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the truth (de toilette)

comment les arts ménagers ont libéré la femme

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comment les arts ménagers ont libéré la femme

« Moulinex libère la femme »

En 1923 s’ouvre le premier Salon des arts ménagers : l’invisible et gratuit travail domestique des femmes est élevé au rang d’un art où cohabitent le savoir et le savoir-faire de la ménagère, devenue par l’emploi des machines une technicienne. Publicité, revues (Mon chez-moi, de la Ligue de l’organisation ménagère), ouvrages (ceux de Paulette Bernège, fondatrice alors de l’institut d’organisation ménagère mettent l’accent sur la taylorisation du travail ménager, reprenant les théories du Domestic Science Movement, créé aux États-Unis. La technique réorganise l’espace ménager et diminue le temps imparti aux tâches domestiques, présentées comme des actes de créativité et non plus comme des besognes répétitives : la cuisine devient l’art culinaire du cordon-bleu; la ménagère confrontée à la crise des années 30 en préserve la qualité grâce à son ingéniosité, stimulée par la collection « A la fortune du pot ». source : histoire.savoir.fr

tags : aspirateur robot, balai humain

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animal, on est mal

nature : l’heure des comptes

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tags : justice, écologie punitive, les petits oiseaux, jugement dernier, vendredi 13, film d’horreur

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comprendre les expressions françaises psychologie (en partenariat avec spychologie magasine)

Comment reconnaître une relation fusionnelle ?

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Comment reconnaître une relation fusionnelle ? Constantin Brancusi, The Kiss, 1912

BRANCUSI ET LA MODERNITÉ : UNE POSITION PARADOXALE

Après avoir découvert les thèmes majeurs de son œuvre entre 1909 et 1925 (Le BaiserL’Oiseau, La Colonne sans fin, Les Coqs…), Brancusi ne fera que les reprendre inlassablement, souvent avec d’infimes variations.
Au sein de la modernité en train de se constituer, les mouvements d’avant-garde ont peu d’influence sur son travail. Il est davantage intéressé par les bois sculptés de Gauguin, qu’il voit dans la rétrospective consacrée à l’artiste en 1906 au Salon d’automne à Paris.
En réalité, il ne rencontre pas vraiment de modèle dans la sculpture occidentale et, comme le font nombre d’artistes de son époque, il s’intéresse à d’autres civilisations, celles de l’Asie et de l’Afrique, présentes dans les collections du Musée Guimet, du Musée du Louvre ou du Musée d’ethnographie du Trocadéro. Les références à un art archaïque lui permettent d’extraire son œuvre des contingences des styles propres à son époque, et d’inscrire ses sculptures dans une dimension plus universelle.

SÉRIALITÉ ET PERCEPTION DE L’ESPACE

Dans le même temps, lorsque Brancusi affirme : « Ce n’est pas la forme extérieure qui est réelle, mais l’essence des choses. Partant de cette vérité, il est impossible à quiconque d’exprimer quelque chose de réel en imitant la surface des choses », il est profondément ancré dans une pensée qui structure tout l’art du vingtième siècle, depuis Kandinsky, Mondrian ou Malevitch, jusqu’à Yves Klein, Richard Serra ou les artistes minimalistes américains des années soixante.
L’artiste minimaliste américain, Carl Andre, dans sa sculpture intitulée 144 Tin Square, composée de 144 carrés d’étain de même dimension disposés au sol pour former un carré, dira n’avoir fait que mettre à plat La Colonne sans fin de Brancusi.
La sérialité potentiellement infinie des Colonnes et l’importance que Brancusi accorde à la perception de l’espace dans lequel ses œuvres s’inscrivent définiront une grande partie de la sculpture contemporaine à partir des années cinquante.

Au début du siècle, Brancusi partage l’intérêt de ses contemporains pour la Théosophie. Cette doctrine, selon laquelle l’homme est tombé de l’ordre divin dans l’ordre naturel et tend à remonter vers son état premier, est très répandue dans les milieux artistiques. Cette pensée influence des artistes comme Kandinsky, Kupka ou Piet Mondrian.

LA PURETÉ D’UNE HÉLICE

Brancusi est aussi l’ami intime de Marcel Duchamp, d’Erik Satie, de Fernand Léger, de Man Ray ou de Tristan Tzara. En 1912, il visite avec Duchamp et Léger le Salon de la Locomotion Aérienne à Paris. Devant une imposante hélice d’avion, Duchamp leur demande si un artiste aujourd’hui est capable de faire une œuvre aussi belle et pure que cette hélice. A cette époque, Brancusi a commencé le cycle des Oiseaux, thème qu’il développera jusqu’à obtenir un pur élan ascensionnel. Cette anecdote montre aussi comment sa sculpture, qui fait référence à des sources anciennes et intemporelles, peut entrer en correspondance avec la modernité. La beauté des objets produits par l’industrie passionne cette génération d’artistes du début du 20e siècle.

Autre correspondance avec la modernité : en 1926, lors de son premier voyage à New York, Brancusi souhaite ériger une Colonne sans fin monumentale au cœur même de Central Park. En 1956 c’est une Colonne haute de 400 mètres qu’il souhaitera réaliser à Chicago. source : centrepompidou.fr

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art liquide

il avait plu cette nuit là

il avait plu cette nuit là
il avait plu cette nuit là

il avait plu cette nuit là – Florence Aussenard : the flood

« Mes préoccupations, mes sujets, sont intimement liés à l’état du monde, son actualité, son histoire…

ils se déclinent en thématiques assez générales en ce qui concerne la peinture, et puis de petites histoires, ces short stories, plus ponctuelles et de constructions différentes, ou je met en œuvre des techniques variées…

il y est beaucoup question d’identité, de notre héritage en lien à la colonisation ou la religion, des États Unis, comme théâtre emblématique des soubresauts du monde, des peuples dits premiers, de leur rapport avec leur cosmogonie, de la puissance de l’animisme que je met en lien avec un rapport différent à retrouver avec la Nature, de ce collapsus, ces rumeurs d’apocalypse liées aux crises de système ou à l’écologie… »

Florence Aussenard
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comprendre les expressions françaises gif animés avez-vous donc une âme

dessine-moi les lèvres

dessine-moi les lèvres
dessine-moi les lèvres

dessine-moi les lèvres

tag : ne manque que la parole, petit prince

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de l'autre côté du mouroir

le jour avait chassé les créatures de la nuit

le jour avait chassé les créatures de la nuit
le jour avait chassé les créatures de la nuit

le jour avait chassé les créatures de la nuit – Vyacheslav Belov

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gif animés avez-vous donc une âme sportyves

ski de printemps

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ski de printemps – The White Stadium, Arnold Fanck, 1928

Le Stade blanc (Das Weisse Stadion) est un film documentaire suisse de 1928 réalisé par Arnold Fanck, pionnier du cinéma de montagne, et dont le sujet est le déroulement des Jeux olympiques d’hiver de 1928 qui se sont disputés à Saint-Moritz en Suisse. Wikipedia

tags : réchauffement climatique, fête du slip

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rediffusion nucléaire

il y a un an, le 12 mai 2021 

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exercice illégal de la médecine humour de Calais, bêtises et dentelle décalées

La pub ou la fabrique de la beauté

La pub ou la fabrique de la beauté
La pub ou la fabrique de la beauté

La pub ou la fabrique de la beauté

Cependant, au-delà de cette dimension, un second système sémiologique semble se déployer à travers ces photographies. Car au-delà du sens de l’image qui est celui d’un modèle faisant une démonstration, je saisis une signification de l’image, qui est esthétique : on me montre la beauté. A partir du signe, du sens, qui est la démonstration du produit, un mythe esthétique se forme. En prenant ce signe photographique comme signifiant, et en le reliant au concept de la beauté, le mythe, la signification, est que la personne maquillée ou habillée est la beauté. source : grozeille.co

tags : ongles de pieds, pédicure

France Real : Coupez moi ces ongles que je ne saurais voir

Inter Brette : France Real « Coupez cet ongle que je ne saurais voir. Par de pareils objets, les chaussettes sont blessées, Et cela fait venir d’horribles pensées. » Le Tartuffe

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Brette Ciel Liquide

moi aussi j’ai chaud

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Kate Li : le courageux combat des influenceuses instagram pour sensibiliser au réchauffement climatique