ma mère me manque – A whale mother and her son
» Les plus désespérés sont les chants les plus beaux,
Le Pélican, ‘Alfred de Musset, paru en 1835 dans le recueil La Nuit de Mai.
Et j’en sais de baleineaux qui sont de purs sanglots. «
ma mère me manque – A whale mother and her son
» Les plus désespérés sont les chants les plus beaux,
Le Pélican, ‘Alfred de Musset, paru en 1835 dans le recueil La Nuit de Mai.
Et j’en sais de baleineaux qui sont de purs sanglots. «
amuse-gueule ou amuse-bouche : mets préparé en éléments de la taille d’une bouchée, pour être consommé froid par les cétacés en dehors des repas comme aliment de grignotage, ou en accompagnement d’un apéritif ou lors d’un cocktail. (Wikipedia)
tags : friture, baleine, cachalot, grossophobie, poisson d’avril
la mer à bout de bras – Volodymyr Tsisaryk : Holding the Ocean (bronze sculpture and aluminum, 2018)
Volodymyr Tsisaryk, né le 3 septembre 1978 à Lviv. Volodymyr est un sculpteur ukrainien bien connu, auteur de monuments dans l’espace public de Lviv, fondateur de son propre atelier de sculpture.
Il expérimente la sculpture classique, les images mythiques et les formes modernes, construisant son propre style de personnages mystiques et de créatures bizarres. source : tsisaryk.com
autres publications bretzel liquide taguées Volodymyr Tsisaryk
l’énergie est notre avenir – Guillermo Muñoz Vera : Amber and Elektron Stories (oil on canvas mounted on panel, 2018)
Guillermo Muñoz Vera est un artiste visuel né en 1956 au Chili.
« Reconnu internationalement comme une figure majeure de la peinture réaliste, Guillermo Muñoz Vera apporte prouesses techniques et précision à un large éventail de sujets, notamment des paysages, des paysages urbains, des natures mortes et des scènes de violence politique et sexuelle. Influencées par une longue tradition de peintres espagnols dont Diego Velázquez , les natures mortes élégantes de Muñoz Vera sont marquées par de subtils jeux d’ombre et de lumière, tandis que d’autres œuvres représentent des scènes historiques basées sur la découverte du Nouveau Monde : navires d’explorateurs en mer, expositions de des objets scientifiques et cartographiques qui reflètent les fondements scientifiques de l’exploration européenne moderne, et des moines et des frères répandant la foi chrétienne qui a fourni le cadre idéologique du colonialisme. » source : Artsy
Un sous–marin plonge et fait surface en remplissant et en vidant ses ballasts. Ces derniers sont totalement remplis en immersion et l’équilibre entre poids du sous–marin et la poussée d’Archimède est recherché. La chasse envoie de l’air en haut des ballasts, cet air pousse l’eau qui s’évacue par le bas. Le sous-marin est alors paré à faire surface. Concrètement, sans vitesse, le sous–marin reste stable en immersion. source : defense.gouv.fr
Le système respiratoire des baleines a pour principale fonction d’effectuer les échanges gazeux dans le corps et de stocker l’oxygène dans le sang pour le distribuer partout dans le corps. L’air se propage dans les alvéoles des poumons, de petits sacs qui se remplissent d’oxygène à chaque respiration.
Certaines adaptations évolutives aident les baleines à respirer plus efficacement dans le milieu marin. Les narines, qu’on appelle évents, se situent sur le dessus de la tête. Certaines espèces en ont une seule; d’autres deux. Une sorte de coussin adipeux, un tissu graisseux, les referme pour empêcher l’eau de s’infiltrer dans le système respiratoire et de l’endommager. L’évent s’ouvre lorsque la baleine est à la surface pour expirer et inspirer l’air en une seule séquence. Grâce à leur évent simple ou double, les baleines peuvent inspirer et expirer à toute vitesse et avec puissance.
L’inspiration et l’expiration sont une action complètement volontaire qui se fait très rapidement. Elles expirent d’abord avant d’inspirer, contrairement à l’humain. La respiration peut se faire en une seule séquence, mais le réapprovisionnement en oxygène ne se fait pas aussi efficacement que si la baleine respire plus d’une fois. Après une longue plongée en apnée, plus de respirations auront lieu avant la prochaine plongée, pour que la baleine puisse reprendre son souffle.
La respiration d’un grand rorqual prend de 1 à 2 secondes seulement. À chaque respiration, les baleines remplacent jusqu’à 90 % de l’air contenu dans leurs poumons (contre 10-15 % pour les humains). Il est expulsé de leurs poumons à grande vitesse par leur évent et crée le souffle, cette haute colonne d’air.
Par Stéphanie Tremblay sur baleinesendirect