nos coeurs battront à l’unisson
Metronomes started randomly synchronize after a short period of time as they influence each other through the side-to-side motion of their shared base. UCLA Physics and Astronomy
les gens sont heureux le dimanche – John Currin : Park City Grill, 2000, Walker Art Center
Ses tableaux, pas bien grands, atteignent des records aux enchères même s’ils affichent un style totalement en dehors des canons modernes, préférant user du kitsch, du nu provocant, du sexe bizarre et de sfumatos chers aux peintres classiques. C’est donc un néo-art décalé, un peu olé-olé : des scènes saphiques limite porno, des portraits de femmes à l’ambiance trouble et vaguement expressionniste. Une curiosité friponne et un art assez singulier.
sortir.telerama.fr
autres publications taguées John Currin
maman disait toujours : trop bon – trop con
Forrest Gump est une comédie dramatique américaine de Robert Zemeckis, sorti en 1994. C’est l’adaptation du roman du même nom de l’écrivain Winston Groom. Wikipedia
« Maman disait toujours… La vie, c’est comme une boîte de chocolats, si tu es trop bon, tu es dans les premiers à te faire bouffer. »
tag : agneau, je suis quelqu’un de gentil, handicap
la lumière au bout du tunnel – From Beyond Death, The Gates of Consciousness by Stanislav Grof / Hieronymus Bosch : L’Ascension des Bienheureux, détail
Stanislav Grof, né à Prague (Tchécoslovaquie) en 1931, est un psychiatre tchèque, pionnier dans la recherche des états modifiés de conscience. Wikipédia
ne renonce jamais
Jest-nuts – Lewis Jesse Bridgman – 1903, l’hippopotame qui pouvait voler. (tout ce qui a des ailes doit voler)
autres illustrations sur Library of Congress
tag : tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir
se détruire – dit-elle — Marguerite Duras, 1969
« Il s’agit d’un quatuor. L’héroïne, Elizabeth Alione, enfoncée dans une profonde mélancolie qu’elle traîne dans les couloirs, le parc et la salle à manger d’un hôtel, faible, alanguie, ouverte, Alissa, dure, belle, féroce, sensuelle, affranchie des convenances. Deux femmes en apparence si loin l’une de l’autre. Max Thor et Stein, deux intellectuels, voyeurs, chasseurs, destructeurs. Chacun se noie dans le désir de l’autre. Max Thor dans celui de Stein, Elizabeth dans celui d’Alissa. Les deux hommes, amants d’Alissa, sont tous deux épris d’Elizabeth, leur nouvelle proie. se détruire, dit-elle célèbre le culte du néant sur fond de voyeurisme. Tout est décrit sur fond d’absence. Un brouillard enveloppe les personnages qui se débattent maladroitement pour continuer à vivre. Duras le dit elle-même : « J’ai voulu montrer un monde plus tard, après Freud, un monde qui aurait perdu le sommeil ». »
Laure Adler, Marguerite Duras Wikipedia
tags : comportements autodestructeurs, le doux parfum de la décadence, la tentation du gouffre