si tu ne sais pas pour qui voter bouge tes oreilles -Stan Laurel, Laurel and Hardy, ear wiggling
tags : indécision, liberté d’expression, élections, droit de vote, opinion
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silence dans l’auditoire cria le lapin blanc- Ahmed Saber : Woman & Rabbit (charcoal on paper, 2020)
Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles, Traduction par Henri Bué.
Macmillan, 1869.
Ahmed Saber est un artiste égyptien basé à Louxor en Haute-Égypte, où il a obtenu son BFA avec mention en graphisme et gravure de la South Valley University.
Ses délicates aquarelles et gravures sur bois révèlent de dures réalités dans les mondes qu’il crée et sont riches de symbolisme. Il y a un bord de subversion politique, parfois ludique et humoristique, et d’autres fois, sombre et sombre. Sa participation active aux salons annuels des jeunes et ses expositions dans toute l’Égypte lui ont valu de nombreux prix à ce jour.
Il enseigne actuellement à la Faculté des Beaux-Arts de Louxor. Je voudrais dessiner avec des matériaux secs tels que le fusain au crayon pastel et aussi dessiner à l’aquarelle et à l’encre. « Je suis Giorgio de Chirico et Carlo Carra dans le travail d’art métaphysique. Dans mon travail d’art, j’utilise des symboles légendaires et des objets métaphysiques. Mon travail a beaucoup de détails … vous voyez de nombreux objets encombrés. » source : artsper.com
Réveille le poisson qui est en toi – Alfons Mazurkiewicz, Head with a Fish ,1955
Alfons Mazurkiewicz (né le 19 décembre 1922 à Düsseldorf en tant que fils d’immigrés polonais, mort le 20 octobre 1975 à Wrocław ) – Peintre contemporain polonais et conférencier universitaire.
Il crée des paysages, des natures mortes, des portraits dans la convention du surréalisme , restant sous l’influence des œuvres de Paul Klee et de Joan Miró . Plus tard dans sa carrière artistique, il se tourne vers l’art abstrait , se concentrant sur l’idée de créer une image uniforme et vers la peinture conceptuelle . Il est l’auteur du concept de « duo-plasticisme » développé depuis de nombreuses années (1958), finalisé dans les années 1970 sous la forme du soi-disant « Duo-images ». source : Wikipedia
à tes pieds – Saul Leiter : Barbara (or Margaret), 1955
Saul Leiter « Je n’ai pas de philosophie. J’ai un appareil photo. Je regarde dans le viseur et je prends des photos. Elles sont des fragments de possibilités infinies (…) Il me semble que des choses mystérieuses peuvent prendre place dans des lieux familiers (…) Il est fort possible que mon travail représente une recherche de la beauté dans les endroits les plus prosaïques et ordinaires.«
« Une touche de confusion est un ingrédient souhaitable. J’aime quand on n’est pas certain de ce que l’on voit. Nous ne savons pas pourquoi le photographe a pris une telle image. Si nous regardons et regardons encore, nous commençons à voir et nous retrouvons avec le plaisir de l’incertitude (…) ce n’est pas où cela est, ou ce qui se passe, mais comment vous le voyez.«
tempscontraires.com
autres publications bretzel liquide taguées Saul Leiter
bonjour la forêt – Unknown, From Wake Forest’s 1991 yearbook
debout les humains
tag : dans sa maison un grand cerf
Par les soirs bleus d’été – Edward Hopper : soir bleu, 1914
Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers,
Picoté par les blés, fouler l’herbe menue :
Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue.
Je ne parlerai pas, je ne penserai rien :
Mais l’amour infini me montera dans l’âme,
Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien,
Par la Nature, – heureux comme avec une femme.
Mars 1870
Réalisé à 32 ans, peu après son retour d’Europe, ce tableau très ambitieux représentait, dans l’esprit de Hopper, un manifeste esthétique, la synthèse des influences reçues :
Les critiques américains restèrent hermétiques à cette esthétique jugée trop datée et européenne, et se limitèrent à une lecture moraliste : alcool et cocottes, un condensé de la décadence parisienne, comparé à la vitalité et au modernisme américain.
Stoppé net par cette incompréhension, Hopper roula le tableau dans un coin de son atelier et n’en dit plus un mot jusqu’à sa mort.
La scène se situe sur la terrasse du parc de Saint Cloud, où Hopper allait souvent, et qui surplombe la vallée de la Seine : d’où la balustrade à l’arrière.
Le format, exactement deux fois plus large que haut, se prête bien à cette représentation panoramique. Panorama non pas de Paris, dont on ne voit rien, mais des Parisiens : il faudra lire les personnages non pas comme des figurants anonymes, mais comme des types.
La femme se dirige vers les trois fumeurs attablés autour d’une carafe vide : le Peintre, le Militaire et le Clown. Son bras coupé net autorise toutes les reconstitutions (en supposant qu’elle soit gauchère). Il se peut qu’elle tende la main pour :
Dans l’économie du tableau , nous l’appelerons l’Intruse.
En l’absence de mains, les trois fumeurs sont tout aussi indéchiffrables : peut être discutent-ils (bouche fermées ?), peut-être jouent-ils aux cartes ou aux dés ? Nous les appellerons les Joueurs : et celui des trois qui s’isole du groupe à la fois par sa position et son costume, se rendant ainsi plus vulnérable – le Clown Blanc – nous l’appellerons le Pigeon.
Une femme debout, deux hommes côte à côte attablés en face d’un personnage singulier, blafard comme une apparition. Cela ne vous rappelle rien ?
Il était en tout cas dans l’air du temps de moderniser le vieux thème, où le Christ ressuscité se fait reconnaître de ses disciples en rompant le pain avec eux.
L’idée n’était pas absurde de transposer les Pélerins d’Emmaüs sous les espèces de ces deux errants que sont le Peintre en pèlerine et le Dragon en tenue de campagne.
Tandis que le clown blanc constituait un cryptique auto-portrait christique, avec sa couronne d’épine métamorphosée en collerette et ses trois plaies sanguinolentes en forme de croix sur sa face blanche.
Le malentendu de Soir Bleu, l’insatisfaction que sa contemplation nous laisse, viennent du fait que tout nous pousse à l’interpréter comme une scène de genre… alors que c’est – peut être – le seul tableau religieux de Hopper. source : artifexinopere.com
autres publications bretzel liquide taguées Edward Hopper
samedi après-midi – Lucas Varela pour La Duplicadora : The Shining, Arthur et Zoé
Lucas Varela est né à Buenos Aires en 1971.
Après des études de graphisme à l’université de Buenos Aires, il fonde le fanzine Kapop, dont six numéros paraissent entre 1998 et 2001. Il y dessine la plupart des récits, s’essayant avec bonheur à de nombreux styles graphiques. (Babelio)
phase de pool : la France affrontera le Danemark
Coupe du monde de football 2022 : le tirage au sort pour déterminer la composition des huit groupes du premier tour du Mondial a placé l’équipe de France, tenante du titre, dans le groupe D. Son troisième adversaire (Pérou, Australie ou Emirats arabes unis) sera connu en juin. source : Le Monde
tags : coq gaulois, poule, foot, oeuf
le goût de la couleur – Cape coast, Ghana (2016) by Nikos Economopoulos
Le projet lui a permis de voyager et de photographier librement, sans être perturbé par « les limites et les impositions d’une mission ». Bien que la plupart des destinations changent chaque année, il y en a certaines auxquelles il revient régulièrement (l’Éthiopie ou Cuba, par exemple) où « la vie est vécue dans la rue, au-delà des frontières nationales ou des géographies structurées » , des endroits où, dit-il, « se sentir chez lui » .
« Ce qui me captive, c’est le franchissement de seuils, la suspension de l’incrédulité, l’échange d’émotions dans des espaces partagés, les petites merveilles de la vie dans la rue. »
es.independent-photo.com
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