Je prendrai juste un sucre gorge
je vous demande de vous arrêter
Edouard Balladur
source : INA
tags : petit leader de droite trop mignon, petit ours, jeu d’eau
il y a deux ans : Collapsologie : l’effondrement de la civilisation
depuis son AVC maître Yoda beaucoup changé avait
Charles Burns
5 idées recettes pour cuisiner la cervelle
Encyclopedia Britannica Films The Human Brain, 1955
Riche en protéines, vitamines, phosphore et minéraux, le cerveau est un abat intéressant à cuisiner. La dénomination “cervelle” est utilisée pour les cerveaux en boucherie. Visuellement la cervelle est une viande blanche. En bouche, elle a une saveur douce et une texture fondante et dense, c’est ce qui en fait un ingrédient de choix qui se prête à de nombreuses recettes. source : femme actuelle
on a tous besoin d'(une voiture pour) être aimés.
Serge Clerc (site web)
balance ton swing
balance ton swing
The House of Automata : Pig playing the Trombone. c1890. Paris. An exacting restoration of this musical automaton made by Roullet & Decamps
tags : jazz, à vos trombones les porcs, jouer comme un cochon
en garde
en garde
Vee Speers – Bordello series, 2002
tag : surgie de la nuit
alt : assise sur un escalier sombre, une femme nue au masque de velours noir se tient dans une posture dont on ne sait si elle est de défense ou de préparation au combat
Nosferatu – fantôme de la nuit
Bill Sienkiewicz
Boleslav Felix Robert Sienkiewicz, né le 3 mai 1958 à Blakely en Pennsylvanie, aux États-Unis, connu sous le nom de Bill Sienkiewicz, est un illustrateur de bande dessinée rendu particulièrement célèbre pour son travail sur la série Elektra: Assassin avec le scénariste Frank Miller. Wikipédia
n’en aurons nous donc jamais fini avec le nazisme ?
tags : pas de l’oie, extrême droite, le nostalgique de service dans la basse-cour politique, question subsidiaire : les militants d’extrême droite ont-ils des genoux ?
les légions de sinistre mémoire : L214 : Canards Wars, épisode V : Les canards contre-attaquent
titre pour « c’est une pie, enculé » : mon dieu, c’est Klaus Barpie !
le concierge est dans l’escalier
le concierge est dans l’escalier
la plupart du temps – et depuis toujours – je somnole douillettement au fond de moi. le pilote automatique gère très bien mes déplacements, même s’ils semblent parfois réalisés par George A. Romero. être en prise directe avec la réalité me tente à peu près autant que de mettre mes doigts mouillés dans une prise électrique.
cela ne pose pas de souci sur les réseaux sociaux, où il est tout à fait admissible de répondre à un commentaire le lendemain.
dans la vraie vie, il n’en va pas tout à fait de même.
lorsque quelqu’un m’adresse la parole, par exemple, le système de guidage oriente mon visage vers l’interlocuteur et envoie un message non prioritaire à l’administration, signalant qu’une réponse est attendue au guichet n°3 où je présente pour l’instant mon visage avec cet air ahuri qui plaît tant aux dames. réactivité : nulle. sens de la répartie : zéro. quand, deux ou trois jours après, je réponds à la question, certains ont du mal à rétablir le fil.
en cas d’agression, le veilleur de nuit prend sa lampe tempête et descend les escaliers, aussi vite que son arthrose le lui permet, pour venir en personne m’alerter : « vous êtes l’objet d’une attaque, une réaction serait la bienvenue ! ». je rassemble alors toute mon énergie (il paraît que je deviens blanc de colère) et remonte quatre à quatre les escaliers jusqu’à la surface. quand j’arrive, prêt à détruire tout ce qui se mettra en travers de mon chemin, la plupart du temps, l’agresseur est déjà loin, ne restent que les témoins me regardant bizarrement.
plusieurs années durant, les miettes de cet évènement m’agaceront dans ma couche, en mon royaume intérieur.