la beauté fait toujours un peu peur – DD-Anne “Queen of Hearts”, Porcelain, silk, clay, pearls.
DD-Anne est née à Shanghai, et après avoir étudié la bioinformatique à l’université, elle a décidé que ce choix de carrière n’était pas pour elle. En 2006, elle est devenue une artiste de poupées autodidacte. Elle fait tout le travail elle-même, de la sculpture au design de mode. DD-Anne n’a pas de longue biographie artistique et n’a pas encore exposé son travail dans une galerie d’art. Cependant, elle a récemment remporté le prix Pandora Platinum Art Doll en Russie et a été la première personne à recevoir tous les votes des juges dans l’histoire du prix.
« Queen of Hearts » : Elle fait partie de ma série de poupées « Alice in Underland ». L’inspiration initiale était ‘la famine et le cannibalisme’ qui venait des souvenirs d’enfance de mes parents. source : yashayoungprojects.com
tags : la belle légende des femmes castratrices, plante carnivore, belle plante sexisme ordinaire
Évocation de la vie de Dian Fossey, une anthropologue qui consacra sa vie à l’étude et à la sauvegarde des girafes. Elle a passé 18 ans seule dans les montagnes sauvages du Zaïre et du Rwanda. Allocine
cubisme et vaudeville – Joost Swarte, la ligne (rouge) claire
Un vaudeville est une comédie sans intentions psychologiques ni morales, fondée sur un comique de situations. Au cinéma et en littérature c’est, par analogie, un film ou un roman comique, proche du vaudeville de théâtre. Wikipédia
When two huge currents meet, they create a standing wave as seen here 0n The West Coast Of Scotland.
J’avais trois jours devant moi, je dis « tiens, je vais aller voir la mer » Je prends le train, j’arrive là-bas. Je vois le portier de l’hôtel Je lui dis « où est la mer? » Il m’dit « la mer, elle est démontée » « Ah, mais j’dis, vous la remontez quand? » Il m’dit « c’est une question de temps » J’lui dis « moi, je suis ici pour trois jours » Il m’dit « en trois jours, l’eau a le temps de couler sous le pont » J’dis « le pont? Merci, je vais attendre demain »
Alors le lendemain, je demande où est le pont Il m’dit « le pont? Quel pont? » « Ben, j’dis ‘le pont’, quoi » Il m’dit « y a pas de pont » J’dis « comment? Y a pas de pont? » Il m’dit « non, y en avait un, mais on l’a démonté » « Comment? je dis, vous démontez tout ici, alors » Il m’dit « c’est la guerre » « Ben, j’dis, vous la remontez quand? » Il m’dit « tous les 20 ans » « Ben, j’dis, moi, je suis ici pour trois jours » Il m’dit « en trois jours, vous avez des chances » J’dis « bon, je vais attendre demain »
Alors le lendemain, je m’dis ‘tout de même Avant de partir, faut que je me débrouille pour voir la mer » Je vois le portier de l’hôtel J’lui dis « je voudrais voir la mer » Il m’dit « c’est pas possible » « Ben, j’lui dis, pourquoi? » Il m’dit « parce que c’est la fête » « Ah, j’dis, c’est la fête? » Il m’dit « oui, alors, on fait le pont »
Alors j’dis « si vous refaite le pont, je vais pouvoir voir la mer » Il m’dit « non, parce qu’y a le feu d’artifice » « Ben, j’dis, le feu d’artifice, je le verrai de la mer » Il m’dit « vous le verrez mieux de votre chambre » « Mais, j’dis, ma chambre, elle donne pas sur la mer? » « Eh ben, Il m’dit, le feu d’artifice non plus » « Mais, j’dis, je m’en fous moi, de votre feu d’artifice, je veux voir la mer » Il m’dit « c’est pas possible, pas possible » J’lui dis « comment? Comment? » Il m’dit « non, parce qu’y a les gradins » Je dis « quels gradins? » Il m’dit « ils ont mis des gradins sur la plage pour voir le feu d’artifice » J’dis « ils ont mis des gradins? Ils ont mis des gradins?
Alors moi, je viens de Paris, je prend le train, je me donne du mal, tout ça » Alors Il m’dit « pleure pas, tu la reverras, ta mer » « Et moi j’dis, je veux la voir tout de suite! Il m’dit « c’est pas possible » Alors j’lui dis « les gradins, vous les démontez quand? » Il m’dit « quand la mer sera remontée » « Eh ben, j’dis, vous la remontez quand la mer? » Il m’dit « quand vous serez parti »