Un cheval à bascule (/ʃə.val a bas.kyl/) est un jouet pour les enfants, dont la forme imite un cheval. Il apparaît sous sa forme actuelle au xviie siècle et devient réellement populaire pendant les deux siècles suivants, tout particulièrement en Angleterre. Grâce à la révolution industrielle, la production de chevaux à bascule à grande échelle devient courante dans les années 1840. Dans les campagnes, ces jouets sont longtemps fabriqués de manière artisanale, jusqu’au milieu du xxe siècle. source : Wikipedia
« La cité elle-même, on doit l’avouer, est laide. D’aspect tranquille, il faut quelque temps pour apercevoir ce qui la rend différente de tant d’autres villes commerçantes, sous toutes les latitudes. Comment faire imaginer, par exemple, une ville sans pigeons, sans arbres et sans jardins, où l’on ne rencontre ni battements d’ailes ni froissements de feuilles, un lieu neutre pour tout dire ?
Le changement des saisons ne s’y lit que dans le ciel. Le printemps s’annonce seulement par la qualité de l’air ou par les corbeilles de fleurs que de petits vendeurs ramènent des banlieues ; c’est un printemps qu’on vend sur les marchés. Pendant l’été, le soleil incendie les maisons trop sèches et couvre les murs d’une cendre grise ; on ne peut plus vivre alors que dans l’ombre des volets clos. En automne, c’est, au contraire, un déluge de boue. Les beaux jours viennent seulement en hiver. »
Sus domesticus est une sous-espèce de mammifères domestiques omnivores de la famille des Porcins, ou Suidés. Appelé porc (du latin porcus) ou cochon ou encore cochon domestique, il est resté proche du sanglier avec lequel il peut se croiser. (Wikipedia)
Face à cette flambée des prix, certains automobilistes changent leurs habitudes. Ainsi à Marseille, à la station service de l’hypermarché Grand Littoral, même si les prix sont encore contenus autour d’1,70 euro le litre, le passage à la pompe s’apparente à une torture. « On a les larmes aux yeux« , décrit Bruno, qui ne se sert plus de sa voiture que pour le travail et avoue limiter ses autres déplacements. Il fait le compte : « c’est 40 euros pour 25 litres ! Je vais à Martigues deux fois, je reviens et j’ai plus rien« . Laurent applique la même technique : « d’habitude je fais le plein, là je ne mets que 30 euros« , tandis qu’Edwige, son épouse, consulte une application qui signale les stations service les moins chères, « mais ce n’est pas toujours à jour« .
« Je mets dix euros, sinon je ne parviens pas à finir le mois. »
solidarité, ma soeur – Vladimir Bazan, Louvre. Paris
Vladimir Bazan est né en 1953 en Russie. Trois ans plus tard, ses parents ont déménagé au Bélarus. Dès ce moment, sa vie et son destin seront indissolublement liés à Vitebsk. A l’âge de dix ans, il prend en main un appareil photo pour la première fois. Un petit événement dans la vie d’un enfant ? Mais il est devenu un signe. La carrière de BAZAN a commencé par un emploi de photographe dans une école de gymnastique sportive. En 1978, Uladzimir a terminé ses études à la Faculté d’Art Graphique de l’Institut Pédagogique. Ensuite, il a travaillé de nouveau comme photographe dans une usine de cartonnage et de polygraphie. Depuis 1980, il était photographe correspondant dans un journal à fort tirage « Constructeur », et collaborait avec les éditions républicaines et des éditions de toute l’URSS. En parallèle, Uladzimir BAZAN prend d’assaut les sommets photographiques. Il participe aux expositions photographiques : « Venus » (Cracovie), « Homme et temps » (URSS), « Infoskanbaltik » (Rostok), « Photorire » (Gabrovo), «Santé pour tout le monde » (Genève), « Génération » (Paris), Word Press Photo, « Comment tu vis l’homme » (Vilnius). source : Vladimir Bazan
journée internationale – Marco van Duyvendijk, Oana, 13 ans, Roumanie
S’il y a une chose qui distingue la photographie de Marco van Duyvendijk, c’est son utilisation flamboyante de la couleur. L’Europe de l’Est terne et grise ? Les steppes vides de Mongolie, nues et sans couleur ? Pas vu à travers le viseur de Van Duyvendijk ! Le photographe nous emmène vers l’est avec lui lors de ses voyages pour enregistrer un monde inattendu : le paysage déchiré par la guerre du Haut-Karabakh, les villes fascinantes de Chine, mais surtout les âmes des pays qu’il visite, exprimées dans ses portraits de visages. dans lequel les mondes antiques affrontent l’ère moderne. source : fotomuseumdenhaag.nl
prête pour le 8 mars ? Frank Horvat, 1976, Bahamas, for Glamour USA, illustration for exercise
Francesco Horvat dit Frank Horvat est un photographe français d’origine italienne, né le 28 avril 1928 à Abbazia et mort le 21 octobre 2020 à Boulogne-Billancourt. Sa rencontre avec Henri Cartier-Bresson en 1950 est déterminante pour la suite de son travail. source : Wikipedia
C’est en 1982, sous l’impulsion d’Yvette Roudy, ministre déléguée aux droits des femmes, que la France reconnaît le 8 mars comme Journée internationale des droits des femmes. source : vie-publique.fr
autres publications bretzel liquide taguées Frank Horvat
8 mars : la femme est un sapeur-pompier comme les autres
L’univers des sapeurs-pompiers est large. Plusieurs métiers et statuts existent. Pour vous y retrouver, nous vous proposons de répondre aux questions suivantes : Comment devenir volontaire (SPV), professionnel (SPP), militaire ou encore jeune (JSP) ? Comment intégrer le service de santé et de secours médical (SSSM) ou les métiers de la sûreté ? lire sur pompiers.fr
Le 8 mars est une journée de sensibilisation et de mobilisation des élèves des écoles, collèges et lycées pour les droits des femmes et l’égalité entre les filles et les garçons. source : education.gouv.fr
La pole dance (anglicisme parfois traduit par l’expression danse à la barre verticale) est une discipline qui mêle danse et acrobaties autour d’une barre (Wikipedia)
c’est donc toi le chevreau de dieu qui enlève le péché du monde
Évangile selon saint Jean 1, 29-34
En ce temps-là, voyant Jésus venir vers lui, Jean le Baptiste déclara : « Voici l’Agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde ; c’est de lui que j’ai dit : L’homme qui vient derrière moi est passé devant moi, car avant moi il était. Et moi, je ne le connaissais pas ; mais, si je suis venu baptiser dans l’eau, c’est pour qu’il soit manifesté à Israël. » Alors Jean rendit ce témoignage : « J’ai vu l’Esprit descendre du ciel comme une colombe et il demeura sur lui. Et moi, je ne le connaissais pas, mais celui qui m’a envoyé baptiser dans l’eau m’a dit : ‘Celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et demeurer, celui-là baptise dans l’Esprit Saint.’ Moi, j’ai vu, et je rends témoignage : c’est lui le Fils de Dieu. » source : regnumchristi