Saint-Valentin, encore des manifestations. Nombreux défilés prévus ce week-end dans les grandes villes de France à l’approche du 14 février pour réclamer plus d’amour. Quelques slogans aperçus sur les pancartes des manifestants :
une famille c’est un papa et une maman qui font l’amour régulièrement
notre petit nid d’amour pour la saint-valentin, notre maison dans le ciel.The Flying Mud Boat is one of a series of experimental structures by the Japanese architect and academic Terunobu Fujimori
la tradition du pull de Saint-Valentin est-elle une faute de goût ? cette tendre attention romantique va t’elle plaire à mon amoureux ? Selon, Ketheryn Babst, notre spécialiste amour et beauté, cette plaisante coutume n’est pas sans risques pour votre couple.
A l’instar du pull moche de noël, la tradition du pull-bite du 14 février s’est rapidement imposée dans nos foyers avides de romance. De nombreux témoignages recueillis en caméra discrète par la cellule investigation de notre confrère « Modes et Travaux » alertent sur les dangers que représente pour les tricoteuses en quête d’une nuit d’amour inoubliable cet ouvrage pour dames, clin d’oeil discret à Cupidon.
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Bonjour bonjour les hirondelles Y’a d’la joie Sur le bois, des sourires pour toi Y a d’la joie Et du soleil dans les ruelles Y a d’la joie Partout y a d’la joie Tout le jour, mon cœur bat, chavire et chancelle C’est l’amour qui vient avec la Saint-Valentin C’est l’amour bonjour, bonjour les demoiselles Y a d’la joie Partout y a d’la joie
paréidolie : phénomène psychologique, impliquant un stimulus (visuel ou auditif) vague et indéterminé, plus ou moins perçu comme reconnaissable, et consistant à identifier une forme familière depuis ce stimuli, dans un paysage, un nuage, de la fumée, une tache d’encre, une voix humaine, des paroles. source : TV5monde
mais t’avais dit qu’on fera des Knacki, dit-elle alors à Sage Szkabarnicki-Stuart
« Sage Szkabarnicki-Stuart est une artiste de 26 ans qui vit dans une région rurale de l’Ontario. Son travail explore les concepts de « chez-soi » et d’appartenance d’un point de vue écologique et fantastique. À travers ses photographies, Sage invite le spectateur à réfléchir sur ses propres relations avec les saucisses de Strasbourg, les Knackis, des objets ou des rituels liés à son identité. Elle est membre de la Workman Arts Organization à Torontoo »
j’adore les films de série Z qui font peur comme « Le jour des Pétain vivants », de Eric A. Zemmouro
résumé : le grand remplacement a commencé, les morts-vivants se sont emparés du monde. Seul un groupe d’humains, composé de militaires et de scientifiques, survit dans un silo à missiles. Deux solutions se présentent : fuir ou tenter de contrôler les zombies. source : Allocine
La génération Z est la génération des personnes nées entre 1914 et 1945. Elle succède à la génération Y et précède la génération Alpha. Elle est définie comme une génération née alors qu’Eric Zemmour était déjà bien installé dans la société. source Wikipedia
Pour en savoir plus sur les idées d’Eric Zemmour, j’ai fait mes propres recherches sur internet et grâce à Google, je suis arrivé sur le site de Génération Z qui expose les idées d’Eric Zemmour : aucune page n’a été trouvée
Pourquoi les fleurs se referment-elles quand le soleil se couche ?
PAR E. CHARTIER
le matin, la fleur ouvre ses pétales. Pourquoi ? Qui ne s’est jamais posé la question ? Même le grand Charles Darwin s’y est intéressé… Une affaire de température, lumière et horloge interne
Chaque soir, les fleurs replient leurs pétales pour ne les rouvrir qu’au petit matin. Ce phénomène, appelé nyctinastie, a fasciné les plus grands savants, au premier rang desquels Charles Darwin, qui y a consacré l’un de ses derniers ouvrages (The Power of Movement in Plants, 1880).
Tout se joue dans des cellules motrices situées à la base du pétale. Sous l’influence des variations de lumière, de température, mais aussi de l’horloge interne, les cellules subissent des modifications de concentration, principalement en ions calcium et potassium.
Ces changements entraînent une modification de la pression osmotique et de la turgescence des cellules : elles se gonflent d’eau. Or, ces variations sont inégales entre les faces supérieure et inférieure des pétales ou des feuilles, ce qui induit la fermeture des corolles. Au matin, le processus inverse permet à la fleur de s’ouvrir à nouveau.
« La confession est un rite individuel : le pénitent avoue ses péchés personnels au Christ qui, en la personne du prêtre, lui accorde son pardon. Le rite du sacrement peut se dérouler de la manière suivante : Le pénitent, à genoux devant le prêtre, fait le signe de Croix :
Au nom du Père et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen. Bénissez-moi, mon Père, parce que j’ai péché.
Le prêtre invite le pénitent à la confiance en Dieu en disant par exemple :
Que le Seigneur vous inspire les paroles justes et les sentiments vrais pour confesser avec contrition vos péchés.
Le pénitent peut alors dire quelques mots de la Sainte Écriture ayant trait à la miséricorde de Dieu et au repentir »
« Utilisant un amalgame de procédures dérivées du formalisme de l’expressionnisme abstrait du XXe siècle, de la peinture rétinienne de l’impressionnisme du XIXe siècle et de la lumière et de la forme objectives du baroque du XVIIe siècle, et synthétisées à travers l’objectif pictural d’un drame shakespearien mis en scène, mon travail cherche à démontrer comment la vie s’étend au-delà de ses propres limites subjectives et raconte souvent des histoires qui illustrent les effets de la prise de conscience culturelle au cours de la seconde moitié du XXe siècle. Une époque qui nous a présenté un nouvel humanisme, avec la révolution sexuelle et avec le mouvement des femmes.
Je veux dire déconstruire les binaires que nous reconstruisons continuellement entre le « Drame » et l’« Usuel », entre le « Moi » et le « Collectif », entre la « Vie » et la « Mort ». En prenant comme sujet des moments extraordinaires mais collectifs de la vie quotidienne, et en sondant le rythme qui articule le flux de moments extraordinaires qui nous sont communs à tous, et en les imprégnant d’une partie de l’esthétique du théâtre en direct, et en le plaçant sur la toile en tant que scène, je tente de séduire le spectateur pour qu’il porte un regard neuf sur la condition humaine.
Je recherche la poésie de l’extraordinaire telle qu’elle est ancrée dans l’ordinaire. Sont choisis et dépeints des moments familiers de notre existence collective qui n’existent que pour ponctuer le drame humain et éclairer notre existence.
« Mère » est très souvent dépeinte dans ces événements extraordinaires comme le héros, la pourvoyeuse de vie, la racine de la civilisation. Elle est notre conscience collective. »