les perles de bain – Seijun Suzuki : The Taisho Trilogy
Cité par de nombreux réalisateurs contemporains tels que Jim Jarmusch, John Woo, ou encore Quentin Tarantino, Seijun Suzuki est un réalisateur japonais incontournable.
La trilogie Taisho marque son retour à la création avec une esthétique et des choix scénaristiques libres et audacieux.
Suite de son licenciement de Nikkatsu pour son film Branded to Kill (1967), il revient en force avec son triptyque de drames surnaturels et énigmatiques, dont l’action se déroule pendant l’ère du Taisho au Japon (1912-26). source : Japon Cinéma
la magie des bombes de bain ou boules effervescentes.
Malgré la destruction de l’URSS, l’Empire Russe maintient son emprise sur l’ex-bloc soviétique et poursuit sans relâche sa lutte contre l’Alliance rebelle. Basés sur la planète glacée du Donbass, les rebelles essuient un assaut des troupes impériales. Apprenant l’arrestation de ses compagnons par les stormtroopers de Dark Poutine après la trahison de Lando, Luke décide d’interrompre son entraînement pour porter secours à ses amis et affronter le sombre seigneur Sith… source : Allociné
la vie des autres – Julio Romero de Torres : Woman praying, 1915
En 1984, à Berlin-Est, l’officier Gerd Wiesler, capitaine de la Stasi, se voit chargé d’une mission de surveillance de l’auteur de théâtre à succès Georg Dreyman. Le dramaturge et sa compagne, l’actrice Christa-Maria Sieland, sont considérés comme des intellectuels soupçonnés d’être hostiles au régime d’Erich Honecker. source : Google
Julio Romero de Torres est un peintre réaliste / symboliste cordouan né le 9 novembre 1874 à Cordoue où il est mort le 10 mai 1930.
Fils du peintre cordouan Rafael Romero Barros, la majorité de son œuvre peint est consacré à des portraits féminins de modèles issus de divers milieux sociaux de Cordoue.
Traités de manière réaliste, ses tableaux dégagent une atmosphère étrange qui les rapprochent des divers courants surréalistes du début du XXe siècle. Ses compositions soignées, poétiques et artificielles, habitées de femmes idéales rappellent les œuvres de Paul Delvaux. source : Wikiart
Mark Merrickberg (The Metavers Man) : I am a human being
Mark Elliot Zuckerberg : Je ne suis pas un robot ! Je suis un être humain ! Je suis… un homme ! (The Facebook Man, 1980, dir. David Lynch) IMDB
« Le métavers est la prochaine évolution des relations sociales. L’objectif de notre entreprise est de promouvoir le métavers, nous changeons notre nom afin d’illustrer notre engagement dans ce futur » source : Meta
Le phénakistiscope est un jouet optique donnant l’illusion du mouvement attribué à la persistance rétinienne. Il a été inventé par le Belge Joseph Plateau en 1832. source Wikipedia
source : Indiana jones theme’d Rube Goldberg machine @enbbigen
Une machine de Rube Goldberg est une machine qui réalise une tâche simple d’une manière délibérément complexe, le plus souvent à l’aide d’une réaction en chaîne. Elle tire son nom du dessinateur américain Rube Goldberg et est proche des engins de William Heath Robinson. source : Wikipedia
Faut pas prendre les canards sauvages pour des avions à réaction
Duck Swimming through Cherry Blossoms / la trajectoire du canard à réaction dans les fleurs de cerisier
Synopsis :
Rita a l’habitude de prendre des pilotes de ligne pour amants. Celui qui est actuellement en titre l’a grugée en ne lui donnant pas sa part dans un partage de lingots d’or. Furieuse, Rita decide de se venger. Elle fait appel a sa tante Léontine, une vieille dame qui a inspiré autrefois la terreur dans le monde de l’aviation. source : Allocine
va chercher – 2001 L’Odyssée de l’Espace, Stanley Kubrick
« En 1968, sort 2001, L’Odyssée de l’espace, de Stanley Kubrick, film qui, des dizaines d’années plus tard demeure toujours aussi fascinant et énigmatique. Rares sont les films qui ont suscité autant d’interrogations, d’analyses, de théories que 2001, qui est par ailleurs considéré par beaucoup de spécialistes comme une œuvre majeure et incontournable du cinéma du 20e siècle. Indémodable, le film n’a pas pris une ride, et continue d’influencer les réalisateurs de films de science-fiction.
« Vous êtes libres de vous interroger autant que vous voulez sur le sens philosophique et allégorique du film », disait Kubrick. Une telle déclaration est une indication qu’il a réussi à amener le public à un niveau avancé de de compréhension, mais aussi d’interrogation, vis-à-vis d’un film monumental, iconique et entré au panthéon des films qui auront marqué le 20e siècle. » source : France Culture
Lucy Honeychurch, en voyage à Florence avec une vieille cousine, tombe amoureuse d’un jeune Anglais, qui comme elle a été témoin d’un meurtre. Mais, elle étant « convenable » et lui pas, elle rompt puis s’impose des fiançailles de convenances avec un autre. Ayant désespéré tour à tour les deux jeunes hommes, malheureuse, elle décide de repartir, pour Athènes cette fois. source : allocine
Éric Laforgue
Eric Laforgue vit depuis une vingtaine d’années à Ivry-sur-Seine.
Il a commencé la photographie en autodidacte après avoir fait des études scientifiques. Un véritable déclic se produit lorsqu’il découvre le travail du photographe Lucien Hervé. Inspirées par la « photo de rue », en particulier celles de Saul Leiter, les influences d’Eric Laforgue sont également cinématographiques et picturales.
Son travail s’interroge principalement sur la place de l’homme dans la ville. Les photos sont prises sur le vif comme autant de séquences extraites d’un film.
Il poursuit également un travail sur le portrait initié par la série « Portraits internes » primée au festival Flash Expo de Vichy .
Ses photographies ont fait l’objet d’articles dans la presse spécialisée (portfolio et interview dans Chasseurs d’images, reportage dans Réponses Photo, Télérama…) et de plusieurs expositions. le site d’Eric Laforgue
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