et sentir la jubilation de l’algorithme hurlant « tétons ! » comme un gagnant de loto du village à la seconde précise où l’on clique sur « publier » avant que l’aperçu ait été créé, se dire qu’on est stupide d’avoir oublié que la bestiole tétonophobe est rusée et a ses priorités, penser que six jours de blocage de son compte facebook, ce n’est pas si cher payé pour avoir fait un heureux.