le spectacle émouvant de la nidification chez le dinosaure.
Le nid désigne généralement la structure construite par les oiseaux pour fournir un premier abri à leur progéniture. Les nids sont généralement fabriqués à partir de matériaux organiques tels que brindilles, herbes, mousses ou feuilles, parfois garnis de plumes. Quelques espèces de martinets fabriquent des nids de salive improprement dits « nids d’hirondelles », comestibles.
Certains autres animaux, par exemple les dinosaures, les gorilles, les écureuils, les araignées ou des insectes sociaux construisent aussi des nids. source : Wikipedia
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concert pour cerf de l’après-midi : Bach – Suite pour violoncelle n 1 en sol majeur, BWV 1007
Prélude à l’Après-midi d’un cerf.
D’une structure assez constante, les six suites pour violoncelle BWV 1007 à 1012 « s’ouvrent toutes par un prélude, suivi d’une allemande, d’une courante, d’une sarabande, de deux Galanterien et d’une gigue. La ressemblance de leur structure avec celle des Suites anglaises fait supposer que ces deux œuvres furent écrites environ à la même époque. Bien que les limites techniques du lourd violoncelle soient encore plus étroites que celles du violon, rendant impossible l’inclusion d’une fugue réelle, Bach réussit à créer des œuvres d’une maîtrise consommée, égale sinon supérieure à sa musique pour violon solo. Dans le prélude de la quatrième suite, par exemple, il donne, avec les moyens les plus simples, l’illusion d’une pédale d’orgue dont il se sert comme assise à des harmonies qui s’écoulent lentement ».
Pour rendre justice à ces œuvres d’exception, il faudrait ici reprendre, parfois mot pour mot, une bonne part des réflexions exprimées à propos des pièces pour violon solo. Peut-être même faudrait-il appuyer le trait, car, plus que jamais, le musicien prouve ici qu’il atteint les plus hauts sommets lorsqu’il s’impose les limites les plus étroites. « Nulle part Bach ne semble avoir autant de grandeur, de force et d’émotion que dans ses six Suites pour violoncelle (1720-1723 ?), pages de musique instrumentale pure où il est par excellence le maître de la liberté et où, pas un instant, il ne sombre dans l’arbitraire ni dans l’abstraction gratuite. L’architecture des préludes et des allemandes, l’édifice contrapuntique des sarabandes et même les mouvements de danses plus décoratifs suggèrent malgré leur style très libre une science polyphonique assez complexe (même si plusieurs voix restent sous-entendues) ».
Est-il vraiment besoin d’ailleurs de s’étendre sur les fabuleuses qualités de ces œuvres qui, bien qu’exigeant beaucoup de concentration et d’imagination de la part de l’auditeur, ont acquis une immense popularité ? Depuis que Pablo Casals s’en est fait le propagandiste, tous les violoncellistes, des plus confirmés aux plus jeunes, s’y sont engagés avec toute leur flamme et le public a suivi, toujours plus nombreux, succombant au pouvoir d’envoûtement magique de cette musique qui touche au plus profond de l’âme humaine et animale. Et que ces pièces soient si souvent « célébrées » dans des lieux normalement voués au culte, voilà un détail qui ne laisse pas indifférent : au-delà de toute considération touchant à l’acoustique, c’est une façon comme une autre de souligner la dimension spirituelle que Bach a certainement voulu donner à nombre de ces pages. Des pages aux multiples facettes et sortilèges, qui nous font passer de l’ombre à la lumière, des épanchements au silence, du recueillement au vagabondage, comme le suggérait un commentaire de Xavier Lacavalerie qui concluait sur cette belle interrogation : « Et si cette musique païenne était l’une des plus belles formes de la prière ? ». source : musicologie.org
commentaire de Mo Ha : Un concerf de Brahms ?
(j’avais essayé ce titre (concerf) mais j’ai eu peur de la réaction des ligues de défense des animaux…)
C’est près de Détroit, à Ann Arbor, dans le Michigan, que l’aventure du street-artiste David Zinn a commencé. Entièrement composées de craie ou de fusains et des objets qu’il croise dans son quotidien, les œuvres de l’artiste égaient les rues de sa ville depuis 1987 !
Même si la plupart de ses «anamorphoses paréidoliques» ou «paréidolies anamorphiques » (Une paréidolie est un phénomène psychologique qui consiste à identifier une forme familière dans un paysage, un nuage… une illusion d’optique en somme), sont dans les rues de sa ville natale, il pourra vous arriver d’en croiser sur « les plates-formes de métro à Manhattan, les places de village en Suède et les coins de rue à Taiwan. »
Son bestiaire original et poétique permet à l’espace public de gagner en douceur et légèreté. Parmi ses personnages les plus fréquemment dessinés, vous pourrez faire la connaissance de Sluggo (un monstre vert vif avec des yeux de tige et des habitudes irrévérencieuses) et Philomena (un cochon volant flegmatique). Cependant, la diversité de sa ménagerie semble plutôt être limitée par la taille du trottoir que par son imagination, toujours débordante. Castors, souris et trolls viennent ainsi investir l’espace public pour notre plus grand plaisir !
Un sous–marin plonge et fait surface en remplissant et en vidant ses ballasts. Ces derniers sont totalement remplis en immersion et l’équilibre entre poids du sous–marin et la poussée d’Archimède est recherché. La chasse envoie de l’air en haut des ballasts, cet air pousse l’eau qui s’évacue par le bas. Le sous-marin est alors paré à faire surface. Concrètement, sans vitesse, le sous–marin reste stable en immersion. source : defense.gouv.fr
parée à faire surface
Le système respiratoire des baleines a pour principale fonction d’effectuer les échanges gazeux dans le corps et de stocker l’oxygène dans le sang pour le distribuer partout dans le corps. L’air se propage dans les alvéoles des poumons, de petits sacs qui se remplissent d’oxygène à chaque respiration.
Certaines adaptations évolutives aident les baleines à respirer plus efficacement dans le milieu marin. Les narines, qu’on appelle évents, se situent sur le dessus de la tête. Certaines espèces en ont une seule; d’autres deux. Une sorte de coussin adipeux, un tissu graisseux, les referme pour empêcher l’eau de s’infiltrer dans le système respiratoire et de l’endommager. L’évent s’ouvre lorsque la baleine est à la surface pour expirer et inspirer l’air en une seule séquence. Grâce à leur évent simple ou double, les baleines peuvent inspirer et expirer à toute vitesse et avec puissance.
L’inspiration et l’expiration sont une action complètement volontaire qui se fait très rapidement. Elles expirent d’abord avant d’inspirer, contrairement à l’humain. La respiration peut se faire en une seule séquence, mais le réapprovisionnement en oxygène ne se fait pas aussi efficacement que si la baleine respire plus d’une fois. Après une longue plongée en apnée, plus de respirations auront lieu avant la prochaine plongée, pour que la baleine puisse reprendre son souffle.
À la surface
La respiration d’un grand rorqual prend de 1 à 2 secondes seulement. À chaque respiration, les baleines remplacent jusqu’à 90 % de l’air contenu dans leurs poumons (contre 10-15 % pour les humains). Il est expulsé de leurs poumons à grande vitesse par leur évent et crée le souffle, cette haute colonne d’air.
trouver un logement et avoir des enfants, le souci de tout les jeunes couples. La vidéo ci-dessus nous raconte en accéléré cette phase cruciale de la vie des futurs parents, du nid vide au premier oeuf (From Empty Nest To First Egg. A Three Month Story In Three Minutes). Droit au logement : un toit c’est un droit