Le loup réapparaît dans le Finistère après plus d’un siècle d’absence
C’est sur la commune de Berrien, dans les monts d’Arrée, au sein du Parc naturel régional d’Armorique, qu’a été filmé un loup mercredi. « Si sa présence dans le Finistère est une première depuis plus d’un siècle, l’espèce est connue pour sa grande capacité de dispersion », a souligné la préfecture de Quimper dans un communiqué. source : sudouest.fr
Rejetez légèrement les épaules en arrière et tenez-vous aussi droite que possible. C’est cette posture qui vous confèrera le plus la prestance d’un mannequin. Gardez votre corps détendu. Pour vous tenir droite, pas besoin d’être rigide.
Le modèle est le porte-manteau de la création, sur laquelle doit se concentrer l’attention du client. Vincent Lappartient écrit encore: «[…] il faut « casser le vêtement, déformer la manière dont il est porté pour le mettre en valeur », c’est pour cette raison que leur démarche paraît si peu naturelle.» source : google
partagé sur facebook : 19 K j’aime, 1,8 K commentaires, 2,9 M vues le 16 juillet 2022
La fille au faon. Une jeune femme kenyane pose avec un petit d’antilope (dik-dik ?) dans un instantané pris en 1909.
« Une beauté de Mombasa avec son faon » (bien qu’il s’agisse en fait d’un petit d’antilope) a posé pour cette photographie publiée dans le numéro de mars 1909 du National Geographic. « La viande d’antilope est l’un des plats préférés de cette région -dit la légende-, mais ce spécimen est un animal de compagnie à l’abri du fusil du chasseur. » La jeune femme kenyane représentée, poursuit la légende, « peint des cercles sur ses joues et se teint les mains en violet, et est un parangon d’élégance féminine ».
serre-moi fort – Piquebœuf à bec rouge et rhinocéros
En Afrique du Sud, les pique-bœufs viennent se poser sans encombre sur les rhinocéros pour se nourrir de leurs parasites. Et s’ils sont acceptés par ces géants, qui leur fournissent un garde-manger généreux, ils ont le sens de la réciprocité : en retour, ils alertent leur monture de la présence humaine. Une collaboration gagnant-gagnant où chacun trouve son compte.
La découverte de cette solidarité inter-espèces est le fruit de deux ans d’observation de près de 115 rhinocéros de la réserve africaine d’Hluhluwe-Umfolozi, dont les résultats ont été publiés en avril dernier dans la revue scientifique Current Biology. D’après les chercheurs, 40 à 50 % des rhinocéros échapperaient aux braconniers grâce à ces petits oiseaux au bec rouge. source : positivr.fr
shooting photo – mon book de hamster – Buitengebieden : Have you ever seen a wild hamster doing a photoshoot ? IG julianradwildlife & amp a_nimsaj
Animaux congelés, empaillés ou appâtés… l’envers du décor de certaines photos animalières.
La photographie animalière s’avère extrêmement précieuse pour sensibiliser à l’évolution et à la beauté de notre faune. Mais avec l’essor des réseaux sociaux, certains « photographes » dénués de scrupules sont prêts à tout pour capter LA photo. 30millionsdamis.fr s’est intéressé à ces pratiques, heureusement condamnées par la profession.
« Découvrez les étonnantes images de la rencontre entre une grenouille et un escargot », « une grenouille à cheval sur un scarabée », « un tamanoir s’intéresse de près à des lueurs scintillantes »… Vous avez probablement déjà lu certains de ces articles publiés par des médias – parfois réputés – et dont les photos ont été partagées à foison sur les réseaux sociaux. Malheureusement, ces photographes auto-proclamés « défenseurs des animaux », ont usé des pires techniques en quête du cliché parfait. source : 30millionsdamis.fr
Une fois en position de glissée, pattes tendues vers l’avant, paumes jointes, on commence avec un mouvement de bras. Il se décompose en 4 étapes : appui, traction, compression, glissée.
On se positionne, c’est l’appui. Ou position de glissée.
La deuxième étape, la traction, consiste à ramener les pattes vers l’arrière. Les doigts sont presque joints, les paumes des mains tournées vers l’extérieur et les pouces orientés vers le fond du bassin. Quand on ramène les bras vers l’arrière, les coudes ne doivent pas dépasser les épaules. La tête sort naturellement de l’eau.
Pour la troisième étape du mouvement, la compression, ou poussée, on ramène les mains vers la poitrine. Et on les tend vers l’avant, paumes jointes, pour revenir à la position d’appui. La tête entre sous l’eau au moment de la poussée.
Enfin, une fois les pattes revenus dans la position d’appuis, on se laisse glisser dans l’eau.
Pour la brasse, il faut surtout retenir que c’est le mouvement des ailes, ou ciseau de brasse, qui importe le plus. Bien réalisé, il permet une bonne propulsion. À savoir : c’est l’un des plus techniques et des plus difficiles en natation. Contrairement aux idées reçues.
Pour le maîtriser, on retient qu’il s’effectue en 3 temps : plier, écarter, serrer.
Dans un premier temps, on plie les ailes, en ramenant les talons sur les fesses.
Ensuite, on écarte, pieds orientés vers l’extérieur, jambes toujours fléchies.
Enfin, on se propulse, en resserrant les ailes pour les tendre vers l’arrière. Les ailes reprennent la position de départ. Vous devez sentir une petite ondulation naturelle au niveau du bassin. Attention, les mouvements d’ailes doivent toujours être bien symétriques.
Pour être efficaces, les poussées des pattes et des ailes doivent être bien coordonnées. Retenez qu’on plie les ailes une fois la traction avec les pattes terminée. source : nabaiji.fr