Je ne suis pas climatosceptique voici pour preuve un tweet de 2012 – Farah @frhchk
Marine le Pen, femme d’Etat, un programme basé sur des faits incontestables, un sens aigu de la plaidoirie qui cloue le bec à la partie adverse, une vie consacrée à défendre des causes justes.
débat télévisé de l’entre-deux tours de l’élection présidentielle 20 avril 2022
Grâce à mes appareils Auditifs 100% Invisibles, mon gendre, maintenant que je l’entends raconter ses histoires, il me fait rire. Merci qui, merci Audika et Amplifon
Pâques est la fête la plus importante du christianisme. Elle commémore la résurrection de Jésus, que le Nouveau Testament situe le surlendemain de la Passion, c’est-à-dire le « troisième jour ». La solennité, précédée par la Semaine sainte, dernière partie du carême, commence dans la nuit qui précède le dimanche de Pâques, par la veillée pascale.
La fête chrétienne de Pâques plonge ses racines dans la Pâque juive (Pessa’h) qui commémore la sortie d’Égypte du peuple hébreu. Pour les chrétiens, qui reconnaissent en Jésus le Messie, Pâques commémore la résurrection de Jésus, trois jours après la Cène (célébrée le jeudi saint), dernier repas qu’il a pris avec ses disciples le jour de la Pâque juive la veille de sa Passion (célébrée le dimanche des Rameaux et le Vendredi saint), selon le Nouveau Testament. Par sa mort et sa résurrection, le Christ, fils de Dieu, rachète l’homme et l’extirpe de l’esclavage du mal et du péché (mystère de la rédemption). Le sens de Pâques est la victoire de la vie sur la mort. source : Wikipedia
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la recherche de la vérité du portrait – Jean-Pierre Gibrat
Dans « Le Sursis », « Le Vol du Corbeau » et « Mattéo », le rôle de vos personnages féminins est central. Vous êtes l’un des rare auteurs de bandes dessinés à ainsi mettre autant des femmes en avant. Pouvez-vous nous expliquer pourquoi ?
Au départ, il n’y avait pas de volonté délibérée. Dans le cinéma de Claude Sautet, les personnages féminins ont un rôle gracieux. Avec un coup d’avance, il décrivait les femmes dans leur modernité avec justesse et en leur donnant le bon rôle. Je fais un peu pareil avec mes personnages féminins. Même si ce n’est pas évident car je peux mieux anticiper la réaction des hommes que des femmes. Il faut avoir une empathie pour tout ce qui vous dépasse et vous interroge.
Quand j’ai commencé « Le Vol du Corbeau », en racontant l’histoire à travers Jeanne, j’ai regretté au bout de 10 pages ! Je suis quand même allé au bout. Mais je ne le referai pas car je ne suis pas sûr d’être juste. J’ai la conviction d’être juste quand je fais parler Julien, mais pas quand je fais parler Jeanne. J’espère mais je ne sais pas. Avec Jeanne, je ne me suis pas permis ce que je peux me permettre avec Mattéo. La justesse dans le dessin n’est pas non plus une représentation photographique, ce n’est pas une question de proportions. La justesse consiste à montrer l’effet que font les gens. Je ne suis pas un dessinateur réaliste, je ne suis pas assez bon. Paul Gillon ou Jean Giraud étaient capables d’être réalistes. Par contre, j’espère être expressif. La justesse permet de montrer l’effet que font les choses et pas de décrire les choses comme elles sont. J’ai aimé le dessin par la caricature, notamment celles de Jean Mulatier. La caricature peut être plus juste que la photo de départ.
de l’impact du corset sur le sourire (le jeu des sept différences) – The influence of the corset and tight clothing upon the female figure and the internal organs. Macfadden’s Encyclopedia of physical culture. v.5. 1920
« Le terme anglais fact-checking, littéralement « vérification des faits », désigne un mode de traitement journalistique, consistant à vérifier de manière systématique des affirmations de responsables politiques ou des éléments du débat public.
Ce mode de traitement journalistique s’est imposé en France depuis une dizaine d’années, suivant son développement aux États-Unis. À l’origine, le terme désignait un processus de vérification interne dans les organes de presse anglo-saxons. Les journaux avaient dans leur sein (et continuent d’avoir) des employés dont le travail était de vérifier l’exactitude des faits, chiffres ou citations rapportés par les journalistes de terrain. Une forme de contrôle interne de la rigueur de l’information. Mais depuis une quinzaine d’années, le terme désigne une pratique consistant à vérifier de manière systématique les éléments du discours politique, et plus largement du débat public. Un certain nombre de journaux ont mis en place des structures dédiées, notamment en période électorale. Avec l’explosion d’Internet, des sites spécialisés ont vu le jour. Un des premiers fut factcheck.org, site non-partisan et à but non-lucratif. Sa mission revendiquée pourrait résumer le credo des fact-checkers : clarifier le débat public en vérifiant et corrigeant les assertions trompeuses ou confuses. » source : Centre pour l’Education aux Médias et à l’Information
Comment la pilule a changé la vie des femmes – Patrick Dalaine
Selon un sondage réalisé en France
à la fin des années 1990, pour 6 femmes sur 10, c’est l’invention de la pilule qui avait le plus contribué à changer leur vie au cours des dix précédentes années, loin devant l’égalité professionnelle. Aujourd’hui, elles sont plus de 100 millions dans le monde – et 5,6 millions dans le seul Hexagone – à prendre la pilule, chaque jour, pour éviter des grossesses non désirées. Mais pour devenir le premier moyen de contraception au monde, bien des obstacles tant scientifiques que moraux ont dû être surmontés.
A l’origine de l’invention de cet outil contraceptif révolutionnaire,
un trio composé de deux femmes, Margaret Sanger et Katherine McCormick, et d’un homme, Gregory Pincus. Margaret Sanger, infirmière new-yorkaise, assiste en 1912 à la mort d’une jeune mère de trois enfants qui avait tenté d’avorter seule. Cet événement achève de forger chez Margaret Sanger, issue d’une famille de onze enfants, la conviction que les femmes ne pourraient véritablement s’épanouir qu’une fois libérées de la crainte de grossesses non désirées. Elle se battra donc pendant quarante ans pour le contrôle des naissances et créera en 1923 à New York un Bureau d’information sur la contraception, qui fut le premier centre de planning familial. Katherine McCormick, elle, est issue d’une famille aisée d’avocats. Deuxième femme à obtenir un diplôme en sciences du MIT, c’est dans le cadre de ses activités militantes en faveur du droit de vote féminin qu’elle va rencontrer Margaret Sanger, elle aussi » suffragette « . A la mort de sa mère puis de son mari, Catherine McCormick hérite d’une fortune considérable qu’elle va en partie consacrer à la mise au point d’un contraceptif oral bon marché. source : lesechos.fr