Arorea : My first object head tv, head monitor, head cosplay.
tags : sondage, enquête, écrans, société, consommation
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un café s’il vous plaît – Time and Tide Museum of Great Yarmouth Life
Le Museum of Great Yarmouth Life, situé à Great Yarmouth, Norfolk, Royaume-Uni, est situé dans l’une des œuvres victoriennes de séchage de hareng les mieux conservées du Royaume-Uni et est le troisième plus grand musée de Norfolk. Wikipédia (anglais)
tag : tourisme
soldes. dernière démarque sur les barons de la droite. tout doit disparaître
« Son projet est le meilleur », Édouard Balladur apporte officiellement son soutien à Valérie Pécresse pour la présidentielle de 2022. source BFMTV en partenariat avec BZLTV
que cuisiner pour la saint-valentin ? Andrey Korotich
Pour fêter la Saint-Valentin, vous avez décidé de mettre les petits plats dans les grands pour passer une soirée gourmande avec votre bien-aimé(e) ? Foie gras, saumon fumé et noix de Saint-Jacques font leur come-back pour un dîner aux allures chics et poétiques. Pour un repas basé sur des produits du quotidien, misez sur des petites bouchées au fromage frais, un burger en forme de cœur, une mousse au chocolat. Le choix ne manque pas. Des recettes simples aux plus originales, il y en a pour tous les goûts. Prêt pour un tête-à-tête explosif en saveurs ? Dressez la nappe, allumez la bougie, et bon appétit 🙂 Et pour les âmes célibataires : on a toujours une bonne raison de célébrer l’amour. Famille ou amis : avec ces recettes gourmandes, dites à vos proches que vous les aimez !
Parce qu’on a tous une bonne raison de célébrer l’amour !
Faites le plein de recettes pour préparer une soirée placée sous l’oeil de Cupidon. De bons petits plats qui en jettent, des recettes simples et gourmandes…. Allumez les chandelles ! Autre option, pour satisfaire tous les amoureux : le brunch de Saint-Valentin ! La cerise sur le gâteau ? Le servir au lit ! source : cuisineaz.com
tag : dîner en amoureux, les feux de l’amour
Andrey Korotich, Créateur digital, Fashion video director and photographer. Son travail sur 500px
saint-valentin : J-2
(de l’anglais) est un engin réglable constitué de deux cales pour les pieds, utilisé en amour pour la saint-valentin.
La fixation se fait en posant simplement le bloc de départ sur la piste, il est composé à sa base de petites pointes en acier, qui empêchent celui-ci de glisser quand le coureur s’élance et peut être rapidement retiré une fois l’athlète parti. Ils permettent aux amoureux de donner une plus grande impulsion au départ d’une course. Ils sont employés sur toutes les distances égales ou inférieures à 400 mètres.
Le coureur règle son bloc de départ en fonction de sa taille de façon à poser ses mains derrière la ligne de départ. Pour le 100 mètres, les lignes de départ (et non les blocs de départ) sont sur une même ligne alors que pour le 200 mètres et le 400 mètres, elles sont décalées pour compenser la distance plus grande à l’extérieur des virages. source : Wikipedia
est un photographe français, né en 1972. Il est également directeur artistique du Festival de photographie MAP à Toulouse et anime des ateliers en France et à l’étranger.
Membre de l’agence MYOP depuis janvier 2007, son travail photographique a été publié dans Le Monde, Libération, L’équipe, Géo, National Geographic. Depuis plus de quinze ans, les photographies d’Ulrich Lebeuf sont réalisées sur le théâtre de l’actualité : lieux de conflits ou de pouvoir, lieux où l’histoire se décide et s’écrit. Son approche est directe, documentaire et frontale, avec détachement et richesse du détail.
Son travail a fait l’objet d’expositions et de projections, dont « AZF » au Centre d’art et d’architecture de Toulouse (2003), « Violence moderne » au festival Terre d’images de Biarritz (2004), « Palestine » lors du Festival du Scoop à Angers et « Keep the Distance » à l’Espace Lhomond à Paris (2005). Initiateur du projet culturel « Territoires de fiction », ses séries « Ère de jeux » et « En attendant mon tour » ont été présentées en ouverture des Rencontres de la photographie à Arles (2006) , la galerie du Château d’eau à Toulouse, la Maison Européenne de la Photographie et à la Villette à Paris (2007).
Aujourd’hui, tout en poursuivant son travail pour la presse, il se concentre davantage sur son travail personnel, où la recherche occupe une place importante, et où il alterne les procédés photographiques selon le sujet traité : de la couleur au noir et blanc, en passant par le Polaroid, ou des procédés proches à la peinture. source : agence MYOP
parlez-moi de ce goût pour le sucre
Le terme « addiction » mérite d’être introduit par une référence à son étymologie, plus par méthode que par souci d’inférer de son évolution sémantique le processus psychopathologique. Si, en latin, « ad dicere » signifiait « être dit à » (pour un esclave donné à un Maître en contrepartie d’une dette qu’il n’avait pu payer), si « l’addiction » désignait l’opération juridictionnelle de « contrainte par corps » d’un homme libre du fait de sa dette, que d’images pour une interprétation psychopathologique de la dépendance à un produit ou à une situation que le logos actuel a nommée « Addiction » ! Pour le discours psychanalytique, plusieurs expressions retiennent l’attention : la voie passive « être donné », l’esclavage, qui de Sénèque à Hegel, puis à Lacan, a marqué l’asymétrie des rapports humains, la dette avec ce qu’elle recèle ici de réel, le corps devenu autre, aliéné à l’autre, servant de substitution à une dette non soldée. Le rapprochement des termes, de leurs champs sémantiques, pour rhétorique qu’il paraisse, est pourtant évocateur d’une figuration des composantes psychopathologiques majeures de l’Addiction (Pedinielli & Rouan, 2000), phénomène clinique aux multiples visages, et, surtout, aux multiples discours. Que, dans le réel, le corps en vienne à être dédié à une dette impayée, à un manque, et s’en retrouve asservi, n’est peut-être pas seulement une image suscitée par la proximité sémantique.
Apport de la psychanalyse à la question de l’Addiction Jean-Louis Pedinielli, Agnès Bonnet source : cairn.info
Réalisé par l’une des moitiés de l’atelier de création graphique français Brest Brest Brest, Rémy Poncet imagine « History and chips », une série de collages en noir et blanc accompagné d’un élément alimentaire coloré.
Un jour, presque par hasard, l’un des deux acolytes, Rémy Poncet colle un chewing-gum sur une vieille photo du film Un Américain à Paris. C’est le début de « History and chips », une série personnelle de long terme qui a débuté en mars dernier et qui vient de se terminer. Oeuf, moutarde, jambon, chewing-gum, spaghettis, sauce, dentifrice… Chaque mois, l’artiste réalisait une seule et unique nouvelle image. Le résultat est superbe, retrouvez l’origine de la série ici et on vous conseille de faire un tour sur le portfolio de Brest Brest Brest
texte : thebergerie.net
autres publications bretzel liquide taguées Rémy Poncet
broyage des poussins mâles interdit – la filière propose aux enfants de faire des colliers de poussins pour la fête des mères
12,4 millions d’enfants sont scolarisés dans l’Éducation nationale en France et, vu l’augmentation du prix du blé, la tradition du collier de nouilles grève lourdement le budget des ménages.
C’est donc tout naturellement que les couvoirs et la filière oeufs, suite à l’interdiction de broyage des poussins mâles, ont eu cette idée pour absorber l’excédent de production.
On estime qu’environ 300 millions de « frères » de poules sont tués chaque année dans l’Union européenne, dont 50 millions en France, car incapables de pondre les œufs qui finiront dans nos assiettes.
le gouvernement laisse aux couvoirs français jusqu’à fin 2022 pour changer leurs pratiques, selon un décret paru dimanche au Journal officiel. source : courrier-picard
le moment zen du soir : le colibri et le léopard
« Relaxer son corps, apaiser son esprit pour être zen, passent aussi par la présence d’éléments zen dans son environnement. On agrémentera les pièces de la maison d’éléments invitant à l’harmonie et la spiritualité comme une fontaine d’intérieur ou des plantes vertes, on utilisera du linge de lit en matière naturelle comme le chanvre, on diffusera des huiles essentielles et on évitera la présence de fauves sauvages et sanguinaires.
La relaxation n’est pas une simple détente, elle exerce ses bienfaits sur tout le corps : elle permet de relâcher les tensions musculaires, de se rééquilibrer, d’être zen, d’améliorer sa circulation sanguine, de prendre du recul et d’agir avec des idées claires et non sous le coup de l’émotion, d’avoir des relations plus harmonieuses avec son entourage… » source : couleur-chanvre.com
j’ai rencontré l’homme de ma vie / saint-valentin : le plastique c’est fantastique
Marianna Rothen : Mail Order
« Dans Mail Order, Rothen elle-même est le sujet sensuel et sexy – un archétype inspiré par le grand écran. Avec une collection de mannequins masculins, elle participe à une scénographie dystopique éclairée par des angoisses de la vie réelle autour du genre et du patriarcat, jouée dans un contexte intérieur usé et un environnement naturel.
Dans sa série Mail Order (2017), les personnages féminins de l’univers imaginaire de Marianna Rothen sont montrés pour la première fois en compagnie d’hommes. Jusqu’à présent, les hommes sont restés décidément absents dans les images de Rothen, mais il semble que dans le débat actuel sur la politique de genre, les droits des femmes et le mouvement Me Too, il est inaliénable de ne pas inclure les hommes dans le (plus grand) tableau. Alors que pendant un siècle un Hollywood dominé par les hommes a souvent décrit les femmes comme des objets et des marchandises, dans le livre de Marianna Rothen, les tableaux ont finalement tourné. Aucun homme par correspondance n’est réel, ce sont tous des mannequins. Comme le titre l’indique, ce sont comme des poupées sexuelles, des objets, des partenaires de vente par correspondance. La protagoniste féminine, jouée par Rothen elle-même, crée son homme parfait et lui fait habiller, poser et réaliser sa virilité comme elle l’exige. En inversant cette dynamique de pouvoir, Rothen montre à quel point les rôles attendus entre les femmes et les hommes et leurs archétypes sont profondément ancrés. » source : loeildelaphotographie