il faut continuer à vivre
tags : phoque, à l’eau
il faut continuer à vivre
tags : phoque, à l’eau
je ne sais pas ce qui est bon pour moi
deuxième tour des élections présidentielles
on n’a pas encore essayé l’extrême droite / 5 ans de plus avec Emmanuel Macron
tags : coq, poule, KFC, suicide, inconscience, X-Files, la vérité est ailleurs
les taureaux carrés – Henry Strafford (British, 19th Century) : An Ayrshire Bull In A Landscape
la vie des animaux surgelés.
l’ami du poisson carré avec les yeux dans les coins (Coluche)
s’asseoir un instant sur l’eau – Joanna Chudy, Oblivion Identité Cachée, 2019
Diplômée de l’Académie des beaux-arts de Cracovie en 2002, du Collège de photographie de l’École nationale de cinéma, de télévision et de théâtre de Łódź en 2009 et de l’Académie des beaux-arts de Varsovie, où elle a obtenu un doctorat en 2013.
Auteur de 20 expositions de photos. Participant de 30 expositions collectives en Pologne et à l’étranger, incl. à Paris, Berlin, Varsovie et Sofia. Il traite de la photographie créative, présente la tendance noir et blanc de la photographie classique. Il est membre du ZPAF depuis 2014.
Finaliste du concours ShowOff dans le cadre du Krakow Photomonth 2010, lauréat du Grand Prix du 6e Festival de photographie d’art de Varsovie en 2010. Titulaire d’une bourse du ministère de la Culture et du Patrimoine national en 2010 et maréchal de la Voïvodie de Silésie en 2011. source : joannachudy.pl
tous les matins du monde – Jock Sturges : Allegra Northern California, 1999
Jock Sturges, né en 1947 à New York, est un photographe américain. Il est connu surtout pour ses nus pris dans des environnements naturistes. (Wikipedia)
autres publications bretzel liquide taguées Jock Sturges
dernière minute : Nicolas Sarkozy annonce son soutien à Valérie Pécresse.
« Il y a un an, Nicolas Sarkozy déclarait au Figaro: ‘Quand chacun aura fait valoir ses ambitions légitimes, je dirai en temps utile qui je soutiens et pourquoi, en toute transparence avec ma famille politique’. source : bfmtv.com
les leçons des Grands Anciens – Mark Rogers (American, 1979) – The Remains (2016)
Mark Rogers est un artiste autodidacte de Portland, Oregon. Stylistiquement, son travail a été décrit comme un mélange d’art populaire, de peinture médiévale et d’illustration de contes de fées. Son travail a trouvé une place parmi les mouvements complémentaires Pop Surrealism et Magical Realism. Rogers crée des peintures narratives peuplées de personnages fictifs qui habitent ses peintures à l’huile fantasmagoriques, fantastiques et parfois humoristiques. Son travail a été présenté dans des expositions à travers les États-Unis et a été vendu dans le monde entier. source : markrogersart.com
autres publications bretzel liquide taguées Mark Rogers
voter pour un candidat qui ne te fais pas rêver. Le grand film des dimanches soir d’élections depuis 20 ans « Il (Elle) ne m’a jamais fait jouir »
tags : vote utile, vote barrage
tenségrité – table de Maurits Cornelis Escher
La tenségrité est, en architecture, la faculté d’une structure à se stabiliser par le jeu des forces de tension et de compression qui s’y répartissent et s’y équilibrent. (Wikipedia)
la vie est belle
Dès l’âge de trois ans Buster Keaton est sur la scène du Music-Hall avec ses parents. Les trois Keaton vont bientôt se produire dans un spectacle très violent ou le père assigne à l’enfant le rôle d’un objet, d’un projectile lancé à toute volée dans les décors ou sur les spectateurs. Buster » la serpillière » prend des coups insensés, est assommé un jour contre un mur de briques mais finit toujours par s’en sortir plus ou moins indemne. En 1917, déjà célèbre pour ses performances d’acrobate, il quitte ses parents et le Music-Hall, rencontre Roscoe Arbuckle, « Fatty », acteur très populaire à l’époque, avec lequel il fait ses premières armes au cinéma.
Dès 1920, Keaton crée ses premiers films. C’est l’âge d’or du cinéma, le grand cinéma muet, Chaplin est une star. Keaton, « l’homme qui ne rit jamais », aura une carrière de cinéaste fulgurante et brève – moins de dix ans – avant d’être détruit par l’industrie cinématographique, privé de sa liberté créatrice par la Metro-Goldwyn-Mayer avec laquelle il signe un contrat fatidique en 1928. Keaton n’a plus les moyens de son génie. Keaton ne sera plus Keaton.
Buster Keaton, c’est un physique et un imaginaire, un cascadeur et un poète. C’est un corps d’une plasticité et d’une élégance inouïe, une prise de risques jusqu’auboutiste dans des cascades extrêmes. Keaton est acteur, auteur, metteur en scène, d’une inventivité cinématographique d’avant-garde saluée par les Dadaïstes. Entre réalisme et fiction, visage impassible mais regard vif, Keaton le bouc émissaire, toujours aux aguets, affronte l’hostilité d’un univers cataclysmique pour briser sa solitude et trouver une place – aussi modeste soit-elle – dans un monde qui le rejette. De chutes en poursuites spectaculaires le petit homme va aux limites des capacités humaines et frôle le fantastique. source : France Culture