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Agence France-Brette attaché de presse purée

il a bougé – chef

il a bougé - chef. Close-up footage reveals Thomas Crooks' shot was perfectly centered on Trump's head. 
Trump’s 'head tilt' to look at a screen graphic and leaning into the microphone saved his life.
The footage was captured just seconds before the shot. 
Source: @C3PMeme

il a bougé – chef

Close-up footage reveals Thomas Crooks’ shot was perfectly centered on Trump’s head.
Trump’s ‘head tilt’ to look at a screen graphic and leaning into the microphone saved his life.
The footage was captured just seconds before the shot.
Source: @C3PMeme

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comprendre les expressions françaises les belles histoires de tonton yves

Ouvrir un livre c’est ouvrir une porte sur le monde

Ouvrir un livre c'est ouvrir une porte sur le monde
Ouvrir un livre c’est ouvrir une porte sur le monde

Ouvrir un livre c’est ouvrir une porte sur le monde

A rare first edition of Margaret Mitchell’s “Gone with the Wind” used to conceal a .32-caliber pistol. September 24, 1941, Phoenix.

tag : j’aime lire

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bretzel surprise

le monde est Glock et ça s’écrit

le monde est Glock et ça s’écrit « GLOCK », mon ennemi

Alain Souchon – J’veux du crime sur youtruc

Le Glock est une série de pistolets semi-automatiques, fabriqués en Autriche par la manufacture d’armes Glock GmbH. Wikipédia

tag : cuir

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Ma (brette) Zèle Tophe !

vieillir chez soi

vieillir chez soi
vieillir chez soi

vieillir chez soi – Jacob Holdt, American Pictures 1970 – 1975

Au début des années 1970, Jacob Holdt quitte son Danemark natal et arrive aux États-Unis avec 40 dollars en poche. Il avait l’intention de traverser le pays en route vers l’Amérique du Sud, mais il a été tellement choqué et fasciné par ce qu’il a vu ici qu’il a décidé de rester un moment. Lorsque sa famille était sceptique quant à la pauvreté qu’il décrivait dans des lettres à la maison, son père a envoyé un appareil photo amateur bon marché, demandant des preuves, et Holdt a commencé à créer ce portrait de l’Amérique et de sa sous-classe.

En fin de compte, il a passé cinq ans comme vagabond, vendant son sang deux fois par semaine et faisant de l’auto-stop sur plus de 100 000 miles. Il s’est lié d’amitié avec celui qui lui proposait de le conduire, et un trajet devenait souvent une offre de rester quelques jours. Il n’a jamais dit non et a finalement visité plus de 350 maisons, où il a photographié les gens avec qui il vivait : familles pauvres, millionnaires, junkies, membres du Ku Klux Klan. Ses images font écho au travail de la WPA, et ont entre autres inspiré Lars Van Trier. Plus récemment, Holdt, qui est né en 1947 à Copenhague, a travaillé dans des pays du tiers monde, documentant la vie de ceux qui vivent dans la pauvreté. source : studioxol.com

Jacob Holdt sur instagram

Comment « vieillir chez soi » ? Derrière cette simple question, d’autres se profilent : celle de l’environnement, logement et voisinage, plus ou moins adaptés et accueillants, et aussi, à cause des handicaps des vieux jours, celle de la fourniture de l’aide et des soins dans cet environnement. On doit donc inévitablement se demander aussi qui finance ces dépenses, et comment. Si le logement conditionne, au moins en partie, le besoin de soin, si la fourniture de soin et ses coûts dépendent de l’environnement, si les inégalités, de santé, de durée de vie et de logement se sont cumulées au cours de la vie, on devine que les interrelations sont multiples.

Dans beaucoup de pays, dont la France, l’assurance maladie n’inclut pas une assurance dépendance (qu’on peut préférer appeler assurance « handicap ») ; cette fameuse distinction entre le sanitaire et le médico-social est en perpétuelle discussion. Quoi qu’il en soit de la prégnance de la distinction, la question du coût du logement, la partie « hébergement » du vieillir sur place, in place, se pose universellement. source : cairn.info

tags : vieille femme au revolver, gérontologie, USA

Emilie Bailhache : Elle semble avoir des pieds minuscules

Inter Brette : Emilie Bailhache c’est souvent le cas chez les femmes qui ont un gros revolver

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psychologie (en partenariat avec spychologie magasine)

je regrette

je regrette. Marianna Rothen
je regrette. Marianna Rothen

je regrette. Marianna Rothen

spectacle et mise en scène de la culpabilité, l’expression publique des remords et sentiments divers après-coup.

Marianna Rothen, l’ancienne mannequin qui photographie la complexité de l’identité féminine.

Marianne rothen s’intéresse à représenter les femmes, à se plonger dans leur univers, ce qui lui permet de révéler leur complexité et de raconter des histoires qui vont au-delà de ce que l’on peut voir à l’œil nu.

L’ancienne mannequin montre généralement dans ses images l’aspect le plus intime de la femme, de sorte que sa beauté physique passe au second plan. Pour la créative, l’important est de pouvoir montrer la complexité de l’identité féminine à travers ses photographies et personne ne le fait mieux qu’elle.

Imparfait, mystérieux, fragile et dans des mondes occupés, c’est ainsi que Rothen capture les femmes. source : fahrenheitmagazine

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Ma (brette) Zèle Tophe !

Bonjour Papa Bonjour Maman

Bonjour Papa Bonjour Maman. Coal miner’s child using a hole in the door to enter a bedroom with a smoking pipe in one hand and a gun in the other in Bertha Hill, West Virginia. Photo by Marion Post Wolcott. 1938
Bonjour Papa Bonjour Maman. Coal miner’s child using a hole in the door to enter a bedroom with a smoking pipe in one hand and a gun in the other in Bertha Hill, West Virginia. Photo by Marion Post Wolcott. 1938

Bonjour Papa Bonjour Maman.

Coal miner’s child using a hole in the door to enter a bedroom with a smoking pipe in one hand and a gun in the other in Bertha Hill, West Virginia. Photo by Marion Post Wolcott. 1938 / enfant de mineur de charbon utilisant un trou dans la porte pour entrer dans une chambre avec une pipe dans une main et une arme à feu dans l’autre à Bertha Hill.

Marion Post Wolcott, née au New Jersey le 7 juin 1910 et morte le 24 novembre 1990,  est une photographe sociale américaine.

Au cours d’un séjour à Vienne, elle rencontre la photographe Trude Fleischmann, achète un appareil photo, et montre ses travaux amateur à Fleischmann qui l’encourage à continuer. Témoin à Vienne, avec sa sœur, d’exactions nazies qui la terrorisent, elle rentre aux États-Unis en urgence. Elle milite dans des mouvements anti-fascistes, et persévère dans la photographie désormais décidée à devenir photographe professionnelle, soutenue par Ralph Steiner et Paul Strand. Elle travaille pour l’Associated Press, comme free-lance pour différents magazines et pour le Philadelphia Evening Bulletin.

Steiner présente ses photographies à Roy Stryker et Marion est embauchée à la Farm Security Administration en 1938. Ses photos montrent les régions rurales du sud-est des États-Unis, mais aussi des aspects plus complexes de la société américaine : les inégalités, les différences de classes sociales, etc source : Wikipedia

tags : chatière, ceci n’est pas une pipe