Faut pas prendre les canards sauvages pour des avions à réaction
Duck Swimming through Cherry Blossoms / la trajectoire du canard à réaction dans les fleurs de cerisier
Synopsis :
Rita a l’habitude de prendre des pilotes de ligne pour amants. Celui qui est actuellement en titre l’a grugée en ne lui donnant pas sa part dans un partage de lingots d’or. Furieuse, Rita decide de se venger. Elle fait appel a sa tante Léontine, une vieille dame qui a inspiré autrefois la terreur dans le monde de l’aviation. source : Allocine
« C’est finalement la proposition A « Ramons de toutes nos forces à contre-courant avant qu’il ne soit trop tard » qui l’emporte par 4 voix contre 2 et 1 abstention. »
« Voutch, de son vrai nom Olivier Vouktchevitch, est un dessinateur d’humour français né à Courbevoie en 1958. Il se fait parfois appeler Olivier Chapougnot.
Après des études de dessin publicitaire à Paris, et avoir travaillé de nombreuses années dans des agences de publicité, il se lance dans le dessin humoristique en 1995 et publie ses premiers dessins dans les magazines Lui, Télérama, Lire, Le Point, Playboy, Psychologies et Madame Figaro.
Voutch connait bien les travers du monde de l’entreprise et de la communication pour y avoir travaillé comme directeur artistique dans la publicité (et avoir été licencié, moment vécu par lui comme « une libération »).
Dans la ligne de Sempé (« un de mes pères »), Voutch commence par l’idée avant de trouver l’illustration à la gouache pour laquelle ses talents de coloriste sont reconnus. L’usage du pinceau sur des dessins au format « magazine » (ses clients) a d’ailleurs influencé le trait caractéristique : personnages au nez épais et corps en longueur, souvent situés dans une salle de réunion (car permettant la phrase absurde — solennellement énoncée par le personnage — écrite en bas du dessin). À la manière de Sempé, Voutch place souvent ses personnages dans de grands décors dont ils ne sont pas nécessairement l’élément central. Il en découle une impression de vacuité et d’écrasement qui fait écho aux sentiments de solitude ou de petitesse éprouvés par les personnages ou, inversement, qui souligne par contraste la futilité de leurs propos. » source : Wikipedia
dit Candide à Pangloss à la fin du célèbre conte philosophique Candide ou l’Optimiste ; Voltaire précise que le jardin d’Eden n’a pas été créé pour que l’homme trouve le repos mais pour qu’il y travaille, qu’il exerce son talent. source : vivelaculture
Ana Mendieta, untitled, grass on woman, 1972
« Ana Mendieta, (La Havane, 1948-New York, 1985), artiste cubano-américaine reconnue internationalement, est considérée comme l’une des artistes les plus prolifiques et novatrices de la période de l’après-guerre. Les expositions qui lui ont été récemment consacrées en Europe (Berlin, Londres, Prague, Salzbourg, Turin et Umeå) ont mis en lumière la puissance de sa vision artistique tout autant que l’influence qu’elle a exercée sur les générations d’artistes lui ayant succédé, une œuvre dont le retentissement sur le public de tous âges et de toutes origines ne se dément pas.
Au cours de sa brève carrière, de 1971 à 1985, Ana Mendieta produit un ensemble remarquable d’œuvres : dessins, installations, performances, photographies et sculptures, mais aussi films. Son travail filmique, moins connu, n’en constitue pas moins un corpus d’œuvres particulièrement impressionnant et prolifique : les 104 films qu’elle a réalisés de 1971 à 1981 lui ont conféré le statut de figure incontournable dans le domaine des arts visuels pluridisciplinaires qui a émergé au cours des années 1970 et 1980.
S’appuyant sur des travaux de recherche inédits, l’exposition du Jeu de Paume replace les films de l’artiste de la périphérie au centre de son travail. Elle s’articule autour des thèmes récurrents qu’ils explorent – la mémoire, l’histoire, la culture, le rituel et le passage du temps –, souvent évoqués au travers de la relation du corps et de la terre. Majoritairement tournés dans un environnement naturel, ils font la part belle à son intérêt pour les quatre éléments, la terre, l’eau, l’air et le feu. » source : Jeu de Paume
va chercher – 2001 L’Odyssée de l’Espace, Stanley Kubrick
« En 1968, sort 2001, L’Odyssée de l’espace, de Stanley Kubrick, film qui, des dizaines d’années plus tard demeure toujours aussi fascinant et énigmatique. Rares sont les films qui ont suscité autant d’interrogations, d’analyses, de théories que 2001, qui est par ailleurs considéré par beaucoup de spécialistes comme une œuvre majeure et incontournable du cinéma du 20e siècle. Indémodable, le film n’a pas pris une ride, et continue d’influencer les réalisateurs de films de science-fiction.
« Vous êtes libres de vous interroger autant que vous voulez sur le sens philosophique et allégorique du film », disait Kubrick. Une telle déclaration est une indication qu’il a réussi à amener le public à un niveau avancé de de compréhension, mais aussi d’interrogation, vis-à-vis d’un film monumental, iconique et entré au panthéon des films qui auront marqué le 20e siècle. » source : France Culture
chaque jour je pense à toi – Pattern recognition, Lee Wagstaff
ça fait deux minutes trente cinq de bonheur Sylvie Vartan (1967)
« Un thème récurrent dans mon travail est le modèle, je suis attiré par des modèles qui prédisent et peut-être défient l’ordre cosmique. »
Lee Wagstaff est un artiste primé basé en Allemagne dont les peintures ont été largement exposées au Japon, en Autriche, en Suisse, au Canada, au Royaume-Uni, aux États-Unis, au Costa Rica et en Allemagne. Lorsqu’il crée, Wagstaff se demande s’il est encore possible de créer des images et des objets qui incarnent des idées de foi, de beauté et de vérité. Il décrit son art comme ambigu et comme une collaboration avec le spectateur. source : Singulart
Une paillette d’or est un disque minuscule en métal doré, percé d’un trou. Mince et légère, elle peut flotter sur l’eau. Il en reste quelquefois une ou deux accrochées dans les boucles d’un acrobate. Cet amour — mais presque désespéré, mais chargé de tendresse — que tu dois montrer à ton fil, il aura autant de force qu’en montre le fil de fer pour te porter. Je connais les objets, leur malignité, leur cruauté, leur gratitude aussi. Le fil était mort — ou si tu veux muet, aveugle — te voici : il va vivre et parler
« Le funambule est écrit au printemps 1957, il est dédié à Abdallah Bentaga funambule et compagnon de Jean Genet, rencontré à la fin de l’année 1956. Ce texte, parmi quelques autres, symbolise un retour à la lumière et à l’écriture pour Genet, un changement de style. On ne peut que penser à la crise qu’il vient de traverser quelques années auparavant et durant laquelle il abandonna l’écriture, quand il explique à la fin du funambule : « c’est un des plus émouvants mystères que celui-là : après une période brillante, tout artiste aura traversé une désespérante contrée, risquant de perdre sa raison et sa maîtrise. S’il sort vainqueur… »
Ce texte s’inscrit donc clairement dans une seconde phase d’écriture pour Genet. La première se situe entre 1941 et 1950 et correspond aux romans (Notre-dame-des-fleurs, Le journal du voleur, Le miracle de la rose, Querelle de Brest…) et aux premières pièces (Les Bonnes et Haute Surveillance). La seconde, elle, se situe environ entre 1955 et 1961 et correspond aux textes dédiés à des artistes (Le funambule, Giacometti, Rembrandt…) et aux grandes pièces (Le Balcon, Les Nègres et Les Paravents).
Entre ces deux phases, Genet aura traversé une crise artistique et personnelle intense, que l’on fait souvent correspondre à la parution du livre de Jean-Paul Sartre : Saint-Genet, comédien et martyr. Un ouvrage impressionnant par l’érudition et la profondeur d’analyse dont fait preuve son auteur, qui au fil de ses 700 pages tente d’examiner à la loupe le cas Genet. Ce livre écrit par le plus célèbre philosophe de l’époque aurait alors tourmenté et complètement annihilé ce jeune écrivain, rapidement qualifié de génie par une partie du milieu littéraire de cette même époque » texte : Cédric Gourmelon, theatre-contemporain.net
l’énergie est notre avenir – Guillermo Muñoz Vera : Amber and Elektron Stories (oil on canvas mounted on panel, 2018)
Guillermo Muñoz Vera est un artiste visuel né en 1956 au Chili.
« Reconnu internationalement comme une figure majeure de la peinture réaliste, Guillermo Muñoz Vera apporte prouesses techniques et précision à un large éventail de sujets, notamment des paysages, des paysages urbains, des natures mortes et des scènes de violence politique et sexuelle. Influencées par une longue tradition de peintres espagnols dont Diego Velázquez , les natures mortes élégantes de Muñoz Vera sont marquées par de subtils jeux d’ombre et de lumière, tandis que d’autres œuvres représentent des scènes historiques basées sur la découverte du Nouveau Monde : navires d’explorateurs en mer, expositions de des objets scientifiques et cartographiques qui reflètent les fondements scientifiques de l’exploration européenne moderne, et des moines et des frères répandant la foi chrétienne qui a fourni le cadre idéologique du colonialisme. » source : Artsy
La cage thoracique est la structure osseuse du thorax, situé au niveau de la poitrine. Elle protège les organes internes comme les poumons ou le cœur. Elle est composée de cinq types d’os. La colonne vertébrale, aussi appelée rachis, est une ligne verticale osseuse située dans le dos. source : Google
soldes. dernière démarque sur les barons de la droite. tout doit disparaître
« Son projet est le meilleur », Édouard Balladur apporte officiellement son soutien à Valérie Pécresse pour la présidentielle de 2022. source BFMTV en partenariat avec BZLTV