Robert Indiana On top of his original LOVE sculpture, 1970
Robert Indiana, l’une des figures prééminentes de l’art américain depuis les années 1960, a joué un rôle central dans le développement de l’art d’assemblage, de la peinture hard edge et du Pop art. Autoproclamée « peinture américaine des signes », Indiana a créé un ensemble d’œuvres très originales qui explorent l’identité américaine, l’histoire personnelle et le pouvoir de l’abstraction et du langage, établissant un héritage important qui résonne dans le travail de nombreux artistes contemporains qui font le l’écrit un élément central de leur œuvre.
Robert Indiana est né Robert Clark à New Castle, Indiana, le 13 septembre 1928. source : Robert Indiana
Le ski de pente raide, ou ski extrême, est une discipline du ski qui conjugue alpinisme et ski de montagne et se pratique dans un couloir ou sur une pente, généralement au départ d’un sommet que l’on atteint après une ascension à pied et/ou à ski en mettant parfois en œuvre du matériel d’alpinisme (piolets, crampons, cordes). Les pentes sont définies par leur raideur, sans que l’on puisse fixer un seuil exact au-delà duquel une pente est considérée comme raide. La qualification d’une pente raide dépend de son inclinaison, en général supérieure ou égale à 50° sur certaines portions, mais aussi de sa longueur, de son engagement (éloignement, possibilités d’échappatoires ou secours) et de son exposition aux dangers (forte probabilité de mort en cas de chute, risque d’avalanche ou chute de sérac).
Le ski de pente raide, discipline extrême historique, est parfois confondu avec le ski freeride, une pratique du ski alpin hors-piste.
L’eau n’est pas nécessaire à la vie – elle est la vie
Flavio Tavares / Antoine de Saint-Exupéry
Flávio Roberto Tavares de Melo
est né à João Pessoa, Paraíba, Brésil, le 15 février 1950, fils et petit-fils d’artistes.
« Flávio Tavares fait partie des artistes les plus importants du nord-est du Brésil et il jouit d’une confortable réputation parmi les artistes figuratifs brésiliens de sa génération. » Jacob Klintowitz , critique d’art. site de Flavio Tavares
l’eau source de vie
De l’apparition de la vie sur Terre aux branchies que porte l’embryon humain jusqu’à 7 semaines, tout ce qui existe est lié à l’eau. Et à son mystère.
Antoine de Saint-Exupéry a résumé en une phrase l’essence même de l’eau : elle est à la fois le creuset originel et l’élément primordial de la vie. C’est dans l’eau des océans primitifs, il y a plus de 4 milliards d’années, que sont apparus les premiers micro-organismes qui, évoluant au fil du temps, ont essaimé et colonisé notre petite planète : un désert inerte à ce moment-là. source : science-et-vie
Bucharest/Fine Art Institute ”N.Grigorescu,” Romania, an audiovisual artist, photographer and director. The first leaders of the postavangarde group Cerculdisparut / Vanishedcircle with Ivan Andreevici : Artnif
pleine lune – Lucian Bernhard (German, 1883-1972) : Moonstruck, 1968
Emil Kahn,
dit Lucian Bernhard (parfois Lucien Bernhard), né le 15 mars 1883 à Cannstatt, (Allemagne), mort le 29 mai 1972 (à 89 ans) à New York, est un graphiste, affichiste, créateur de caractères, architecte d’intérieur, professeur allemand et astronome amateur.
Né dans une famille juive,
Emil Kahn étudie à l’académie des arts de Munich. En 1901, il se rend à Berlin pour travailler auprès d’Ernst Gowold — le directeur de la plus grande agence de « proto- publicité » d’alors — pour l’imprimerie d’affiches Hollerbaum & Schmidt. Il réalise des affiches pour des sociétés importantes comme Stiller (chaussures), Pelikan, Manoli, Kaffee Hag, Bosch, Faber-Castell. Il prend alors le pseudonyme de Lucian Bernhard sous lequel il est universellement connu.
En 1911, il crée le magazine Plakat
(« Affiche »), qui deviendra plus tard Gebrauchsgrafik.
De 1910 à 1920, il est directeur artistique de la société Deutschen Werkstätter Hollerau, qui produit des meubles, des tapis et des luminaires.
Il est le créateur du Plakatstile, ou « style affiche », caractérisé par un dessin simple, des couleurs en aplat. Il crée des polices caractéristiques de sa personnalité, d’abord avec la Bernhard Antique pour la fonderie Flisch de Francfort (1913), puis une production abondante après la guerre pour la fonderie Bauer.
En 1923, il est nommé professeur en art publicitaire au Unterrichtsanstalt des Kunstgewerbemuseums de Berlin, l’équivalent de l’école des Arts décoratifs de Paris.
En 1925, il fait une tournée de conférences aux États-Unis.
Il n’obtient pas un grand succès et ne réussit pas à convaincre les directeurs artistiques de l’intérêt d’apporter un graphisme novateur, alors même qu’en Allemagne le Bauhaus fait ses premiers pas. Néanmoins, séduit par New York, il décide alors de s’y installer définitivement. Sa famille le rejoint. Il ouvre l’atelier de design Bernhard-Rosen. Son style n’attire pas les clients américains et il travaille essentiellement dans l’architecture d’intérieur. Il a réalisé de nouvelles polices pour la fonderie britannique Stephenson Blake.
Après la Seconde Guerre mondiale il se consacre, jusqu’à sa mort en 1972, à la peinture.
Il est déconseillé de mélanger le blanc et les couleurs, et ses fluides en général, car les tissus sombres ou de couleurs vives peuvent dégorger et colorer de façon permanente votre linge blanc, même à l’eau froide ou avec des sentiments tièdes. source : nos conseils de lessive pour la saint-valentin, Wikipedia
Valérie Pécresse au Zénith : une épreuve difficile
D’après l’auteur de la vidéo, cette grenouille malade est en cours de sauvetage.
« Mais enfin, vous ne voyez pas que cette femme souffre ? » déclare Xavier Bertrand
« On aurait dit Le Cid joué par une élève de 6ème », juge cruellement un élu LR.
Le premier grand raout de campagne de la candidate des Républicains a déçu les cadres du parti qui s’inquiètent des futurs sondages.
Pour le meeting qui devait relancer la campagne de Valérie Pécresse, après des mauvais sondages, les propos de Nicolas Sarkozy et la défection d’Éric Woerth, c’est raté. Les cadres du parti, pour la plupart présents au premier rang au Zénith de Paris, la prestation de la candidate de la droite n’était pas au niveau.
« Mais qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce qui se passe ? » s’est demandée à haute voix sa conseillère internationale. « Accélère Valérie, accélère », l’a exhortée à distance depuis la salle Hervé Morin, le patron des Centristes.
La patronne de la Région Île -de-France a semblé mal à l’aise au début de ce grand raout, enchaînant les silences, gênée par les « Valérie présidente », que lancaient les Jeunes Républicains.
« C’était un naufrage. On a voulu lui faire faire un exercice qu’elle ne sait pas faire. Il aurait fallu la faire marcher sur scène, qu’elle dise dès le début ‘je ne suis pas une grande oratrice’… là, ce n’est juste pas possible », confie encore un ténor des Républicains.