tous les lundis du monde
groupe de l’école primaire Goede Hoop Marimba Band en Afrique du Sud interprétant les Quatre Saisons de Vivaldi.
vieillir quelque part – WeavingWithAI @GanWeaving UNDERNEATH (we’re all the same) / Maxime Le Forestier
On choisit pas ses parents, on choisit pas sa famille
On choisit pas non plus les trottoirs de Manille
De Paris ou d’Alger pour commencer à décliner
Est-ce que les gens vieillissent égaux en droits
À l’endroit où ils vivent
Que les gens vieillissent pareils ou pas
tag : nul n’échappe au passage du temps
le sourire des fleurs – Surma child, Ethiopia, by Eric Lafforgue
Eric Lafforgue, le site web
autres publications taguées Eric Lafforgue
été – la saison des rencontres
D’après une étude réalisée par Opinionway pour l’application de rencontres Happn, les Français estiment que la période estivale est la plus adaptée pour faire des rencontres et démarrer une relation amoureuse.
Les quelque 1000 personnes de plus de 18 ans interrogées dans l’Hexagone pensent à 82% qu’il est beaucoup plus facile de rentrer dans un jeu de séduction pendant cette saison.
Mais à proportion égale, ils doutent que la personne rencontrée l’été puisse devenir l’homme ou la femme de leur vie. Pour un quart d’entre eux, en été, ne naissent que des amourettes sans lendemain.
Si l’été à la cote auprès des séducteurs, c’est parce que, pour un tiers d’entre eux, le stress retombe. 27% des personnes sondées pensent par ailleurs pouvoir consacrer plus de temps au flirt pendant cette période qui rime avec vacances. D’ailleurs, pour une majorité des Français, les discothèques, les plages et les marigots sont les lieux privilégiés pour ces rencontres. source : ladepeche.fr
tags : éléphant, antilope volante, point d’eau, saison des amours, coup de foudre pour une gazelle
celles du désert – Adut Akech Bior appears as a magical creature, composed of human features that enchant and mystify in the MissoniFW19 Campaign.
Adut Akech Bior, née le 25 décembre 1999, est une mannequin australienne d’origine sud-soudanaise, dont la famille s’est réfugiée en Australie. Depuis 2018, elle est devenue l’un des mannequins les plus demandés sur les podiums de mode. Wikipédia
tag : rose des sables
celle qui n’écoutait pas – Francois Cauvin : secrets
Mon art prend racine dans le vaudou, qui est l’héritage africain de la culture haïtienne. Mon travail est essentiellement symbolique. Les deux thèmes principaux, que je peins depuis toujours, sont la représentation de la femme noire et la représentation de la nature, développée selon la symbolique vaudou, liant ces deux sujets interdépendants.
Ces thèmes sont abordés de deux manières : dans l’interprétation de l’archétype ou par la matérialisation des dieux et des déesses incarnés dans un commun des mortels.
Depuis de nombreuses années maintenant, la peinture acrylique s’est imposée comme le médium principal de mon travail. J’utilise habituellement une pâte lisse, lumineuse sur un fond assombri où se révèlent mes différents personnages, divinités d’Afrique et de Mère Nature, émergeant des eaux primordiales.
François Cauvin
tag : ange gardien
nous serons toi et moi les plus grands pétroglyphes du monde.
Le jour où la pluie viendra
Gilbert Bécaud
Nous serons, toi et moi
Les plus riches du monde
Les girafes de Dabous sont des gravures rupestres datées du Néolithique, situées du côté ouest du massif de l’Aïr, dans le centre du Niger.
L’une des girafes est un mâle, tandis que l’autre, plus petite, est une femelle. Ce sont les plus grands pétroglyphes d’animaux connus au monde. Wikipedia
tag : archéologie
vue de l’esprit – Fabrice Monteiro, Holy 2
La très grande diversité des religions en Afrique est méconnue aujourd’hui du grand public. C’est de ce constat qu’est né l’idée de l’exposition « Afrique, les religions de l’extase » qui a ouvert ses portes le 3 juin 2022 à l’abbaye de Daoulas (Finistère). Car nombre de pratiques cultuelles africaines, pratiquées également dans les Amériques et en Europe par les diasporas, vise à atteindre l’extase : soit une expérience des croyants qui consiste à accueillir en eux le divin, à sortir de soi et du monde, en passant bien souvent par des expériences de transe et d’altération de la conscience. « Le point commun des pratiques présentées, c’est la forme extatique, qu’elle soit obtenue par les prières, le jeûne ou l’alcool, explique l’anthropologue belge Boris Wastiau, commissaire de l’exposition inspirée de son travail de thèse mené dans les années 1990 et au début des années 2000. Elle est très majoritairement présente dans les religions africaines, y compris chrétiennes. Cela demeure contemporain et est désormais pratiqué un peu partout dans le monde ». source : sciencesetavenir.fr
tags : nonne, Douala